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Ñîëîäóõèíà È. Â
Ãðàììàòèêà ôðàíöóçñêîãî ÿçûêà â òàáëèöàõ ñ óïðàæíåíèÿìè è òåñòàìè
ÑÒÐÓÊÒÓÐÀ ÃÐÀÌÌÀÒÈÊÈ ÔÐÀÍÖÓÇÑÊÎÃÎ ßÇÛÊÀ
Òàáëèöà 1

LA MORPHOLOGIE. ÌÎÐÔÎËÎÃÈß
L’article. Àðòèêëü
L'ARTICLE DÉFINI ÎÏÐÅÄÅËÅÍÍÛÉ ÀÐÒÈÊËÜ
Òàáëèöà 2
L'ARTICLE INDÉFINI ÍÅÎÏÐÅÄÅËÅÍÍÛÉ ÀÐÒÈÊËÜ
Òàáëèöà 3
L'ARTICLE PARTITIF ×ÀÑÒÈ×ÍÛÉ ÀÐÒÈÊËÜ
Òàáëèöà 4
L'EMPLOI DE L'ARTICLE ÓÏÎÒÐÅÁËÅÍÈÅ ÀÐÒÈÊËß
Òàáëèöà 5

L'ARTICLE PARTITIF ×ÀÑÒÈ×ÍÛÉ ÀÐÒÈÊËÜ
Òàáëèöà 6

L’ARTICLE NE S’EMPLOIE PAS ÀÐÒÈÊËÜ ÍÅ ÓÏÎÒÐÅÁËßÅÒÑß
Òàáëèöà 7

L’EMPLOI DE L’ARTICLE AVEC LES NOMS PROPRES ÓÏÎÒÐÅÁËÅÍÈÅ ÀÐÒÈÊËß Ñ ÈÌÅÍÀÌÈ ÑÎÁÑÒÂÅÍÍÛÌÈ
Òàáëèöà 8
Íàçâàíèÿ íåêîòîðûõ ïðàçäíèêîâ âñåãäà óïîòðåáëÿþòñÿ ñ àðòèêëåì:
Le Toussaint – Âñåõ ñâÿòûõ
L’Ascension – Âîçíåñåíèå
Âîçìîæíû è îáà âàðèàíòà: Noël, le Noël – Ðîæäåñòâî
L'EMPLOI DESARTICLESAVEC LES PRÉPOSITIONS «DE» ET «À» ÓÏÎÒÐÅÁËÅÍÈÅ ÀÐÒÈÊËÅÉ Ñ ÏÐÅÄËÎÃÀÌÈ «DE» È «À»
Òàáëèöà 9
LA RÉPÉTITION DE L'ARTICLE ÏÎÂÒÎÐÅÍÈÅ ÀÐÒÈÊËß
Òàáëèöà 10
L'ABSENCE DE L'ARTICLE ÉTANT DONNÉ DE ÎÒÑÓÒÑÒÂÈÅ ÀÐÒÈÊËß ÏÐÈ ÍÀËÈ×ÈÈ DE
Òàáëèöà 11
LES EXERCICES POUR LA RETENUE DE LA MATIÈRE ÉTUDIÉE ÓÏÐÀÆÍÅÍÈß ÄËß ÇÀÊÐÅÏËÅÍÈß ÈÇÓ×ÅÍÍÎÃÎ ÌÀÒÅÐÈÀËÀ
1. Remplacez les points par l’article «le», «la», «l’» (çàìåíèòå òî÷êè ïîä– õîäÿùèì àðòèêëåì).
C’est … livre. C’est … porte. C’est … table. C’est … professeur. C’est … copin Ivanov. C’est … étudiant Petrov. C’est … étudiante Petrova. C’est … classe. C’est … crayon. C’est … cahier. C’est … fenêtre. C’est … plume. C’est … journal.
Ïðàâèëüíûå îòâåòû (les réponses): le, la, la, le, le, l’, l’, la, le, le, la, la, le.
2. Remplacez les points par les mots: «du», «de la», «des» ou la préposition «de» (çàìåíèòå òî÷êè cëîâàìè: «du», «de la», «des» èëè ïðåäëîãîì de).
Le livre … professeur est sur la table. Les cahiers … garçons sont sous le livre. Les rues … Moscou sont larges. Moscou est la capital … Russie. La porte …
sale est blanche. Les mures … chambres sont gris. Ce sont les livres … cet étudiant. Ce sont les cahiers… copine.
Ïðàâèëüíûå îòâåòû (les réponses): du, des, de, de la, de la, des, de, de la.
3. Remplacez les points par: «à la», «aux», «de», «du», «de la», «des», «à», «au» (çàìåíèòå ïðîïóñêè àðòèêëÿìè).
Je donne mon livre… professeur. Tu donnes ton cahier… copine. La mère… ma copine est femme au foyer. Les enfants … ma tante sont à Moscou.
Les rues… notre ville ne sont pas étroites. Les places… Moscou sont larges. C'est le logement… nos parents. Je donne ce journal… ma soeur. La soeur… copin est étudiante. Il donne ce livre… femme…son frère.
Ïðàâèëüíûå îòâåòû (les réponses): au, à la, de, de, de, de, de, à, du, à la, de.
4. Remplacez les points par un article indefini (çàìåíèòå ïðîïóñêè íåîïðåäåëåííûì àðòèêëåì).
… voiture roulait à toute vitesse dans … rue très animée. Pour bien dormir, faites… petite promenade avant de vous coucher… fois nous avons vu… lièvre dans la forêt. Ma famille est nombreuse, j’ai… père… mère… frère… sœur et… grands-parents. Avez-vous acheté… tomates pour le dîner?
Ïðàâèëüíûå îòâåòû (les réponses): une, une; une, une, un; un, une, un, une, des; des.
5. Traduisez en français (ïåðåâåäèòå íà ôðàíöóçñêèé ÿçûê).
Ýòî êíèãè ïðåïîäàâàòåëÿ. Îí âûõîäèò èç äîìà ðàíî óòðîì. Ýòî òåò– ðàäü ñòóäåíòà. Ïàññàæèðû âûõîäÿò èç âàãîíîâ. Ñòåíû êîìíàòû áåëûå. Ìîè äðóçüÿ èäóò ñåãîäíÿ â òåàòð. Êàæäûé âå÷åð ìîÿ ñåñòðà îòïðàâëÿåòñÿ â áèáëèîòåêó. Ó÷èòåëü îáúÿñíÿåò ó÷åíèêàì íîâîå ïðàâèëî. Ñòóäåíòû ïî– êàçûâàþò ïðåïîäàâàòåëþ ñâîå çàäàíèå. Èç êóõíè ñëûøàòñÿ ãîëîñà. Ìû ãîâîðèì îá èíòåðåñíûõ êíèãàõ. Ýòî êðåñëî îòöà. Ýòî ïîðòôåëü Æàí– íû. Óòðîì ÿ èäó â øêîëó, à ìîÿ ñåñòðà – â óíèâåðñèòåò. Îíà ñîîáùàåò Æàíó ïðèÿòíóþ íîâîñòü. Ìîé îòåö âîçâðàùàåòñÿ äîìîé â âîñåìü ÷àñîâ. Óòðîì ìîÿ ñåñòðà âñåãäà âàðèò íàì êîôå. Íà äåñåðò íóæíî êóïèòü âèíî– ãðàä è ÿáëîêè.
6. Remplacez les points par un article partitif (çàìåíèòå ïðîïóñêè ÷àñòè÷íûì àðòèêëåì).
Denise maintenant avait … pain tous les jours. Martine se levait, s’asseyait, dégustait, ajoutait… sel… sucre. Une jeune fille venait chercher… eau à la fontaine. Maigret alla acheter… tabac. Il y avait… lumière dans sa chambre où elle devait boucler sa valise. C’était un homme agréable et qui avait… talent. Il y avait cinq personnes devant eux, qui achetaient… beurre, des œufs ou des légumes cuits. Il y a… bière dans le réfrigérateur. Il avait envie de voir… monde.
Ïðàâèëüíûå îòâåòû (les réponses): du, du, du, de l’, du, de la, du, du, de la, du.
7. Remplacez les points par un article convenable devant les noms propres (çàìåíèòå ïðîïóñêè ïåðåä èìåíàìè ñîáñòâåííûìè ñîîòâåòñòâóþ– ùèì àðòèêëåì).
La dure journée était finie, … Paris du plaisir s’illuminait. Il traversa … Paris du petit jour, … Paris triste et frissonnant. À ma droite, du côté du Pont– Neuf, … vieux et venerable Paris avec ses tours et ses flèches. Deux kilomètres dans… Paris, ce n’est pas grand-chose. Mais, c’est… Paris de 1942. C’était à dix lieues de… Paris, sur un joli coin de… Seine… de province, champêtre et neuve. C’était… monsieur Dubois des anciens jours. Il avait eu sous les yeux, pendant quelques minutes… Jacques qu’il ne connaissait pas, dont rien jusque-là n’avait pu lui laisser soupçonner l’existence, et qui, cependant, sans aucun doute, était pour tous… veritable Jacques… Jacques d’aujourd’hui. Je ne connais rien de plus beau au monde que la vie de… Claude Bernard et je sais des médecins de campagne dont l’existence me fait envie pour sa plénitude et sa bonté. Il y avait… Napoléon en lui par sa faculté de pénétrer dans tous les détails, sans perdre de vue l’ensemble. Vous êtes toujours… Jenny de cet été– là. À la même heure… Gégène pénétrait au café de la Rotonde, place Daumesnil.
8. Expliquez l’absence de l’article devant les noms en italique (îáúÿñíèòå îòñóòñòâèå àðòèêëÿ ïåðåä âûäåëåííûìè ñëîâàìè).
Cependant Emma faisait quantité de ses extravagances. Quelqu’un, sans ouvrir, lui cria le renseignement demandé, en ajoutant force injures contre ceux qui dérangeaient le monde pendant la nuit. Jamais présent ne me rendit plus heureux. Vous opérez comme ça tous les jours? – Jamais. Je ne fais pas de
chirurgie. Je suis médecin, je suis spécialiste d’enfants. Il y a eu guerre des rues. Vers 10 heures, une troupe d’Italiens ambulants fit irruption: ils étaient une douzaine, en blouses rouges et pantalons blancs, avec des bonnets de pêcheurs napolitains dont les pompons leur sautaient sur l’épaule; ils avaient tous un instrument, violon, guitare, tambourin, castagnettes, et, tout en jouant, ils chantaient à pleine voix et se démenaient comme des diables. Il sortait son petit carnet de cuir de chez Hermès, un cadeau de client, et cherchait le numéro de téléphone. Ils s’installèrent l’un en face de l’autre avec des regards d’enfants qui vont jouer.
LE NOM ÈÌß ÑÓÙÅÑÒÂÈÒÅËÜÍÎÅ
LES CATÉGORIES DES NOMS ÊÀÒÅÃÎÐÈÈ ÑÓÙÅÑÒÂÈÒÅËÜÍÛÕ
Òàáëèöà 12
LE GENRE DES NOMS ÐÎÄ ÈÌÅÍ ÑÓÙÅÑÒÂÈÒÅËÜÍÛÕ
Òàáëèöà 13


LES DETÉRMINATIFS DES NOMS ÄÅÒÅÐÌÈÍÀÒÈÂÛ (ÎÏÐÅÄÅËÈÒÅËÈ) ÑÓÙÅÑÒÂÈÒÅËÜÍÛÕ
Òàáëèöà 14
LA FORMATION DU PLURIEL DES NOMS ÎÁÐÀÇÎÂÀÍÈÅ ÌÍÎÆÅÑÒÂÅÍÍÎÃÎ ×ÈÑËÀ ÈÌÅÍ ÑÓÙÅÑÒÂÈÒÅËÜÍÛÕ
Òàáëèöà 15

Èìåíà ñîáñòâåííûå, êàê ïðàâèëî, èìåþò ôîðìó åäèíñòâåííîãî èëè ìíîæåñòâåííîãî ÷èñëà.
Moscou – Ìîñêâà
Les Alpes – Àëüïû
Èìåíà ëþäåé ìîãóò óïîòðåáëÿòüñÿ âî ìíîæåñòâåííîì ÷èñëå, åñëè ðå÷ü èäåò îá èçâåñòíîé ôàìèëèè, à òàêæå äëÿ îáîçíà÷åíèÿ ëèö ñ îäèíàêîâîé ôàìèëèåé.
Les Bourbons – Áóðáîíû
Les Dupont – Äþïîíû
LA FORMATION DES NOMS COMPOSÉS ÎÁÐÀÇÎÂÀÍÈÅ ÑËÎÆÍÛÕ ÑÓÙÅÑÒÂÈÒÅËÜÍÛÕ
Òàáëèöà 16
LE RÔLE DES NOMS DANS LA PROPOSITION ÐÎËÜ ÑÓÙÅÑÒÂÈÒÅËÜÍÎÃÎ Â ÏÐÅÄËÎÆÅÍÈÈ
Òàáëèöà 17

LES EXERCICES POUR LA RETENUE DE LA MATIÈRE ÉTUDIÉE ÓÏÐÀÆÍÅÍÈß ÄËß ÇÀÊÐÅÏËÅÍÈß ÈÇÓ×ÅÍÍÎÃÎ ÌÀÒÅÐÈÀËÀ
9. Remplacez l’article par des adjectifs démonstratifs (çàìåíèòå àðòèêëü óêàçàòåëüíûìè ïðèëàãàòåëüíûìè «ce», «cet», «cette», «ces»).
Le cahier, la chaise, la porte, le livre, le plafond, les crayons, les plumes, l’étudiant, l’étudiante, la maison, les murs, le corridor, la rue, le professeur, l’atelier, la feuille, la robe, le chapeau. Que pensez-vous de… enfant?… maison est grande… étudiant est malade. Dans… dictée il n’y a pas de fautes… cahiers sont dans la serviette. Apportez… chaise dans la salle… groupe n’est pas grande.
Je travaille dans… école. J’ai besoin de… livre. Vous avez oublié la fin de… histoire. Nous aimons beaucoup… pièce. Tu connais bien… homme. Les œuvres de… auteur sont remarquables.
Ïðàâèëüíûå îòâåòû (les réponses): ce, cette, cette, ce, ce, ces, ces, cet, cette, cette, ces, ce, cette, ce, cet, cette, cette, cet, cet, cette, cet, cette, ces, cette, ce, cette, ce, cette, cette, cet, cet.
10. Mettez au féminin les noms-sujets (ïîñòàâüòå â æåíñêîì ðîäå ñóùåñòâèòåëüíûå-ïîäëåæàùèå).
Les danseurs ont très bien dansé. Les spectateurs ont beaucoup applaudi cet artiste. Les vendeurs vendent les marchandises, et les acheteurs les achètent. Dans cet hôtel il y a beaucoup d’étrangers. Les kolkhoziens travaillent aux champs.
Ïðàâèëüíûå îòâåòû (les réponses): danseuses, spectatrices, vendeuses, acheteuses, étrangères, kolkhoziennes.
11. Écrivez au féminin (íàïèøèòå â æåíñêîì ðîäå).
Le paysan, le chat, le veuf, l’ami, l’époux, l’ouvrier, le Russe, le Français, le musicien, le citoyen, le comédien, l’instituteur, le nègre, le directeur, le cuisinier, le voisin, le neveu, le cousin, le bohémien, le sorcier.
Ïðàâèëüíûå îòâåòû (les réponses): la paysanne, la chatte, la veuve, l’amie, l’épouse, l’ouvrière, la Russe, la Française, la musicienne, la citoyenne, la comédienne, l’institutrice, la négresse, la directrice, la cuisinière, la voisine, la nièce, la cousine, la bohémienne, la sorcière.
12. Écrivez le féminin des noms propres (íàïèøèòå æåíñêèé ðîä èìåí ñîáñòâåííûõ).
Un Boulgare, un Anglais, un Américain, un Polonais, un Grec, un Chinois, un Allemand, un Finlandais, un Suisse, un Turc, un Italien, un Mexicain, un Espagnol, un Belge, un Portugais, un Hindou, un Africain, un Japonais, un Norvégien, un Géorgien.
Pierre, Jean, Michel, Jacques, Louis, Leon, René, Lucien, Charles, Simon, Antoine, Emile, Fernand, Henri, Yves, François, Eugène, Marcel.
13. Précisez le genre des substantifs (îïðåäåëèòå ðîä ñóùåñòâèòåëüíûõ).
Armistre, argile, insigne, orage, honneur, incendie, ancre, anniversaire, ustencile, automne, image, espace, obus, mérite, perce-neige, horreur, indice, espèce, sacrifice, patère, éloge, emplâtre, louange, énigme, enclume, tribu, équivoque, paroi, parapluie, couple, atmosphère, amnistie, programme, écho, auditoir, chrysanthème, lexique, épigramme, épisode, intervalle, artère, épilogue, syntaxe, orthografe, épithète, apostrophe, conservatoire, oasis, platine, apothéose, extase, idole, emblème.
14. Lesquels des noms n’ont pas de féminin (êàêèå èç ñóùåñòâèòåëüíûõ íå èìåþò æåíñêîãî ðîäà)?
Agent, animateur, amateur, arbitre, condisciple, architecte, diplomate, explorateur, défenseur, bibliothécaire, facteur, lauréat, exportateur, historien, imprimeur, locataire, sauveur, ministre, électeur, possesseur, journaliste, témoin, successeur, propriétaire.
15. Remplacez les points par un article féminin ou masculin. Accordez les adjectifs et les participes passés (çàìåíèòå ïðîïóñêè àðòèêëåì ìóæ– ñêîãî èëè æåíñêîãî ðîäà, ñîãëàñóéòå ïðèëàãàòåëüíûå è ïðè÷àñòèÿ).
… somme (important) est (assigné) annuellement par notre gouvernement à l’instruction publique. L’atelier était presque vide: deux chevalets, … poêle de fonte, quelques chaises. Regarde l’heure a … pendule… jeune enseigne de vaisseau et… (petit) mousse étaient de grands amis. Il ne faut jamais jeter
… manche après la cognée… mode est (changeant). Chérubin était… page de la comtesse Almaviva… mousse (vert) et (épais) recouvrait la terre. Tu dois être fatigué. Fais… (petit) somme. Le cocher tenait les guides bien (tendu).
16. Écrivez le féminin des noms en choisissant les formes correspondantes (îáðàçóéòå ñóùåñòâèòåëüíûå æåíñêîãî ðîäà).
Le garçon, le mouton, l’homme, le coq, le bœuf, le bouc, le roi, l’oncle, le père, le frère, le fils, le neveu.
Ïðàâèëüíûå îòâåòû (les réponses): la fille, la brebis, la femme, la poule, la vache, la chèvre, la reine, la tente, la mère, la sœur, la fille, la nièce.
17. Traduisez en français (ïåðåâåäèòå íà ôðàíöóçñêèé ÿçûê).
Äàé åìó êíèãó, êîòîðàÿ ìîãëà áû åãî çàèíòåðåñîâàòü. Ôóíò – ñòàðàÿ ìåðà âåñà. Ñåãîäíÿ æàðêî, íàäåíü ïëàòüå ñ êîðîòêèìè ðóêàâàìè. Êòî ðàçîðâàë ýòó ñòðàíèöó? Ìû äîãîâîðèëèñü âñòðåòèòüñÿ íà ïî÷òå. Áèáëèîòåêà îòäàëà øêî– ëå íåñêîëüêî íîâûõ êíèã. ×àñîâîé íå ìîæåò îñòàâèòü ñâîåãî ïîñòà. Ó íåãî ïðåâîñõîäíàÿ ïàìÿòü. Ïîìîé ñêîâîðîäó è èñïåêè áëèíû äåòÿì. Îíè áóäóò èõ åñòü ñ óäîâîëüñòâèåì. Íåñìîòðÿ íà óñòàëîñòü, îí íå ïîêèäàë ñâîåãî ïîñòà.
18. Écrivez au pluriel (îáðàçóéòå ìíîæåñòâåííîå ÷èñëî ñóùåñòâèòåëüíûõ).
Ce drapeau, cette maison, ce cahier, ce chapeau, cette carte, ce ciel, ce journal, ce genou, cette grand-mère, ce cheveu. L’étudiante chante une chanson. Dans notre salle d’étude il y a un tableau. Une femme est assise sur le banc. Elle admire un bijou. C’est un Français. C’est une rue. C’est un cheval. C’est un bras. C’est un caillou.
Ïðàâèëüíûå îòâåòû (les réponses): ces drapeaux, ces maisons, ces cahiers, ces chapeaux, ces cartes, ces cieux, ces journaux, ces genoux, ces grand-mères, ces cheveux. Les étudiantes chantent des chansons. Dans notre salle d’étude il y a des tableaux. Des femmes sont assises sur les bancs. Elles admirent des bijoux. Ce sont des Français. Ce sont des rues. Ce sont des chevaux. Ce sont des bras. Ce sont cailloux.
19. Mettez les noms suivants au singulier (ïîñòàâüòå ñóùåñòâèòåëüíûå â åäèíñòâåííîå ÷èñëî).
Des canaux, des arsenaux, des souriceaux, des végétaux, des cerceaux, des marechaux, des morceaux, des metaux, des blaireaux, des vaisseaux, des hameaux, des vitraux, des poteaux, des jornaux, des tribunaux, des bocaux, des eventails, des soupiraux, des details, des travaux, des baux, des os, des maux, des faux.
20. Mettez les noms au pluriel (ïîñòàâüòå ñóùåñòâèòåëüíûå âî ìíîæåñòâåííîå ÷èñëî).
On voyait de loin les (tourelle) des (château). Ce pianiste donne des (récital) très courus. Lui seul connaissait les derniers (vœu) de la morte. La porte était fermée à plusieurs (verrou). Les (bambou) sont de (roseau) qui atteignent 95 mètres de haut. La minéralogie traite des (minéral). On trouve dans l’océan Pacifique des (corail) superbes. La forme des (cristal) varie beaucoup. On donne le nom de (festival) à de grandes (fête) musicales. L’histoire naturelle nous donne les (détails) sur les (animal), les (végétal), les (mineral). Sur la table il y avait des (bocal) de cristal. Il y a des (bleu) de différentes nuances. Les (coucou) pondent dans les (nid) des autres (oiseau). Les (chacal) sont très féroces. Une porte à deux (vantail), surmontés de (vitrail) peints en rouge, conduisait sur la terasse. Elle se plaint des (mal) de tête. Les (caillou) étaient couverts de rosée. Les (corail) servent à faire des (bijou). Les (enfant) préfèrent les (joujou) à tous les (joyau) du monde. On cultive des (ail) de plusieurs espèces.
21. Traduisez en français (ïåðåâåäèòå íà ôðàíöóçñêèé ÿçûê).
Îêðåñòíîñòè ýòîãî ãîðîäà î÷åíü æèâîïèñíû. Îáíàðóæåííûå àðõèâû ïðåä– ñòàâëÿëè áîëüøóþ öåííîñòü. Ïîäãîòîâêà ê ýêñïåäèöèè çàíÿëà öåëûé ìåñÿö. Êóïè ìíå äâà ïîëîòåíöà. Ìîè ëþáèìûå öâåòû – ïîäñíåæíèêè.  ýòîì ìà– ãàçèíå áîëüøîé âûáîð àáàæóðîâ, áóäèëüíèêîâ, ïîðòôåëåé è êîøåëüêîâ.  Òðåòüÿêîâñêîé ãàëåðåå ìîæíî îçíàêîìèòüñÿ ñ øåäåâðàìè ðóññêîé æè– âîïèñè.  ýòîì ãîðîäå ìíîãî íåáîñêðåáîâ.  åãî êîëëåêöèè ìîæíî íàéòè ìàðêè âñåõ ñòðàí ìèðà. Ó ìåíÿ äâå îäèíàêîâûå êíèãè: åñëè õî÷åøü, ÿ ïîäà– ðþ òåáå ýòó êíèãó. ß êóïèëà åìó äâå ðó÷êè.  íàøåì ñàäó ìíîãî öâåòîâ.
22. Remplacez les points par les adjectifs possessifs (çàìåíèòå ïðîïóñêè ïðèòÿæàòåëüíûìè ïðèëàãàòåëüíûìè).
Il pense à … sœur. Nous pensons à … amis. Ils apportent … cahiers à … professeur. Avez-vous… livres dans… serviette? Il a beaucoup de fautes dans… devoir… cahiers ne sont pas encore corrigés. Elle songeait toujours à… depart. Il pensait souvent à… mère. Il demande un conceil à… ami. Nous avons posé des questions à… amis. N’oublie pas d’écrire une lettre à… mère. Mon frère a mis… cravate noire. J’habite avec… mère… père et… frères.
Ïðàâèëüíûå îòâåòû (les réponses): sa, nos, leurs, leur, vos, votre, son, vos, son, sa, son, nos, ta, son, ma, mon, mes.
23. Écrivez le pluriel des noms composés (îáðàçóéòå ìíîæåñòâåííîå ÷èñëî ñëîæíûõ ñóùåñòâèòåëüíûõ).
Madame, monsieur, mademoiselle, gentilhomme, portefeuille, portemanteau, entrecôte, passeport, chèvrefeuille, bonhomme, betterave.
Un bateau-mouche, un chef-lieu, un martin-pêcheur, un chêne-liège, un sapeur-pompier, un chou-fleur, un wagon-réservoir, un laurier-rose, une porte-fenêtre.
Un cerf-volant, un faux-monnayeur, un Peau-Rouge, une morte-saison,
une longue-vue, un franc-tireur, une chauve-souris, une plate-bande, un court– circuit.
Un œil-de-bœuf, une gueule-de-loup, un chef-d’œuvre, une eau-de-vie, un croc-
en-jambe, un pied-d’alouette, un arc-en-ciel, un rez-de-chaussée.
Un passe-lacet, un cache-nez, un garde-fou, un porte-musique, un tire-ligne, un garde-manger, une garde-robe, un porte-plume, un couvre-lit, un chasse-neige, un porte-drapeau, un grande-manche.
Une arrière-garde, un avant-coureur, un sous-marin, un sous-sol, un contre– ordre, une arrière-boutique, un vice-amiral, une sous-tasse, une avant-garde.
24. Écrivez les noms composés au singulier (çàïèøèòå ñëîæíûå ñóùåñòâèòåëüíûå âî ìíîæåñòâåííîì ÷èñëå).
Des presse-papiers, des porte-parapluie, des porte-clef, des porte-avions, des porte-allumettes, des porte-bouteilles, des porte-cigares, des porte-aiguilles, des cure-dents, des compte-goutte.
25. Écrivez les noms composés correctement (çàïèøèòå ïðàâèëüíî ñëîæíûå ñóùåñòâèòåëüíûå).
Les (sapeur-pompier) combattent l’incendie. Cette collection de (timbre– poste) est fort intéressant. Les (martin-pêcheur) rasent l’eau en quête de poissons. Des (cerf-volant) évoluent au-dessus de la plage. Les (chauve– souris) font la guerre aux insectes et les (chat-huant) aux rongeurs. Les (oiseau-mouche) sont de très petits passereaux au plumage richement coloré. Les (moissonneuse-lieuse) ont rapidement coupé le blé. Dans notre jardin il y a des (reine-marguerite), des (gueule-de-loup), des (pied– d’alouette), dans le potager on remarque des (plate-bande) de (chou-fleur), de (chou-rave) et des carrés de (pomme de terre). Les jardins et les vergers sont souvent separés par des (claire-voie). Les renards ravagent souvent les (basse-cour). Les (belle-de-nuit) sont des fleurs qui ne s’épanouissent qu’après le coucher du soleil. Les (garde-barrière) sont des agents preposés à la garde d’une barrière sur une voie ferrée.
L’ADJECTIF ÈÌß ÏÐÈËÀÃÀÒÅËÜÍÎÅ
Òàáëèöà 18
LE GENRE DES ADJECTIFS ÐÎÄ ÈÌÅÍ ÏÐÈËÀÃÀÒÅËÜÍÛÕ
Òàáëèöà 19

LE PLURIEL DES ADJECTIFS ÌÍÎÆÅÑÒÂÅÍÍÎÅ ×ÈÑËÎ ÈÌÅÍ ÏÐÈËÀÃÀÒÅËÜÍÛÕ
Òàáëèöà 20

LES DEGRÉS DE COMPARAISON DES ADJECTIFS ÑÒÅÏÅÍÈ ÑÐÀÂÍÅÍÈß ÏÐÈËÀÃÀÒÅËÜÍÛÕ
Òàáëèöà 21

LE RÔLE DE L’ADJECTIF DANS LA PROPOSITION ÐÎËÜ ÏÐÈËÀÃÀÒÅËÜÍÎÃÎ Â ÏÐÅÄËÎÆÅÍÈÈ
Òàáëèöà 22
LA PLACE DE L’ADJECTIF DANS LA PROPOSITION ÌÅÑÒÎ ÏÐÈËÀÃÀÒÅËÜÍÎÃÎ Â ÏÐÅÄËÎÆÅÍÈÈ
Òàáëèöà 23

L’ACCORD DES ADJECTIFS ÑÎÃËÀÑÎÂÀÍÈÅ ÈÌÅÍ ÏÐÈËÀÃÀÒÅËÜÍÛÕ
Òàáëèöà 24
LES ADJECTIFS DÉMONSTRATIFS ÓÊÀÇÀÒÅËÜÍÛÅ ÏÐÈËÀÃÀÒÅËÜÍÛÅ
Òàáëèöà 25

Âñåãäà óïîòðåáëÿþòñÿ ïåðåä ñóùåñòâèòåëüíûì áåç àðòèêëÿ, ñîãëàñóþò– ñÿ ñ íèì â ðîäå è ÷èñëå. Ïðè ïåðå÷èñëåíèè ïîâòîðÿþòñÿ ïåðåä êàæäûì ñóùåñòâèòåëüíûì.  áóäóùåì âðåìåíè ìîãóò óïîòðåáëÿòüñÿ ñ ci, óêàçûâàÿ íà áîëåå áëèçêèé ïðåäìåò; â ïðîøåäøåì ñ là, óêàçûâàÿ íà îòäàëåííûé ïðåäìåò.
Je lis ce livre-ci. – ß ÷èòàþ ýòó êíèãó.
J’ai lu ce livre-là. – ß ïðî÷èòàëà òó êíèãó.
LES ADJECTIFS POSSESSIFS ÏÐÈÒ߯ÀÒÅËÜÍÛÅ ÏÐÈËÀÃÀÒÅËÜÍÛÅ
Òàáëèöà 26
Âñåãäà óïîòðåáëÿþòñÿ ïåðåä ñóùåñòâèòåëüíûì áåç àðòèêëÿ è ñîãëàñó– þòñÿ ñ íèì â ðîäå è ÷èñëå, à òàêæå ñ ëèöîì, ê êîòîðîìó îíî îòíîñèòñÿ. Ïðè ïåðå÷èñëåíèè ïîâòîðÿþòñÿ ïåðåä êàæäûì ñóùåñòâèòåëüíûì.
LES ADJECTIFS INTERROGATIFS ÂÎÏÐÎÑÈÒÅËÜÍÛÅ ÏÐÈËÀÃÀÒÅËÜÍÛÅ
Òàáëèöà 27
Âñåãäà óïîòðåáëÿþòñÿ ïåðåä ñóùåñòâèòåëüíûì áåç àðòèêëÿ è ñîãëàñó– þòñÿ ñ íèì â ðîäå è ÷èñëå.
LES ADJECTIFS INDÉFINIS ÍÅÎÏÐÅÄÅËÅÍÍÛÅ ÏÐÈËÀÃÀÒÅËÜÍÛÅ
Äàþò ïðåäñòàâëåíèå î êà÷åñòâå è êîëè÷åñòâå ñóùåñòâèòåëüíûõ, ê êîòî– ðûì îòíîñÿòñÿ.
Òàáëèöà 28

LES EXERCICES POUR LA RETENUE DE LA MATIÈRE ÉTUDIÉE ÓÏÐÀÆÍÅÍÈß ÄËß ÇÀÊÐÅÏËÅÍÈß ÈÇÓ×ÅÍÍÎÃÎ ÌÀÒÅÐÈÀËÀ
26. Mettez au féminin (ïîñòàâüòå â æåíñêîì ðîäå).
Le plafond est blanc – la porte est … Le tableau est noir – la serviette est … Le plancher est jaune – la chaise est … L’abat-jour est vert – la feuille est … Le chapeau est brun – la robe est …
Le chat gris – la chatte … Le fils chéri – la fille… L’homme savant – la femme… Le petit frère – la… sœur
L’air gai – la chanson… L’ami fidèle – l’ami…
Ïðàâèëüíûå îòâåòû (les réponses): blanche, noire, jaune, verte, brune, grise, chérie, savante, petite, gaie, fidèle.
27. Écrivez les substantifs féminins avec les adjectifs suivants (íàïèøèòå ñëåäóþùèå ïðèëàãàòåëüíûå ñ ñóùåñòâèòåëüíûìè æåíñêîãî ðîäà).
Beau, chaud, plein, appétissant, court, joyeux, vieux, entier, maladif, triste, mineur, faux, actif, bas, vrai, gros, français, mauvais, délicat, doux, nouveau, neuf, bon, fou, sec, frais, léger, grec.
Ïðàâèëüíûå îòâåòû (les réponses): belle, chaude, pleine, appétissante, courte, joyeuse, vieille, entière, maladive, triste, mineuse, fausse, active, basse, vraie, grosse, française, mauvaise, délicate, douce, nouvelle, neuve, belle, folle, sèche, fraîche, légère, grecque.
28. Accordez l’article et l’adjectif (ñîãëàñóéòå àðòèêëü ñ ïðèëàãàòåëüíûì).
(Un) automne (tardif), (un) épithète (élogieux), (un) programme (complet), (un) espace (resteint), de (grand) mérites, (un) insigne (distinctif), (un) injure (grossier), (un) orage (dévastateur), (un) atmosphère (étouffant), (un) éloge
(mérité), (un) argile (frais), (un) emblème (original), (un) épigramme (spirituel), (un) (grand) honneur, les (premier) perce-neige, (un) (bref) intervalle, (un) tribu (franc), (un) incendie (violent), (un) espèce (nouveau), (un) épisode (curieux), (un) énigme (cruel), (un) asile (sûr).
29. Mettez au féminin (ïîñòàâüòå â æåíñêîì ðîäå).
Il était obligeant et rieur. Il semblait triste, inquiet, anxieux. Le concièrge, soupçonneux, presque agressif, arrête le jeune homme. Son fils est doux, discret, obéit sans parler. Il rentrait chez lui, pâle de faim, mais léger, alerte, du sourire à la lèvre. Invité à boir le café, Michel, cordial, affable, compréhensif, n’arrivait jamais les mains vides. On lui en savait gré. Le patron, petit, gros, gras, joufflu, rumine de triste pensées. Il était courtaud, grassouillet, remuant, prompt au sourire. C’était un paysan bourguignon, encore beau à quarante ans.
30. Écrivez les adjectifs correctement (íàïèøèòå ïðàâèëüíî ïðèëàãà– òåëüíûå).
Je tenais (secret) ma découverte. Chacune de ces trois (grand) divisions de Paris était une ville, mais une ville trop (spécial) pour être (complet). Il avait la machoire (inférieur) (saillant), le nez légèrement écrasé. Il faisait un froid sec. La lune, (plein) en ce moment, avait des clartés (aigu), (particulier) aux lunes d’hivers. C’était un garçon à l’air vigoureux, dont la bouche (fin) et la peau encore (délicat) annonçaient la jeunesse. Il était de taille (moyen). Une discussion (vif), (animé), peu (courtois), grossier même s’engagea. Il parlait presque toujours par phrases (bref, sibyllin). Il portait des vêtements (noir), de forme (désuet). Jacques avait une façon d’écouter, (patient), (sérieux), (discret), qui lui attirait toujours les confidences. Il avait d’abord écouté, sans pouvoir se défendre d’une délectation (subtil), cette voix (appuyé, douloureux, excessif) où il retrouvait son Jacques de toujours. C’était une brise (mou), (tiède), (paisible), une brise de printemps.
31. Traduisez en français (ïåðåâåäèòå íà ôðàíöóçñêèé ÿçûê).
Âû ãîâîðèòå ïî-ôðàíöóçñêè? Îí ñèëüíî ñòó÷èò â äâåðü. Îí óñèëåííî ðàáî– òàåò, îí ñäàåò ýêçàìåí. Ýòîò êîñòþì ñòîèò äîðîãî. Îíà õîðîøî ãîâîðèò ïî-àíãëèéñêè. Íàø ãîðîä ìàëåíüêèé. Ïîñìîòðè ìîþ êîìíàòó, îíà ñâåòëàÿ è áîëüøàÿ. Ýòî äîáðàÿ æåíùèíà, ó íåå õîðîøèé õàðàêòåð. ß æèâó â ñîñåäíåì äîìå. Ýòà óëèöà øèðîêàÿ. Ýòà çåìëÿ ñóõàÿ. Íàøà íîâàÿ ñòóäåíòêà î÷åíü àêòèâ– íà. ß ëþáëþ íàø ñòàðûé ïàðê. Äàéòå ìíå, ïîæàëóéñòà, ýòè ôðàíöóçñêèå æóð– íàëû. Ó âàñ ìíîãî èíîñòðàííûõ êíèã â áèáëèîòåêå?  íàøåé ãðóïïå âñå ñòó– äåíòû âíèìàòåëüíû.  íàøåì êâàðòàëå ìíîãî íîâûõ äîìîâ. Ó íåå äëèííûå êàøòàíîâûå âîëîñû. Îí íîñèò ÷åðíûå áîòèíêè. Ýòî åãî ñîáñòâåííûå ñòèõè.
32. Écrivez les adjectifs au pluriel (íàïèøèòå ïðèëàãàòåëüíûå âî ìíî– æåñòâåííîì ÷èñëå).
Final, mural, gris, bleu, natal belle, heureux, beau, étranger, bref, doux, interéssant, neuf, vieille, vieil, longue, nouvelle, attentif, profond, rouge, neuve, mural, vert, fin, large, court, célèbre, grand, petit.
Ïðàâèëüíûå îòâåòû (les réponses): finals, muraux, gris, bleus, natals, belles, heureux, beaux, étrangers, brefs, doux, intéressants, neufs, vieilles, vieux, longues, nouvelles, attentifs, profonds, rouges, neuves, muraux, verts, fins, larges, courts, célèbres, grands, petits.
33. Ecrivez les adjectifs correctement (íàïèøèòå ïðèëàãàòåëüíûå ïðà– âèëüíî).
Les feuilles du pin et du sapin sont très (aigu). Les fleurs (artificiel) sont rarement aussi (beau) que les fleurs (automnal). Les éventails japonais sont très (élégant) et (beau). Leurs projets sont (fou). La malade se porte mal. Le médecin constate des troubles (mental). Cet amiral a pris part à de (nombreux) combats (naval). On leur donne souvent des devoirs (oral) à préparer. Peut-on oublier les sites (natal)? Il faut arracher les herbes (fou) de ce carré de fleurs. Les (nouveau) amis se séparèrent avec regret. Il a bien répondu aux questions (oral). Les frères (jumeau) avaient les yeux (bleu) et les (cheveu chatain). On organise souvent des expositions de (meilleur journal mural). Les aurores (boréal) sont des phénomènes lumineux propres surtout aux pays (septentrional). Les voyelles sont (long) et (bref), (nasal) et (clair). Bien que tres vif et petulant, il evitait les (jeu brutal).
34. Accordez les adjectifs (ñîãëàñóéòå ïðèëàãàòåëüíûå).
Elle allait (nu)-pieds, dans la neige, si doucement qu’on n’entendait rien. Pendant près d’une (demi)-heure, il demeura immobile, les yeux fixés sur une masse d’ombre, songeur. Ce chemin, courant entre les enclos des paysans, joignait, une (demi)-
lieue plus loin, la grande route du Havre à Fécamp. Ça et là sur la berge une cabane d’éclusier, des enfants courants pieds (nu) sur les barresde l’écluse. La jeune fille, pieds (nu) sur le carreau, allait et venait par la chambre. Je l’ai attendu une heure et (demi). C’était un vaste espace (nu), éclairé par de (grand) verrières (bleu). À quatre heures et (demi) du matin les voyageurs se réunirent dans la cour de l’Hôtel de Normandie. La porte du grenier s’ouvrit brusquement, et la forestière parut, (nu)-pieds, en chemise, une chandelle à la main, l’air affolé.
35. Traduisez en français (ïåðåâåäèòå íà ôðàíöóçñêèé ÿçûê).
ß ñìîãó äàòü âàì îòâåò ÷åðåç ïîë÷àñà. Óðîê äëèòñÿ ïîëòîðà ÷àñà.  äåò– ñòâå ÿ ëþáèëà áåãàòü áîñèêîì ïî ïåñêó. Åñëè òû õî÷åøü ñäåëàòü ïëàòüå ñ äëèííûìè ðóêàâàìè, êóïè òðè ñ ïîëîâèíîé ìåòðà òêàíè. Îíà ñòèðàëà: åå îáíàæåííûå ðóêè áûëè ïîêðûòû ìûëüíîé ïåíîé. Ìîåé ìëàäøåé ñåñòðåíêå øåñòü ñ ïîëîâèíîé ëåò. Çèìîé è ëåòîì îíà õîäèò ñ íåïîêðûòîé ãîëîâîé. ß êóïèëà äâà ñ ïîëîâèíîé êèëîãðàììà ÿáëîê. Îíà ïðîâåëà ïîëòîðà ãîäà íà þãå. Åãî ìàòü è îòåö åùå íå ñòàðûå. Ïüåñû è ðîìàíû ýòîãî àâòîðà î÷åíü èíòåðåñíû. Ìîè ïàëüòî è ïëàòüå ñëèøêîì èçìÿòû. Êîãäà îí äîáðàëñÿ äî äîìó, åãî ñàïîãè è áðþêè áûëè çàáðûçãàíû ãðÿçüþ.
36. Accordez es adjectifs composés (ñîãëàñóéòå ñëîæíûå ïðèëàãàòåëüíûå).
Je n’aime pas ses paroles (aigre-doux). Elle n’est pas (franc). Une fillete (demi-vêtu) ouvrit la porte au médecin. À droite, à gauche, des roches sont (gris– bleu). La jeune femme était vêtue d’une robe (bleu clair). Les roses (frais éclos) ont un parfum merveilleux. J’aime les cerises. Elles sont (aigre-doux). Les étoffes (rose tendre), (bleu pâle), (gris claire) se fanent facilement. Les yeux (grand ouvert), j’admirais mon vieil ami qui cataloguait. Elle avait les cheveux (blond cendré). Ils demeurèrent seuls, près de la porte d’entrée (grand ouvert). On ne vend que des fleurs toutes (frais cueilli) et même (frais éclos). Il se passionne à capter les ondes (ultra-court). Il existe des écoles pour les enfants (sourd-muet), on y réalise des choses étonnantes.
37. Mettez les adjectifs au comparatif ou au superlatif (ïîñòàâüòå ïðèëà– ãàòåëüíûå â ñðàâíèòåëüíóþ èëè ïðåâîñõîäíóþ ñòåïåíè).
Cette rue est (large) que la rue Pouchkine. C’est (étroite) rue de notre ville. Ce musée est (célèbre) que le Palais du Louvre. C’est (court) chemin pour aller à ce village. Moscou est (grand) que Saratov. Ces jeunes filles sont (appliquées) de tout le groupe. La Russie est (grand) que la France. En hivers les jours sont (longs) qu’en été. C’est (bon) élève de notre groupe. Elle a été très malade; (petit) bruit l’agaçait. C’est (beau) journée de ma vie. Le Luxembourg est (petit) pays de l’Europe. Ce sont (bon) sportif de notre équipe. Il surveillait (petit) paroles de ses interlicuteurs.
Ïðàâèëüíûå îòâåòû (les réponses): plus large, la plus étroite, moins, le plus court, plus grand, les plus appliquées, plus grande, plus longs, le plus bon, le plus petit, la plus belle, le plus petit, les plus bons, les plus petites.
38. Traduisez en français (ïåðåâåäèòå íà ôðàíöóçñêèé ÿçûê).
Ýòà êîìíàòà áîëüøå è ñâåòëåå, ÷åì ìîÿ. Ýòà êíèãà èíòåðåñíåå, ÷åì òà, êîòðóþ òû ìíå äàâàëà. Ìîé ÷åìîäàí ìåíüøå òâîåãî, íî îí òÿæåëåå. Ìîé ëó÷øèé äðóã óåçæàåò çàâòðà. Âîëãà – ñàìàÿ äëèííàÿ ðåêà â Åâðîïå. Êàêîé ïåðåâîä ñàìûé ëó÷øèé? Ýòî ñàìàÿ èíòåðåñíàÿ êíèãà, êîòîðóþ ÿ êîãäà-ëèáî ÷èòàë. Ýòà äåâî÷êà âíèìàòåëüíåå è ïðèëåæíåå ñâîåãî áðàòà.  ýòîì ãîäó ôðóêòû ñòîÿò äîðîæå, ÷åì â ïðîøëîì ãîäó. Ýòî ëó÷øàÿ ïåâèöà, êîòîðóþ ÿ êîãäà-ëèáî ñëûøàëà. ß âàì ðàññêàæó åùå áîëåå óäèâèòåëüíóþ èñòîðèþ.
Êòî ñàìàÿ âíèìàòåëüíàÿ è ïðèëåæíàÿ ó÷åíèöà â êëàññå? Ýòà èñòîðèÿ ïðîùå, ÷åì òû äóìàåøü. Ëóàðà øèðå Ðîíû, íî îíà ìåíåå áûñòðàÿ.  ãîðàõ âîçäóõ ÷èùå, ÷åì â äîëèíàõ. Ñòèõè Íåêðàñîâà áîëåå èçâåñòíû, ÷åì åãî ïðîçà. Ñàìûõ ìàëåíüêèõ óñàäèëè â ïåðâîì ðÿäó. Îí êàæåòñÿ ñòàðøå áðàòà, íî îíè áëèçíåöû.
39. Remplacez les points par les adjectifs possessifs (çàìåíèòå ïðîïóñêè ïðèòÿæàòåëüíûìè ïðèëàãàòåëüíûìè).
Tu habite avec… parents. J’aime… mère. J’aime… enfants. Ils aiment… enfants. Tu as un cahier, c’est… cahier. Il a trois crayons, ce sont… crayons. Ils ont trois chambers, ce sont… chambers.
Ïðàâèëüíûå îòâåòû (les réponses): tes, ma, mes, leurs, ton, tes, leurs.
40. Traduisez en français (ïåðåâåäèòå íà ôðàíöóçñêèé ÿçûê).
ß äóìàþ î ñâîåé æåíå è äåòÿõ. Äþðóà æèë òåïåðü â íîâîì äîìå, êóäà îí ïåðåâåç ñâîé ÷åìîäàí.  ïðîòèâîïîëîæíîì êîíöå êîðèäîðà ÿ çàìå÷àþ ñâîþ æåíó è äî÷ü. Âñå âûïîëíÿþò ñâîé äîëã. ß óçíàþ äî÷ü ïî åå êðàñíîìó ïàëüòî. ß íå íàõîæó ñâîèõ ïåð÷àòîê. ß äîëæíà íàâåñòèòü ñâîþ áîëüíóþ ïîäðóãó. Ìû íèêîãäà íå çàáóäåì ñâîèõ ôðàíöóçñêèõ äðóçåé. Æàí ïîñìîòðåë íà ñâîè ÷àñû. Êîãäà òû ñäàåøü òâîé ýêçàìåí ïî ëèòåðàòóðå? Êóäà òû ïîëîæèëà ñâîè òåòðàäè? Òû íèêîãäà íå áûâàåøü äîâîëüíà ñâîèì ïðîèçíîøåíèåì. Îíè ïîøëè ê ñâîèì äðóçüÿì. Ó÷èòåëü ðóãàåò ìåíÿ çà ìîé ïî÷åðê. Ìîè äðóçüÿ ñäàþò çàâòðà ýêçàìåí.
41. Formez des phrases (ñîñòàâüòå ôðàçû).
42. Traduisez les phrases (ïåðåâåäèòå ôðàçû).
Je peux le faire moi-même. Je vais au travail tous les jours. Je n’ai aucune besoin de ton aide. Nous avons fait ces exercices plusieurs fois. Je vois mes parents chaque jour. C’est la plus grande maison du coron. Il boit aussi sobrement qu’il mange. Carmen était plus jolie que toutes les femmes de sa nation que j’aie jamais rencontrées. Une bruit tombait, plus froide et plus pénétrante que la pluie. Jonnas apporte ses meilleurs vins. Jacqueline est ma meilleure copine. Debout elle était aussi haute que sa grand-mère. Il était devenu presque aussi nerveux que son compagnon. De ce que l’un était légèrement plus grand que l’autre, on conclut qu’il était l’aîné. Déjà la souffrance devenait moins aiguë. Fernand, que tu vois, est un des meilleurs pêcheurs de Marseille.
43. Écrivez correctement «même», «quelque», «tout», «certain», «tel», «nul», «maint» (íàïèøèòå ïðàâèëüíî óêàçàííûå ìåñòîèìåíèÿ).
La nuit était noire. (Quelque) gouttes de pluie tombaient. (Tel) est la verité. Les enfants étaient (tout) yeux et (tout) oreilles aux récits de leur maître. Je vous rapporte ses paroles (tel quel). Comme elle avait été à l’opéra, une nuit d’hivers, elle rentra (tout) frissonnante. (Tel) fut mon entrée dans Paris. À (certain) regards, à (certain) réflexion, à (certain) mots dissimulant mal leur signification véritable, il lui était arrivé de se sentir découvert. (Tel) étaient les affreuses images, les songes de malade que la peur assemblait dans mon imagination. La chaumière était isolée et (tout) basse sous de vieux hêtres. Les ruisselets, (même) les plus petits, finissent par porter leurs eaux à la mer. Petit Pierre, debout, ouvrait (tout) grands ses yeux profonds, ayant peur lui aussi. Les plus habiles s’étaient égarés en (maint) endroits. C’était (tout) les jours, (tout) les nuits, le (même) souffle régulier, tiède, exquis à respirer, et la (même) mer transparente.
44. Traduisez en français (ïåðåâåäèòå íà ôðàíöóçñêèé ÿçûê).
Êàêèå ÷àñû òû êóïèë? Çíàåøü ëè òû, êàêîé îí äàë îòâåò? Êàêèå ñòóäåí– òû óåçæàþò â Ïàðèæ? Êàêèå èíòåðåñíûå æóðíàëû îí íàì ïîêàçàë! Êàêàÿ ïðåêðàñíàÿ âûñòàâêà! Êàêîâû âàøè ïëàíû? Êàêàÿ ïðèÿòíàÿ íåîæèäàííîñòü! Êàêîâî ñîñòîÿíèå åãî çäîðîâüÿ? Îíà íå ïîëó÷àëà íèêàêîãî ïèñüìà. Îí óåäåò ÷åðåç íåñêîëüêî äíåé. Ó íåãî íåò íèêàêèõ èçâåñòèé î áðàòå. Îíà íèêóäà íå õîäèò. Íåêîòîðûå æèâîòíûå ñïÿò âñþ çèìó. Îíè æèâóò â íåñêîëüêèõ øàãàõ îò âîêçàëà. ß íåñêîëüêî ðàç ãîâîðèëà ñ íèì îá ýòîì. Îí íå çàìåòèë íèêàêèõ èçìåíåíèé. ß íåìíîãî óòîìëåíà ñåãîäíÿ. Ó ìåíÿ íåò íèêàêîãî æåëàíèÿ èäòè ñåãîäíÿ â êèíî. Ýòè äåâî÷êè ïóòåøåñòâîâàëè ñîâñåì îäíè. Êàæäûé ìàëûø â äåòñêîì ñàäó èìååò ñâîé øêàô÷èê. Êàæäóþ ìèíóòó çà íèì ìîãëè ïðèéòè. Ìíîãèå ó÷åíèêè ïðèíèìàþò ó÷àñòèå â ðàáîòå ýòîãî êðóæêà. ß åãî íèãäå íå âèæó.
45. Remplacez les points par les adjectifs «tout», «même», «quelque», «quel» (çàìåíèòå ïðîïóñêè ñîîòâåòñòâóþùèìè ïðèëàãàòåëüíûìè).
À une heure… les ateliers étaient fermés… les maison et… les rues désertes. Les braves chiens de berger… suants… affairés après leurs bêtes, ne voient qu’elles… les fenêtres des façades s’éclairaient. De… côté les lampes luisaient. La robe de cette fille était… mouilée de l’eau. Nous sortîmes;… le village était dans les rues. Elle était… frissonnante et se serrait contre moi au moindre bruit. Les enfants revinrent… en larmes me conter ce qu’ils avaient vu… les élevès sont sages et appliquées. Rose ferme sa porte à clef, se jette… habillée sue le lit, et, sa tête brune enfouie dans l’oreiller, sanglote éperdument… les problèmes et…
les questions soulevés par le procès doivent être envisagés. Elle… pêles se sont prises par la main, comme au-devant de la morte… nuit lumineuse et bruyante à Santa Lucia? Je me mis à regarder Mademoiselle Perle:… âge avait-elle? Cet avion fait… huits kilomètres à l’heure. Antoinette lui dit… impertinence. On ne rencontrait dans les rues que… rares passant. Les hommes… les plus intelligents ont souvent besoin de conseils. Ils revenaient toujours sur les… histoires.
46. Remplacez les points par les adjectifs démonstratifs (çàìåíèòå ïðî– ïóñêè óêàçàòåëüíûìè ìåñòîèìåíèÿìè).
Et toujours l’on avait sous les yeux … paysage de mer… l’horizont illimité… en ciel bleu absolu, si pur, si propre, et… mer, plus bleue encore, d’un bleu qui est presque noir les jours de tempête. Ils étaient si singuliers et si charmants, sur le pavé… trois blonds vêtus pauvrement de noir… fille triste entre… joli enfant et… garçon superbe, que les passants se retournaient avec des sourires. Dans… petit coin remis neuf… airs de danse… tapage… gaieté débordante et triviale me serraient le cœur. Elle avait bien… air faussement doux… amabilité obséquieuse des gens habitués au commerce. En entrant j’etais ébloui… cuivres… étains… réflecteurs de métal blanc… murs de cristal bombé qui tournaient avec de grands cercles bleuâtres, tout… miroitement, tout… cliquetis de lumière me donnait un moment de vertige. Vous connaissez… jolie griserie de l’âme n’est-ce pas?
L’ADJECTIF NUMÉRAL ÈÌß ×ÈÑËÈÒÅËÜÍÎÅ
Òàáëèöà 29
L’EMPLOI DES ADJECTIFS NUMÉRAUX ÓÏÎÒÐÅÁËÅÍÈÅ ÈÌÅÍ ×ÈÑËÈÒÅËÜÍÛÕ
Òàáëèöà 30

//-- LES PARTICULARITÉS DE LA PRONONCIATION DES ADJECTIFS NUMÉRAUX ÎÑÎÁÅÍÍÎÑÒÈ ÏÐÎÈÇÍÎØÅÍÈß ÍÅÊÎÒÎÐÛÕ ×ÈÑËÈÒÅËÜÍÛÕ --//
Òàáëèöà 31

LES PARTICULARITÉS DE L’ORTHOGRAPHE DES ADJECTIFS NUMÉRAUX ÎÑÎÁÅÍÍÎÑÒÈ ÏÐÀÂÎÏÈÑÀÍÈß ÍÅÊÎÒÎÐÛÕ ×ÈÑËÈÒÅËÜÍÛÕ
Òàáëèöà 32

LES EXERCICES POUR LA RETENUE DE LA MATIÈRE ÉTUDIÉE ÓÏÐÀÆÍÅÍÈß ÄËß ÇÀÊÐÅÏËÅÍÈß ÈÇÓ×ÅÍÍÎÃÎ ÌÀÒÅÐÈÀËÀ
47. Écrivez les chiffres en toutes lettres (íàïèøèòå öèôðû ïðîïèñüþ).
8 plumes, 10 crayons, 5 livres, 9 questions, 6 chaises, 7 étudiants, 25 tables,
18 maisons. L’année a 12 mois. Le 11 mois de l’année est novembre. 13 et 5 font
18. Aujourd’hui le thermomètre marque 12 degrés au-dessus de 0. Nous vivons au 20 siècle. Le 14 juillet est une fête nationale en France. J’avais 15 ans quand la Grande guerre nationale a commencé. Mon train part à 19 heures 10; il est encore 16 heures, il me reste 3 heures pour faire mes malles et arriver à la gare, cela suffit. Les plus hauts pics de l’Himalaya atteingnent près de 9000 mètres. Voltaire est mort à 84 ans, Diderot – à 71 ans, Rousseau – à 66 ans. La première révolution en France commença en 1789.
48. Dites en français (ñêàæèòå ïî-ôðàíöóçñêè).
1 + 2 = 3; 5 + 4 = 9; 11 + 7 = 18; 25 + 13 = 38; 89 + 11 = 100; 200 + 100 = 300.
49. Dites en français (ñêàæèòå ïî-ôðàíöóçñêè).
1/3; 3/7; 5/6; 25/7; 51/8; 78/9; 34; 5,73; 8,249.
50. Répondez aux questions (îòâåòüòå íà âîïðîñû).
Combien de livres y a-t-il dans votre serviette? Combien d’étudiants avez– vous dans le groupe? À quel étage demeurez-vous? Combien de fenêtres y a-t-il dans votre chambre? Combien de doigts avez-vous aux mains. Quand commence la nouvelle année? À quelle page est le texte que vous lisez? Combiens de sœurs ou de frères avez-vous? Combien de cours avez-vous par jour? Quel est le numéro de votre maison? Quel acte de l’opéra «La dame pique» préférez-vous?
51. Traduisez en français (ïåðåâåäèòå íà ôðàíöóçñêèé ÿçûê).
ß ïðèíåñó âàì ýòîò ïåðåâîä ÷åðåç äâà äíÿ. Îí óåõàë â Ìîñêâó òðè äíÿ òîìó íàçàä. Íóæíî ñäåëàòü ýòó ðàáîòó çà äâå íåäåëè, ê 13 ìàÿ. Ìû áóäåì â Ìîñêâå ÷åðåç ÷åòûðå íåäåëè è âåðíåìñÿ çà ïÿòü äíåé äî 8 ìàðòà. Îáà äðóãà óåçæàþò ÷åðåç ÷àñ, â äåñÿòü ÷àñîâ óòðà îí óåõàë 15 ìàðòà è îáåùàë âåð– íóòüñÿ ÷åðåç ïÿòü äíåé, íî åãî çàäåðæaëè, è îí ïðèåõàë òîëüêî 25. Îí æè– âåò â Ïàðèæå óæå òðèíàäöàòü ëåò. Ñ 1 ïî 12 èþíÿ ó íàñ ýêçàìåíàöèîííàÿ ñåññèÿ. Ñ 1 ïî 10 ÿíâàðÿ ó íàñ êàíèêóëû.
52. Traduisez en russe (ïåðåâåäèòå íà ðóññêèé ÿçûê).
Il est parti pour une quinzaine, mais il est revenu au bout de huit jours. En 1964 on a célébré le bicentenaire de l’Ermitage. Des milliers et des milliers de touristes passent par la Place Rouge chaque année. J’ai dans mon bibliothèque plusieurs centaines de livres français. C’est la seconde fois que je vous le répète. Je l’attends depuis un quart d’heure. Encore deux minutes et je pars. Pourrais-tu me prêter une dizaine de roubles? – Je pourrais te prêter le double si tu en as besoin. Un tiers multiplié par trois est égal à un. La quatrième planète était celle du businessman.
LE PRONOM ÌÅÑÒÎÈÌÅÍÈÅ
Òàáëèöà 33
LES FORMES CONJOINTES (ATONES) ËÈ×ÍÛÅ ÏÐÈÃËÀÃÎËÜÍÛÅ ÌÅÑÒÎÈÌÅÍÈß (ÁÅÇÓÄÀÐÍÛÅ)
Òàáëèöà 34
L’EMPLOI DES PRONOMS ATONES ÓÏÎÒÐÅÁËÅÍÈÅ ËÈ×ÍÛÕ ÁÅÇÓÄÀÐÍÛÕ ÌÅÑÒÎÈÌÅÍÈÉ
Òàáëèöà 35
LES FORMES DISJOINTES (TONIQUES) ËÈ×ÍÛÅ ÏÐÈÃËÀÃÎËÜÍÛÅ ÌÅÑÒÎÈÌÅÍÈß (ÓÄÀÐÍÛÅ)
Òàáëèöà 36
L’EMPLOI DES PRONOMS TONIQUES ÓÏÎÒÐÅÁËÅÍÈÅ ËÈ×ÍÛÕ ÓÄÀÐÍÛÕ ÌÅÑÒÎÈÌÅÍÈÉ
Òàáëèöà 37
LES PRONOMS RÉFLÉCHIS ÂÎÇÂÐÀÒÍÛÅ ÌÅÑÒÎÈÌÅÍÈß
Òàáëèöà 38
LES PRONOMS EN, Y ÌÅÑÒÎÈÌÅÍÈß EN, Y
Òàáëèöà 39

LES PRONOMS POSSESIFS ÏÐÈÒ߯ÀÒÅËÜÍÛÅ ÌÅÑÒÎÈÌÅÍÈß
Òàáëèöà 40
Ïðèòÿæàòåëüíûå ìåñòîèìåíèÿ â ïðåäëîæåíèè çàìåíÿþò ñóùåñòâèòåëüíîå (âûïîëíÿþò òå æå ôóíêöèè) è ïðèíèìàþò åãî ðîä è ÷èñëî. Ïåðåä ïðèòÿæàòåëüíûìè ìåñòîèìåíèÿìè âñåãäà ñòîèò îïðåäåëåííûé àðòèêëü.
LES PRONOMS DÉMONSTRATIFS ÓÊÀÇÀÒÅËÜÍÛÅ ÌÅÑÒÎÈÌÅÍÈß
Òàáëèöà 41
L’EMPLOI DES PRONOMS DÉMONSTRATIFS ÓÏÎÒÐÅÁËÅÍÈÅ ÓÊÀÇÀÒÅËÜÍÛÕ ÌÅÑÒÎÈÌÅÍÈÉ
Òàáëèöà 42
LES PRONOMS RELATIFS ÎÒÍÎÑÈÒÅËÜÍÛÅ ÌÅÑÒÎÈÌÅÍÈß
Òàáëèöà 43
L’EMPLOI DES PRONOMS RELATIFS ÓÏÎÒÐÅÁËÅÍÈÅ ÎÒÍÎÑÈÒÅËÜÍÛÕ ÌÅÑÒÎÈÌÅÍÈÉ
Òàáëèöà 44

LES PRONOMS INTERROGATIFS ÂÎÏÐÎÑÈÒÅËÜÍÛÅ ÌÅÑÒÎÈÌÅÍÈß
Òàáëèöà 45
L’EMPLOI DES PRONOMS INTERROGATIFS ÓÏÎÒÐÅÁËÅÍÈÅ ÂÎÏÐÎÑÈÒÅËÜÍÛÕ ÌÅÑÒÎÈÌÅÍÈÉ
Òàáëèöà 46

LES PRONOMS INDÉFINIS ÍÅÎÏÐÅÄÅËÅÍÍÛÅ ÌÅÑÒÎÈÌÅÍÈß
Òàáëèöà 47

LES EXERCICES DE RETENIR DE LA MATIÈRE ÉTUDIÉE ÓÏÐÀÆÍÅÍÈß ÄËß ÇÀÊÐÅÏËÅÍÈß ÈÇÓ×ÅÍÍÎÃÎ ÌÀÒÅÐÈÀËÀ
53. Remplacez les points par les pronoms convenables (çàìåíèòå ïðîïóñ– êè ñîîòâåòñòâóþùèìè ìåñòîèìåíèÿìè).
… marchez dans la rue… entre dans la classe prononcent bien… répétons cette phrase
… montrons le livre… montrez le cahier vais à la maison… lisent lentement
… va vers la porte… écrivons au tableau
… prenez la craie… prennent les cahier
… prennent le journal… lit le livre
Ïðàâèëüíûå îòâåòû (les réponses): vous, ils, nous, je, elle, vous, elles, il, nous, vous, ils, nous, elles, il.
54. Remplacez les points par les pronoms personnels (çàìåíèòå ïðîïóñêè ëè÷íûìè ìåñòîèìåíèÿìè).
… et… nous partons demain. Je pense que nous le ferrons… mêmes… Je reste à la maison. Je compte sur… Cette femme ne pense qu’à… Tu vois ce garçon, donnes ce livre à… Ni…, ni… ne pevent pas vous aider. Fais cet exercice… même.
Ïðàâèëüíûå îòâåòû (les réponses): toi, moi; nous, moi, toi, elle, lui, moi, lui; toi.
55. Remplacez les mots en italique par les pronoms personnels atones (çàìåíèòå âûäåëåííûå ñëîâà ëè÷íûìè áåçóäàðíûìè ìåñòîèìåíèÿìè).
J’adore cet enfant. Cet étudiant parle de ses projets à ses amis. Ce garçon aime ses parents. Tu diras à ton ami, que je n’ai pas oublié ma promesse. Chaque jour je rencontre cette petite fille au coin de la rue. Comme ces gâteaux sont appétissants, donnez ces gâteaux à cet enfant. Dans ce kiosque on vend les journaux français. Voilà mon avis: suivez cet avis ou ne suivez pas cet avis, c’est votre affaire. Il parle à cet étudiant. Les voyageurs admirent les monuments
historiques de Paris. Ce petit garçon ne dérange pas sa grand-mère quand elle se repose. Au coin d’une rue il rencontre son copin. L’étudiant met sa serviette sur la table de travail. La musique n’empêche pas ma petite sœur de dormir. Ce jeune homme écrit souvent à ses parents. L’étudiant explique au professeur la cause de son retard.
Ïðàâèëüíûå îòâåòû (les réponses): le, il, leur, les, lui, la, ils, lui, les, le, le, lui, ils, les, la, le, la, la, leur, il, lui.
55. Remplacez les mots en italique par un pronom personnel tonique (çàìåíèòå âûäåëåííûå ñëîâà ëè÷íûì óäàðíûì ìåñòîèìåíèåì).
J’achète ce livre pour ma fille. La petite fille pense souvent à son père. Je ne peut pas achever ce travail sans mon frère. Il parle français aussi bien que son père. Mon frère achète ces livres pour notre mère. Chaque dimanche je vais en visite chez mes parents. Quant à ces étudiants, ils sont appliqués. Elle ne songe point à son amie, elle est très occupée. Je viens chez mes amis, mais je ne les trouve pas à la maison. Elle court à ses amies. Je n’aime pas parler de cette histoire avec mes copins. Quand les étudiants passent devant le professeur, ils lui disent bonjour. Il lève la tête vers sa sœur et sourit. Le garçon est assis près de ses sœurs. Il parle anglais devant ses amis. Le père va au théâtre avec ses filles. Je suis plus agé que cette fille. En cas de besoin vous pouvez compter sur mes amis.
Ïðàâèëüíûå îòâåòû (les réponses): elle, lui, lui, lui, elle, eux, lui, elle, eux, elles, eux, lui, elle, elles, elle, eux.
56. Repondez aux questions en employant les pronoms convenables (îòâåòüòå íà âîïðîñû, èñïîëüçóÿ ëè÷íûå ìåñòîèìåíèÿ).
Écris-tu souvent à tes parents? Voulez-vous voir ce nouveau film français? Est-ce que pour ton frère que tu achètes ce livre? Pouvez-vous nous prévenir de votre arivée? Penses-tu souvent à ta petite sœur? Est-ce que à tes parents que tu donnes chaque jour un coup de téléphone? Vous écrit-il chaque mois? Chantez– vous souvent cette chanson? Pouvez-vous aller voir notre ami qui est malade? Avez-vouz montré vos exercices à votre professeur? Me prêteras-tu ce dictionnaire pour quelques jours? Aidez-vous vos amis à résoudre des problèmes difficiles? Pouvez-vous nous donner votre cahier? Votre frère et vous, avez-vous visité l’exposition des peintres français? Voulez-vous avoir ces livres français? As-tu compris cette règle de grammaire?
57. Mettez à la forme affirmative (ïîñòàâüòå â óòâåðäèòåëüíóþ ôîðìó).
Ne lui parle pas de notre projet. Ne me reveillez pas tôt demain. Ne lui posez cette question. Ne comptez pas sur lui. Ne lui rends pas cette brochure aujourd’hui. Ne me rappelle pas cette affaire. Ne me donnez pas votre dictionnaire, s’il vous plaît. Ne nous montrer pas votre devoir.
58. Mettez à la forme negative (ïîñòàâüòå â îòðèöàòåëüíóþ ôîðìó).
Recontez-moi tout cela. Réveille-moi à sept heures du matin. Motre-le-moi, ce papier. Comptez sur moi. Je peux vous aider. Envoyez-lui cette dépêche, il la recevra ce soir. Verse-lui à boir, il a soif. Faites-le venir chez vous. Voici la lettre, décachetez-la. Pose-lui cette question. Donne-leur les allumettes. Expliquez-nous cette règle.
59. Répondez aux questions en remplaçant les mots en italique par un pronom personnel (îòâåòüòå íà âîïðîñû, çàìåíÿÿ âûäåëåííûå ñëîâà ëè÷íûì ìåñòîèìåíèåì).
As-tu trouvé ce livre? A-t-elle envoyé notre lettre? A-t-il rédigé ces articles? Peux-tu lui passer ce livre? Faut-il prévenir les parent? Voudriez-vous voir ce film? A-t-il résolu ce problème? Promets-tu de trouver mon frère cadet? A-t-elle recopié sa traduction? Voudriez-vous lire ce livre? Ont-ils retrouvé leurs amis? Avez-vos appris cette poésie? Peut-il faire ce travail urgent? As-tu parlé à cet étudiant? Vodriez-vous avoir ces livres? As-tu lu cette lettre? Pourra-t-il traduire cet article? Dois-tu refaire tout le travail? As-tu compris cette règle? Faut-il envoyer cette dépêche?
60. Répondez aux questions en remplaçant les mots en italique par un pronom personnel (îòâåòüòå íà âîïðîñû, çàìåíÿÿ âûäåëåííûå ñëî– âà ëè÷íûì ìeñòîèìåíèåì).
Êtes-vous professeur? Êtes-vous la mon trice du groupe? Êtes-vous mariée? Êtes-vous l’étudiante Ivanova? Êtes-vous étudiante? Êtes-vous étudiants? Êtes– vous la personne qu’on m’a recommandée? Es-tu contente? Ce petit garçon sera-t-il puni? Est-elle malade? Êtes-vous la malade que je dois soigner? Sont-ils appliqués? Êtes-vous contente de sa réponse? Êtes-vous la mère de ce charmant bébé?
Sont-ils jeunes? Êtes-vous l’étudiante qui doit faire le rapport? Êtes-vous amis? Êtes-vous les amis de cette jeune fille?
61. Répondez aux questions en remplaçant les mots en italique par un pronom personnel (îòâåòüòå íà âîïðîñû, çàìåíÿÿ âûäåëåííûå ñëîâà ëè÷– íûì ìåñòîèìåíèåì).
Leur avez-vous passés ces billets? Lui as-tu raconté cette histoire? Allez– vous expliquer cette règle à vos élèves? As-tu acheté ce livre pour ta sœur cadette? As-tu promis à Pierre de lui écrire? Lui as-tu aporté les livres dont il a besoin? Me donnerez-vous vos notes? Leur a-t-il lu cette lettre? Faut-il que je t’apporte ces photos? Veux-tu qu’il nous envoie ce livre à Moscou? T’a-t-il expliqué la situation? Vous enverra-t-on ces revues?
62. Répondez aux questions à la forme affirmative et à la forme négative en employant les pronoms personnels la, le, les (îòâåòüòå íà âîïðîñû óòâåðäèòåëüíî è îòðèöàòåëüíî ïðè ïîìîùè ëè÷íûõ ìåñòîèìåíèé la, le, les).
Prenez-vous la craie? Étudiez-vous la langue française? Le professeur lit-il cette phrase? Est-ce que les étudiants lisent ce texte? Traduisez-vous cette phrase? Comprenez-vous cette règle? Rencontrez-vous vos amis? Aimez-vous vos amis? La langue française est-elle difficile? Ce texte est-il intéressant? Êtes-vous libre ce soir? Est-ce que Marie est étudiante? Savez-vous qu’il est déjà parti?
63. Remplacez les mots en italique par les pronoms personnels conjoints (çàìåíèòå âûäåëåííûå ñëîâà ëè÷íûì áåçóäàðíûì ìåñòîèìå– íèåì).
Explique-nous cette règle. Apporte-moi ce livre. Écris-lui que nous l’attendons. Offre-lui ce billet. Achète-lui cette poupée. Demande-lui leur adresse. Dis-lui que je lui suis infiniment reconnaissant. Explique à Pierre ses fautes. Traduisez– nous cet article. Montre-moi ta chambre. Lis leur la lettre que tu viens de recevoir. Passez-lui ce dictionnaire. Dis-nous la verité. Appelle-nous cette fille. Ne perds pas ce livre. Raconte-leur cette aventure. Ne monte pas cette lettre à ton frère. Ne prends pas ta sœur avec nous.
64. Traduisez en français (ïåðåâåäèòå íà ôðàíöóçñêèé ÿçûê).
Âåðíèòå, ïîæàëóéñòà, êíèãó, åñëè îíà âàì áîëüøå íå íóæíà. Îí ñïàñ ìíå æèçíü, ÿ ýòîãî íèêîãäà íå çàáóäó. Îíà äîëæíà âñòàâàòü òåïåðü î÷åíü ðàíî è íèêàê íå ìîæåò ê ýòîìó ïðèâûêíóòü. Êóïèëè ëè âû ñåãîäíÿøíèå ãàçåòû? – Äà ÿ êóïèë (èõ) òðè. Ýòî ïðîèçîøëî âåñíîé, ÿ ýòî î÷åíü õîðîøî ïîìíþ. Åñòü ëè ó âàñ ôðàíöóçñêî-ðóññêèé ñëîâàðü è ïîëüçóåòåñü ëè âû èì? – Äà, îí ó ìåíÿ åñòü, è ÿ èì ïîëüçóþñü èíîãäà. Âûïåéòå, ïîæàëóéñòà, êîôå. – Ñïàñèáî, ÿ åãî íèêîãäà íå ïüþ. Âàì íàäî íàéòè ðàáîòó èíòåðåñíåé, ïîäó– ìàéòå îá ýòîì. Òû ñäàøü õîðîøî ýòîò ýêçàìåí, ÿ â ýòîì óâåðåí. Ìîÿ ñåñòðà î÷åíü ëþáèò ñïîðòèâíûå ñîðåâíîâàíèÿ è âñåãäà ïðèíèìàåò â íèõ ó÷àñòèå. Îíà îïîçäàåò, ÿ â ýòîì áîëüøå íå ñîìíåâàþñü.
65. Traduisez en mettant en relief les pronoms en italique à l’aide des présentatifs c’est … qui, c’est … que (ïåðåâåäèòå íà ôðàíöóçñêèé ÿçûê, âûäåëÿÿ ìåñòîèìåíèÿ).
Òû ïðàâ. ß âñòðåòèë åå â÷åðà. Îíà ìíå ñêàçàëà, ÷òî âû áîëüíû. ß ãîâî– ðèë ñ íèì. Îíè íå õîòÿò ïåðååçæàòü. ß â÷åðà äåëàëà äîêëàä. Îíè îïîçäàëè. Ìû èõ èùåì. Îí çàéäåò çà âàìè. Îíà ïåðåâåëà ýòè ñòèõè. ß îáðàòèëñÿ ê íåìó. Îíè áûëè ó íàñ â÷åðà.
66. Traduisez en russe (ïåðåâåäèòå íà ðóññêèé ÿçûê).
Il me paraît nécessaire de lui préparer un bon repas. Il me semble que cet homme-là connaît parfaitement son métier. Un paysan s’approche de lui et le salue. Je désire vous dire deux mots. Puis-je t’attendre à la sortie? Je suis très heureuse de vous rencontrer. Je vous ai salué, vous ne m’avez pas répondu. Moi, je vais au cinéma. Tu ne voudrais pas venir avec moi? Monsieur, je suis moi-même officier de réserve. Je vais vous dire ce qui s’est passé. Il va aller les chercher. Ne vous occupez donc de rien, je prends tout sur moi. Ne m’avez-vous pas permis d’espérer? Ne me grondez pas encore, je suis déjà si malheureuse. Veux-tu lui faire des excuses? Je le connais. Il n’a plus rien à vous dire.
67. Traduisez en français (ïåðåâåäèòå íà ôðàíöóçñêèé ÿçûê).
Âîò íîâûé æóðíàë. ß ìîãó òåáå åãî äàòü. Ñïàñèáî, ÿ åãî óæå ïðî÷èòàëà. Âîò âàøà ðó÷êà. Âîçüìèòå åå è áîëüøå åå íå òåðÿéòå. Ýòî ïðàâèëî î÷åíü òðóäíîå, íî ÿ åãî ïîíèìàþ. Òû âçÿëà ýòè êíèãè â áèáëèîòåêå? Äàé ìíå èõ. Ãäå ìîÿ òåòðàäü? Âåðíèòå ìíå åå. Ýòî âû îñòàâèëè ïîðòôåëü? Äà, ýòî ÿ. Ãäå ÿ ìîãó åãî âçÿòü? Ðàçðåøèòå ìíå ïðîâîäèòü âàñ äî äîìà. ß èäó ê ñâîåìó áðàòó, íî íå çàñòàþ åãî äîìà. Íå ÿ çâîíèëà òåáå ïî òåëåôîíó, à îí, Ìèøåëü. Ïðèõîäè êî ìíå â âîñêðåñåíüå, ÿ òåáÿ æäó ê âîñüìè ÷àñàì. Ïîìîãèòå ìíå ïåðåâåñòè ýòîò òðóäíûé òåêñò. Êòî ÷èòàåò ýòîò òåêñò? Ìû åãî ÷èòàåì.
68. Traduisez. Faites attention au pronom personnel réfléchi «soi» (ïåðå– âåäèòå. Îáðàòèòå âíèìàíèå íà âîçâðàòíîå ìåñòîèìåíèå).
Il faut veiller pour bien savoir ce qui se passe autour de soi, dans Paris. On s’oublie quand on parle de soi. Dans des moments pareils, on est heureux d’avoir des amis près de soi. Pour répandre le soleil sur les autres, il faut l’avoir en soi. On croit que l’homme peut s’en aller droit devant soi. Droit devant soi on ne peut pas aller bien loin. Une maison à soi, c’est bien commode. On voit devant soi l’océan, et à gauche la plage, et au loin des villes aux toits rouges. Il faut croire en soi.
69. Remplacez les points par un pronom interrogatif (çàìåíèòå ïðîïóñêè âîïðîñèòåëüíûì ìåñòîèìåíèåì).
… est sorti? Pour … me prenez-vous?… est-il?… préfères-tu le théâtre ou le cinéma?… faire?… de neuf?… de vous a gagné? De… parlez-vous?… de ces deux manuels est le tiens? Par… de ces chemins passez-vous? En… est-ce que je peux vous être utile? De… s’agit-il?… pensera-t-on de moi?… t’a fait du chagrin, mon petit?… tu veux faire avec vingt sous?… est-ce?… il raconte?… fais-tu a Paris?… dois-je annoncer? Voyons… allez-vous raconter?… me veut-il?
… tout cela peut nous conduire?… habitez-vous?… vas-tu vivre?
Ïðàâèëüíûå îòâåòû (les réponses): qui, qui, qui, que, que, quoi, qui, quoi, lequel, lequel, quoi, quoi, que, que, que, qui, quoi, que, que, que, quoi, où, où, où.
70. Traduisez en français (ïåðåâåäèòå íà ôðàíöóçñêèé ÿçûê).
Êòî ýòà äåâóøêà? Êîãî âû çíàåòå â ýòîì äîìå? ×òî âû çíàåòå îá ýòîì êîìïîçèòîðå? Êîìó âû ïîñâÿòèëè ñâîè ñòèõè? Î ÷åì îíè ãîâîðÿò? Êîìó âû ïèøèòå ïèñüìî? ×òî òû äåëàåøü ïî âå÷åðàì? Ê êîìó òû ïîåäåøü íà êàíèêóëû? ×åì âû çàíèìàåòåñü? ×òî ýòî òàêîå? ×åãî òû áîèøüñÿ? Êòî ýòîò âûñîêèé ÷åëîâåê? Î ÷åì âû âñå âðåìÿ äóìàåòå? Ñ êåì âû ïîåäåòå â Ìîñêâó? Êîòîðóþ èç ýòèõ êíèã íóæíî ïðî÷èòàòü ïåðâîé? Äëÿ êîãî âû ïåðåâîäèòå ýòó ñòàòüþ? Ó êîãî âû ïðîâåäåòå âîñêðåñåíüå? ×òî âû ñåé÷àñ ÷èòàåòå ïî-ôðàíöóçñêè? Êîãî âû æäåòå? ×òî ðàññêàçûâàåò ýòîò ïóòåøåñòâåííèê? Î ÷åì èäåò ðå÷ü â ýòîé êíèãå? ×òî çäåñü ïðîèñõîäèò? Ñ êåì âû èäåòå â òåàòð? Êòî èç âàñ ÷èòàë ýòó ñòàòüþ? Êòî âàñ ïðèãëàñèë â òåàòð? ×òî áûëî çàáûòî? Êòî òåáÿ îãîð÷èë? Êîìó òû ïèøåøü? Íà êîãî îíà ðàññ÷èòûâàåò? Ðÿäîì ñ êåì âû ñèäåëè íà êîíöåðòå? Î ÷åì òû áåñïîêîèøüñÿ? ×òî ÿ äîëæíà íàïèñàòü íà äîñêå? Êòî çàíèìàåòñÿ ñïîðòîì â âàøåì êëàññå?
71. Traduisez et construisez une question indirecte (ïåðåâåäèòå, îáðàçóÿ êîñâåííûé âîïðîñ).
 êîòîðîì ÷àñó îí óåçæàåò? Äîêëàä áûë èíòåðåñíûé? Î ÷åì îí äóìà– åò? Òû íå ñåðäèøüñÿ? Êàêèå êíèãè õî÷åò èìåòü âàø áðàò? Òû ìåíÿ óçíà– åøü? Ïîíðàâèëñÿ ëè âàì êîíöåðò? Ïîçäíî ëè çàêîí÷èëñÿ ñïåêòàêëü? Ãäå áóäåò æèòü âàøà ñåñòðà? Êàêóþ êíèãó ÷èòàåò òâîé áðàò? ×òî âû äóìàåòå îá ýòîì ÷åëîâåêå? Êàêóþ ñòàòüþ áóäóò ïåðåâîäèòü ó÷åíèêè íà ýêçàìåíå? Êîìó íàäî ïåðåäàòü ýòî ïèñüìî? ×òî òû ïðåäëàãàåøü, è íà ÷òî òû ðåøèëñÿ? Êîãî äîëæåí ïðåäóïðåäèòü Æàí? Êàêèå öâåòû ïðåäïî– ÷èòàåò âàøà ìàòü? Òâîé äðóã çíàåò íàø àäðåñ? Êîãî ÿ òàì óâèæó? Êàêîé êàðòèíîé èíòåðåñóåòñÿ âàøà ñåñòðà? Êîãî Ïüåð çàñòàë äîìà? Êîãäà îíà ñìîæåò åãî ïîâèäàòü? ×òî òû äóìàåøü î Æàííå? Òû âûïüåøü ñ íàìè ÷àøêó êîôå? Ïî÷åìó îí ïðèåçæàåò? Äîâîëåí ëè îí? Êàê îí ïîæèâàåò? ×òî âû ïîäîçðåâàåòå? Êîãî îí ïîäîçðåâàåò? Êåì áûëà íàïèñàíà ýòà ïîýìà? ×òî òû õîòåëà åìó ñêàçàòü?
72. Répondez aux questions (îòâåòüòå íà âîïðîñû).
Qu’est-ce qui se trouve dans ce tiroir? De quoi s’agit-il dans ce film français? Qui êtes-vous? Qu’est-ce qu’il y a ici? Qu’est-ce que tu aimes le plus? Qui avez– vous rencontré dans le parc? À quoi vous intéressez-vous? À qui écrit-il sa lettre? De quoi parlez-vous? Que faites-vous ici? Qu’est-ce que vous lisez? Pour qui choisissez-vous ce jouet? Qu’est-ce qui vous intéresse? Qu’est-ce qu’il veut de vous? À qui penses-tu? À quoi pensez-vous? Qu’est-ce qui est arrivé? Au printemps il y a tant de fleurs différentes, lesquelles préférez-vous? Avec qui partez-vous à la campagne? Chez qui vont-ils? Qu’est-ce que vous faites ce soir?
73. Remplacez les points par les pronoms «en», «y» (çàìåíèòå ïðîïóñêè óêà– çàííûìè ìåñòîèìåíèÿìè).
J’ai montré mon travail au professeur, il… est resté content. Vous devez vous
… intéresser. Nous partons demain, je m’… suis prêt. Nous partons demain, j’… suis très content. Vous ferrez cet exercice bien, j’… suis sûr. La nouvelle école me plaît, je m’… suis habitué.
Ïðàâèëüíûå îòâåòû (les réponses): en, y, y, en, en, y.
74. Répondez aux questions en employant les pronoms «en», «y» (îòâåòüòå íà âîïðîñû, èñïîëüçóÿ óêàçàííûå ìåñòîèìåíèÿ).
Avez-vous besoin de ce livre? Le professeur, est-il satisfait des succès de ses élèves? Vous intéressez-vous aux problèmes de l’art moderne? Quelle est la hauteur de la Tour Eiffel? As-tu des livres français chez toi? Concent-il à participer à cette expédition? Combien de chambres y a-t-il dans votre foyer? Es-tu prêt à faire un rapport demain? Avez-vous vu tous cinq films nouveaux? Vas-tu répondre à mes questions? Votre copin, a-t-il une sœur? Êtes-vous déjà habitué à vivre loin de vos parents?
75. Remplacez les points par le pronom relatif (çàìåíèòå ïðîïóñêè îòíî– ñèòåëüíûì ìåñòîèìåíèåì).
Il rencontra une jeune femme … portait à la main une serviette. La personne
… vous parlez est mon frère. Quelle est cette femme… tout le monde salue. Une voiture… la portière était tout ouverte, attendait à la porte. Je courus vers la cuisine… je fermai la porte à clef. Bien sûr qu’elle savait à peu près de… il s’occupait mais il préférait éviter les details. Un homme… on voyait mal le visage, occupait une table. Ils le conduisirent dans une grande salle… un bon dîner était préparé. Un visage très jeune parut à une fenêtre du second étage… on venait d’ouvrir les rideaux. Un homme s’est levé de la table… il était en train d’écrire. Lui seul peut retrouver la trace… je cherche. Il suivait un chemin… lui semblait bien connu.
76. Remplacez les points par les pronoms relatifs (çàìåíèòå ïðîïóñêè îòíîñèòåëüíûìè ìåñòîèìåíèÿìè).
Mon ami, … je ne voyais que les cheveux, s’était endormi devant mon feu en m’attendant. Une femme… je ne vois que le dos, nous ouvre une autre porte et disparait dans une pièce voisine. Près de la gare Montparnasse, nous pénétrons dans un grand café… les stores sont baissés. Peu à peu, il s’anima d’un jeune enthousiasme, à… se mêlait quelque enfantillage. Ce sont des questions… je ne pense guère. J’essuyai une larme… la bise… soufflait sur le quai avait obscurci ma vue. Le parfum… elle saturait ses vêtements, flottait dans la pièce. Rivaud était de la vingtaine de garçons sur… on pouvait toujours compter. Tout en lui temoignait d’une nervosité… ne lui était pas habituelle et… les causes ce soir étaient multiples. Elle était reprise par ce drame de sa vie… elle avait falli mourir et… elle s’était crue à jamais delivrée. Pierre se levait et s’éloignait d’un pas trainant, en homme… n’a rien à faire… marche sans but.
77. Traduisez en français (ïåðåâåäèòå íà ôðàíöóçñêèé ÿçûê).
Ïèñüìî, êîòîðîå ëåæèò íà ñòîëå, íàïèñàíî â÷åðà. Ïèñüìî, î êîòîðîì ÿ ãîâîðþ, íàïèñàíî â÷åðà. Ïèñüìî, êîòîðîå âû ÷èòàåòå, íàïèñàíî â÷åðà. Ìîé äðóã, ïèñüìî êîòîðîãî âû ÷èòàåòå, æèâåò â Ìîñêâå. Ñåé÷àñ ìû ïðî÷è– òàåì åãî ïèñüìî, ïîñëå ÷åãî ìû åìó îòâåòèì. Ìîé áðàò, î êîòîðîì ÿ ÷àñòî äóìàþ, æèâåò â Ïàðèæå. Îòêðûòêà, êîòîðóþ ÿ ïîëó÷èë â÷åðà, íàõîäèòñÿ íà ñòîëå. Åñòü âîñïîìèíàíèÿ, êîòîðûå íèêîãäà íå çàáûâàþòñÿ. Ïîëîæåíèå, â êîòîðîì âû ñåé÷àñ îêàçàëèñü, òðóäíîå. Ñïåêòàêëü, êîòîðûé ÿ âèäåë â÷åðà, âçâîëíîâàë ìåíÿ. Ó ìåíÿ åñòü õîðîøèé ñëîâàðü, êîòîðûì ÿ ÷àñòî ïîëüçóþñü. Îí íàøåë íàêîíåö êíèãó, â êîòîðîé îí íóæäàëñÿ. ß ÷èòàþ êíèãó, êîòîðóþ ÿ âçÿë â áèáëèîòåêå. Ëåñ, â êîòîðîì ìû ãóëÿåì, íå î÷åíü âåëèê. Äîì, â êîòîðîì ìû æèâåì, íàõîäèòñÿ â öåíòðå ãîðîäà. Ýòî âîïðîñ, íà êîòîðûé ÿ íå ñìîãó âàì îòâåòèòü. Ïîíÿëè ëè âû ïðàâèëî, êîòîðîå ÿ âàì òîëüêî ÷òî îáúÿñíèë? Ýòî èñòîðèÿ, êîòîðóþ ÿ î÷åíü õîðîøî ïîìíþ. Âîò íàä ÷åì âû äîëæíû ïîäóìàòü. Æóðíàë, êîòîðûé ÿ ïðîñìàòðèâàþ, î÷åíü èíòåðåñíûé.
78. Traduisez en russe (ïåðåâåäèòå íà ðóññêèé ÿçûê).
Il vit, aux portes de la ville, les motels dont on lui avait parlé. Le marquis fut indigné de l’injustice atroce dont il était victime. C’était son ancien élève à qui il avait fait la classe depuis quinze ans. Il arrive très rarement qu’ils renoncent dans un moment à quoi ils ont réfléchi pendant toute leur vie. Puis on répandait devant eux des saphirs dont il fallut choisir quatre. Il lui restait un peu moins de six cents dollars. C’était de quoi vivre deux mois, trois peut-être. Il avait huit enfants, dont six filles. Je ne compris pas nettement ce dont elle m’accusait et dont j’étais mal averti. J’avais une clé du parc dont je me servis pour ouvrir la porte. Elles formaient un cercle autour d’un haut tas de haricot où chacune avait empli son tablier. C’était une beauté étrange et sauvage, une figure qui étonnait d’abord, mais qu’on ne pouvait oublier.
79. Remplacez les points par un pronom démonstratif (çàìåíèòå ïðîïóñ– êè óêàçàòåëüíûìè ìåñòîèìåíèÿìè).
… qui voyage beaucoup à toujours de nouvelles impressions. Je n’entends pas… que vous dites. Je préfère les dernières œuvres de cet écrivain à… écrites dans sa jeunesse. Andrès et Marie sont amis préférés… est une musicienne et… ne s’intéresse pas du tout à la musique. Les pommes de terre plantées dans un terrain sablonneux sont plus farineuses que… cultivées dans un sol argileux. La centrale électrique qu’on va ériger dans notre ville sera plus puissante que toutes… construites dans notre pays. Regardez ces deux arbres:… est un pin et… est un bouleau. Je ne peux pas manger cette pomme-ci; passe-moi…, elle est plus belle… dont vous m’avez parlé m’intéresse beaucoup. Son visage était d’un homme heureux de retrouver sa maison après un grand voyage. Le plus grave problème de nos jours est… de la paix. Cette chambre était… qu’habitait le père de Dantès.
80. Remplacez les points par les pronoms démonstratifs accomagnés de ci ou là (çàìåíèòå ïðîïóñêè óêàçàòåëüíûìè ìåñòîèìåíèÿìè).
Popov et Yablotchkin sont deux grands inventeurs russes. A … nous devons l’invention de la radio, à … de la lampe électrique. Mendéléev et Pavlov sont deux grands savants russes… s’est rendu célèbre par ses travaux dans le domaine de la chimie…, dans le domain de la physiologie. Corneille et Racine furent les plus grands poètes tragiques du 17 siècle. On a dit d’eux que… peignait les hommes tels qu’ils le sont, et que… les peignait tels qu’ils devraient être. Molière et La Fontaine sont également deux grands écrivains du 17 siècle… a écrit des comédies célèbres… des fables. Les artères et les veines sont les conduits où circule le sang:… conduisent du cœur aux extrémités du corps… le ramènent des extrémités au cœur. Le marbre et la craie sont de même nature, mais… est moins dure que… La tulipe et la rose sont deux fleurs très belles, mais… exhale un parfum délicieux, tandis que… est sans odeur.
81. Traduisez en français (ïåðåâåäèòå íà ôðàíöóçñêèé ÿçûê).
ß ïîëó÷èë â÷åðà âàøå ïèñüìî è ïèñüìî áðàòà. Òîò, êòî ïëîõî âèäèò, íîñèò î÷êè. Îòíåñèòå ýòè äâà ïèñüìà íà ïî÷òó; îäíî ÿ ïîñûëàþ ìîåé ìàòåðè, à äðóãîå – ñåñòðå. Åãî ðå÷ü áûëà äëèííåå ðå÷åé äðóãèõ îðàòîðîâ. Ýòî äåòè ìîåé ñîñåäêè: ýòîò ìàëü÷èê – Ïîëü, à òîò – Ëóè. Ïî÷åìó âû ìíå îá ýòîì íè÷åãî íå ñêàçàëè? Ó ìåíÿ åñòü âñå ðîìàíû Çîëÿ, òû ìîæåøü âçÿòü òîò, êîòîðûé òåáå ïîíðàâèòñÿ. Ýòî äîñòàâëÿåò åìó áîëüøîå óäîâîëüñòâèå. Ýòî òâîÿ êîìíàòà, à ãäå êîìíàòà òâîåãî áðàòà? Îí ðàä áûë âñòðåòèòüñÿ ñî ñâîèìè äðóçüÿìè è ñ äðóçüÿìè ñâîåé ñåñòðû. ß ïðèãëàøàþ ñâîþ ïîäðó– ãó â òåàòð, íî òà çàíÿòà. Òîò, êòî èùåò, âñåãäà íàéäåò. ß ïðî÷òó òî, ÷òî âû ìíå ñîâåòóåòå. Ìû óâåðåíû, ÷òî îí ñäåëàåò òî, ÷òî îáåùàë. Èç ýòèõ äâóõ êîìíàò ýòà áîëüøå, íî òà ñâåòëåå. ß äàþ âàì äâàäöàòü ðóáëåé, âàì ýòîãî äîñòàòî÷íî? Ìû íå ïðèäåì, ñêàæèòå åìó ýòî. Ýòà âàçà êðàñèâåå òîé, ÷òî ÿ ïîäàðèëà ñâîèì äðóçüÿì. Âîñïîëüçóéñÿ ýòèì, ìîé äðóã. Âàø îòâåò áûë áîëåå ïîëíûì, ÷åì îòâåòû âàøèõ òîâàðèùåé.
82. Traduisez en russe (ïåðåâåäèòå íà ðóññêèé ÿçûê).
Regardez ce printemps: comme il est pareil à celui de l’an dernier. Cette fenêtre est la plus grande que celle de la salle voisine. J’ai fait mon dernier devoir et celui de la semaine passée. Nous allons voir ce nouveau film, c’est celui que mon frère a vu hier. Il a corrigé toutes les fautes de la dictée et celles qu’il avait faites dans la composition. J’ai fait deux exercices: celui-ci sur les pronoms démonstratifs et celui-là sur les adjectifs démonstratifs. À l’Université il y a beaucoup d’étudiants venus de tous les coins du monde: ceux de l’Afrique, ceux de l’Amérique, ceux de la France et beaucoup d’autres. La seule voix était celle du vent toujours petite, dans les feuilles sèches et dans les herbes desséchées. Le cathédrale Notre-Dame de Paris tel que le décrit Hugo était bien différent de ce que vous voyez aujourd’hui. Ceux qui vivent, ce sont ceux qui luttent.
83. Remplacez les mots en italique par un pronom possessif (çàìåíèòå âûäåëåííûå ñëîâà ïðèòÿæàòåëüíûì ìåñòîèìåíèåì).
Elle te donnera sa photographie, si tu lui donne ta photographie. J’ai laissé mon livre à la maison. Donnez-moi votre livre. Mon appartement n’est pas grand. Est-ce que votre appartement est plus grand que mon appartement?
Ta composition est plus riche en examples que ma composition. Mes parents m’écrivent très souvent. Est-ce que tes parents t’écrivent aussi souvent? Est-ce que ce crayon est à Pierre? – Oui, c’est son crayon. Ma sœur est déjà de retour, sa sœur arrivera demain. J’ai jeté mes cartes postales et les cartes postales de mon ami dans la boîte aux lettres. Nous faisons nos devoirs et vous faites vos devoirs. Notre maison se trouve vis-à-vis de leur maison. Hier j’ai reçu un colis postal de mes parents. Mon crayon n’est pas taillé, prêtez-moi votre crayon.
84. Répondez aux questions en employant un pronom possessif (îòâåòüòå íà âîïðîñû, èñïîëüçóÿ ïðèòÿæàòåëüíîå ìåñòîèìåíèå).
Est-ce votre livre? Est-ce le cahier de l’étudiant Petrov? Est-ce la lettre de votre sœur? Prendrez-vous mon journal ou le journal de mon frère? Ma plume est sur la table. Où est la tienne? Notre train part à huit heure trente, quand part votre train? Je n’ai pas fait de fautes de grammaire dans mon devoir. En as-tu fait beaucoup le tien? Nos devoirs sont difficiles. Est-ce que tes devoirs sont aussi difficiles? J’ai reçu une lettre de mes parents. As-tu reçu une lettre de tes parents?
85. Remplacez les points par les pronoms possessifs (çàìåíèòå ïðîïóñêè ïðèòÿæàòåëüíûìè ìåñòîèìåíèÿìè).
Dans un logement aussi petit que …, la famille Cozes vivait à six. Tu critiques nos achats, mais … sont-ils plus raisonnables? Tu as beaucoup de vignes? Moi je ne sais pas qui s’occupe de… Je n’irai pas, dit-il, votre compagnie vaut bien… Malgré ma curiosité et… il nous avait fallu nous arrêter. Il avait repris la parole de cette manière brusque qui était… Il était place sur un siège plus élevé que… J’aime mieux, dit-il, avoir été à ma place qu’a… Honoré entretenait la propriété de son frère comme si c’eût été… Il… semblait qu’ils entraient dans une ville morte. Mon contentement égale…, s’il ne le dépasse point. Quelle joue doit être..! À respirer le frais parfum de cette pièce, il comprenait que… avait besoin d’être aérée. Antoine tendit la main à son ami, qui la garda un instant entre… L’intelligence de Claire s’était développée beaucoup plus vite que… Debout, derrière ma porte, le revolver au point, j’entendais sa respiration tot en retenant… Je pense que rien ne doit être négligé pour… permettre de continuer… tâche écrasante dans l’appareil de direction.
86. Traduisez en français (ïåðåâåäèòå íà ôðàíöóçñêèé ÿçûê).
Íàøà êâàðòèðà íà ïÿòîì, à åãî íà òðåòüåì ýòàæå. ß îñòàâèëà ñâîþ êíèãó äîìà, äàéòå ìíå âàøó. Âàøè äðóçüÿ óæå óåõàëè, à íàøè äðóçüÿ ïðîâåäóò çäåñü åùå äâå íåäåëè. Åå äåòè óæå õîäÿò â øêîëó, à íàøè åùå ìàëû. Âîò âàø àâòîáóñ, íàø òîæå ñåé÷àñ ïðèäåò. Ìû ðåøèëè âçÿòü ñ ñîáîé òîëüêî äâà ÷åìîäàíà: ìîé ÷åìîäàí è ÷åìîäàí ìîåãî áðàòà. Ìîÿ êîìíàòà ñâåòëåå, ÷åì òâîÿ. Ðîçû, êîòîðûå ìû êóïèëè, ñâåæåå âàøèõ.  íàøåì ãîðîäå ìíîãî èñòî– ðè÷åñêèõ ïàìÿòíèêîâ, à â âàøåì ãîðîäå èõ ìíîãî?  íàøåé ãðóïïå äâåíàä– öàòü ñòóäåíòîâ, ñêîëüêî ñòóäåíòîâ â åå ãðóïïå? Îêíà íàøåé êâàðòèðû âû– õîäÿò íà óëèöó, à êóäà âûõîäÿò îêíà âàøåé êâàðòèðû? Íàäî ñîãëàñîâàòü âàøå ìíåíèå ñ èõ ìíåíèåì. Òâîé ïîðòôåëü ìíå íðàâèòñÿ áîëüøå, ÷åì ìîé è ÷åì ïîðòôåëü Ìàðèè. Åñëè ó òåáÿ íåò çîíòà, âîçüìè ìîé. Íàø äîì è èõ äîì ñòîÿëè íà áåðåãó íåáîëüøîé ðå÷êè. Èõ èíòåðåñû îòëè÷àëèñü îò íà– øèõ. Âîçâðàùàÿñü äîìîé, ÿ âñòðåòèë òâîåãî è ìîåãî áðàòà. Òâîÿ øëÿïà èäåò ìíå áîëüøå, ÷åì ìîÿ. Ìíå áû î÷åíü õîòåëîñü óçíàòü âàøå ìíåíèå. Ýòî òâîå äåëî, à íå ìîå.
87. Traduisez en russe (ïåðåâåäèòå íà ðóññêèé ÿçûê).
Au fond de la chambre il y avait un lit et quelqu’un dans ce lit. Quelques-uns de ces airs Christophe chantait à la facon d’un grand air d’opéra. Elle ouvrit et quelqu’un entra, couvert d’un grand manteau. Je n’ai jamais pu manger seul en face de quelqu’un qui me regarde. Quelques-uns de ses amis en avaient parlé vaguement. Il est très rare que quelqu’un monte chez moi. Le Petit-Chose s’exuse: il a quelqu’un de l ville à voir avant de s’en aller en visite très importante. Quelqu’un vous attend dans votre bureau. Quelques-uns se doutent de ce qui s’est passé. Comme il allait entrer dans le couloir du bâtiment, subitement quelqu’un, de l’intérieur, lui claqua la porte au nez.
88. Traduisez en russe (ïåðåâåäèòå íà ðóññêèé ÿçûê).
Louisa servait les petits: deux pommes de terre à chacun. Il faut exiger de chacun ce que chacun peut donner. Chacun prenait un peu de pain, un fruit ou du beurre, et un verre de vin. Chacun parlait de son métier. Chacun essaye de s’en tirer comme il pleut. Il salue chacun et chacune. Frère, ce qui m’est arrivé hier peut arriver demain à chacun de vous. Il écrivit à chacune de ses sœurs en leur demandant leurs économies. Nous allons entrer dans le vaste monde et nous disperser pour suivre chacun notre carrière. Chacun de nous a connu les joies plus chaudes là où rien ne les promettait.
89. Traduisez en français (ïåðåâåäèòå íà ôðàíöóçñêèé ÿçûê).
Íåêîòîðîå âðåìÿ îíè øëè ìîë÷à. Îí ïðî÷åë è ïåðåâåë íåñêîëüêî ñòàòåé èç ýòîé ãàçåòû. Êòî-òî ïîñòó÷àë â ìîþ äâåðü. ß õî÷ó ïîñìîòðåòü êàêîé– íèáóäü íîâûé ôèëüì. ß ïðèøåë òîëüêî íà íåñêîëüêî ìèíóò, ÿ î÷åíü ñïåøó. Êàêîé-òî ìîëîäîé ÷åëîâåê âàñ ñïðàøèâàë. Êàæäûé èç íàñ âûñêàæåò ñâîå ìíåíèå îá ýòîì ôèëüìå. Êàæäàÿ ìèíóòà äîðîãà, ïîåçä óõîäèò ÷åðåç òðèä– öàòü ìèíóò. Êîìíàòû ýòîé êâàðòèðû èìåþò ïî äâà îêíà êàæäàÿ. Îíè çàïè– ñûâàþò êàæäîå ñëîâî ïðåïîäàâàòåëÿ.
90. Traduisez en russe (ïåðåâåäèòå íà ðóññêèé ÿçûê).
Il faisait si sombre qu’il était difficile de les distinguer l’un de l’autre. On voyait des gens accoudés à toutes les fenêtres, d’autres debout sur toutes les portes. Je viendrai chez vous un autre jour. Pourquoi Catherine et moi feindrions– nous des sentiments que nous n’éprouvons ni l’un, ni l’autre. La servante Artemise apportait les assiettes les unes après les autres. Pardon je ne viens pas chez vous, je viens de voir un autre copin. C’étaient deux femmes l’une vieille, l’autre une jeune fille blonde. L’un s’efforce de retenir son arme, l’autre de l’arracher. Je vous le dirais une autre fois. Je suis toujours moi-même et mon cœur n’est point autre.
91. Traduisez en russe (ïåðåâåäèòå íà ðóññêèé ÿçûê).
Nul n’est prophète en son pays. Nul ne pouvait pénétrer ni ses pensées ni ses occupations. Nul bruit de la rue ne pénètre dans ma chambre. Nul ne pouvait comprendre ce qui avait poussé Melchior à ce mariage. Ai-je besoin de vous dire, Madame, que nul mieux que moi ne peut comprendre votre inquiétude. Nul souci n’assombrissait l’expression sereine de son visage. Il apercevait des choses que nul ne remarquait. Nuls pépiements d’oiseau n’égayaient cette solitude. Il n’y avait nulle fausseté dans ma mère.
92. Traduisez en russe (ïåðåâåäèòå íà ðóññêèé ÿçûê).
Tous ses mouvements de cœur vers tel ou tel furent tournés en moquerie.
Tel arbre tel fruit. Tel est pris qui croyait prendre. Tel qu’il est je le prends.
Une telle réponse ne peut pas me satisfaite. Tel brille second rang qui s’éclipse au premier. Il n’a jamais fait de telles fautes. En l’an 1600 ou en l’an 1500, un tel, de tel village, a bâti cette maison pour y vivre avec une telle, son épouse. Ils continuaient de mener leur vie accoutumée, comme si un tel malheur ne venait pas de s’accomplir auprès d’eux. Tel qui rit vendredi, dimanche pleurera. Heine se présentait comme le dicsiple et le confident de Hegel. On le tendait pour tel.
93. Traduisez en russe (ïåðåâåäèòå íà ðóññêèé ÿçûê).
Il n’avait aucune influence sur son frère cadet. Les gens dansaient, certains aiment ça. Aucun de nous ne le connaît. Il accueillait certaines nouvelles avec joue. Et Maigret ouvrait les portes, jetait un coup d’œil dans les chambres, certaines n’étaient pas meublées. Tous les preux étaient morts, mais aucun n’avait fui. Il crut remarquer sur certains rochers des entailles creusées par la main de l’homme. Il prenait des notes, copiait certaines lettres. La lecture dura plus de deux heures pendant lesquelles aucun des auditeurs n’ouvrit la bouche. Je ne le crois pas, – dit-il, – j’en suis certain.
94. Traduisez en français (ïåðåâåäèòå íà ôðàíöóçñêèé ÿçûê).
Íèêòî íå îäîáðÿåò åãî ïîâåäåíèÿ. Íè îäèí ÷åëîâåê íå ìîæåò ïîíÿòü åãî âêóñîâ. Îíà íå äîáèëàñü íèêàêîãî ðåçóëüòàòà â ñâîèõ ýêñïåðèìåíòàõ. Íå– êîòîðûå ïëîõî ïðåäñòàâëÿþò ñåáå òðóäíîñòè, êîòîðûå èõ îæèäàþò. Óæå ìîæíî ñäåëàòü íåêîòîðûå âûâîäû î åãî ðàáîòå. Îíà âñòðåòèëà íåêîòîðûõ èç ñâîèõ îäíîêóðñíèêîâ òîëüêî ÷åðåç òðè ãîäà. Áûëî òàê òåïëî, ÷òî íåêîòî– ðûå óæå áûëè áåç ïàëüòî. Íèêàêîé øóì íå äîíîñèëñÿ äî íåãî. Íèêòî èç íèõ íå ïîíÿë åãî îáúÿñíåíèé. Ñûí íå õîòåë ñëóøàòü íèêàêèõ óïðåêîâ ñâî– åé ìàòåðè. Ìû ïðoñìîòðåëè ìíîãî êíèã, íî íè îäíà íå óäîâëåòâîðèëà íàñ.  ýòîì ãîäó ìû ñîâåðøèëè íåñêîëüêî ýêñêóðñèé â Ýðìèòàæ. Ìíîãèå ñòó– äåíòû íàøåé ãðóïïû ïðèåõàëè èç äðóãèõ ãîðîäîâ. ß âàì ïîâòîðèëà ýòî íåñêîëüêî ðàç, íåóæåëè âû íå çàïîìíèëè?  çàëå áûëî ìíîãî ìîëîäûõ ëþäåé, ìíîãèå èç êîòîðûõ áûëè åìó çíàêîìû. Íåñêîëüêî ñöåí ýòîãî ñïåê– òàêëÿ êàæóòñÿ ìíå íåóäà÷íûìè.
95. Traduisez en russe (ïåðåâåäèòå íà ðóññêèé ÿçûê).
Ils causaient debout, ou bien accroupis sur leurs bagages; d’autres dormaient dans les coins; plusieurs mangeaient. Beaucoup de ces projets n’avaient d ’autre existence que le titre. Voyez-vous je connais Lognon mieux que quiconque. Il m’a recommendé de ne pas m’inquiéter même s’il restait plusieurs jours sans rentrer à la maison. Il regardait toujours d’assez haut quiconque n’était pas de sa classe. Il répétait cette question plusieurs fois.
96. Traduisez en russe (ïåðåâåäèòå íà ðóññêèé ÿçûê).
J’ai passé toute une semaine à la campagne. Tous mes amis sont venus à ma fête. Regarde le soleil, il est tout rouge. Tout se passa à merveille. Tout étudiant de l’Université doit étudier une langue étrangère. Toujours tout droit, dit-il, et vous trouvez le point. Il faut lire tout cet article. Tous avaient un air mysterieux. Tout de suite je sus que c’était lui. Tout n’était donc pas fini pour moi: la vie pouvait recommencer. Les élèves arrivaient tout blanc de neige. Pendant la journée il a lu tout un livre. Toute cette semaine je serai occupé.
97. Traduisez en russe (ïåðåâåäèòå íà ðóññêèé ÿçûê).
Mon ami habite la même rue que moi. As-tu fait tout cela toi-même? Nous nous installions sur un banc, toujours le même. Il a soif, il a même très soif. Les mêmes étudiants sont venus à cette réunion. J’ai eu le même point que toi. Nous travaillons à la bibliothèque même, quand nous avons besoin de dictionnaires. Vous le ferez vous-même? Elle était la même: aussi fine, aussi blonde, mais plus épanouie. Je ne sais même pas qui vous êtes. Cette fillette fait ses devoirs elle-même, personne ne l’aide. Cette femme est la beauté même. Ils nous ont écrit le même jour. Chaque jour il rencontrait les mêmes personnes.
98. Traduisez en français (ïåðåâåäèòå íà ôðàíöóçñêèé ÿçûê).
Âñå ìîè äðóçüÿ ïîñòóïèëè â óíèâåðñèòåò. Â÷åðà ÿ ðàáîòàë âåñü äåíü. Îíè îòäûõàëè öåëûé ìåñÿö.  ëþáîå âðåìÿ âû ìîæåòå çàñòàòü ìåíÿ äîìà. Îíà íå âûõîäèò èç äîìà öåëóþ íåäåëþ. Ýòà ñåìüÿ çàíèìàåò öåëûé äîì. ×èòàé âñëóõ êàæäûé äåíü. Âû ìíå çàäàåòå âñåãäà îäèí è òîò æå âîïðîñ. Ýòî òå æå äåòè, êîòîðûå èãðàëè â÷åðà â ñàäó. Ýòà òà æå èñòîðèÿ, êîòîðóþ ÿ âàì ðàññêàçàë. Âû ñäåëàëè òå æå îøèáêè â âàøåì äèêòàíòå. ß ïîäóìàþ îáî âñåì ýòîì ñàìà. Îí ñàì íå çíàåò ÷òî äåëàòü. Ñàìè ñòóäåíòû ãîâîðÿò, ÷òî îíè ïëîõî ïîäãîòîâèëèñü ê ýêçàìåíó.
99. Remplacez les points par «tout» (çàìåíèòå ïðîïóñêè óêàçàííûì ìåñ– òîèìåíèåì).
Il vida … les assiettes, les plats et … les bouteilles. Il fut supérieur dans… cette affaire. Elle resta… seule dans cette maison isolée si loin du village, sur la lisière du bois. Elle resta debout… pâle. Elle resta… confuse, à les regarder, sans pouvoir dire les bonnes choses dont son cœur débordait. Vers le sud on voyait encore d’autres fumées, nombreuses, venant… vers la jettée du Havre. Je la revoie, dans le coup de soleil du jardin, la gorge… gonflée de gaieté. Elle s’était levée, très pâle. Elle s’en alla… droite, sans se retourner, en emportant son ouvrage… l’appartement était rempli de curiosités naturelles. Pendant le mois qui suivit, Pascal essaya de se réfugier dans un travail acharné de… les heures. C’étaient les roses en boutons, closes, modestes… pareilles et… jolies. Je dois avouer, pourtant, que je n’avais pas pour… une amitié égale. Le petit cahier que je feuilletais réveilla en moi… monde évanoui… passe, mais la vie est immortelle.
100. Remplacez les points par «chaque», «chacun» (çàìåíèòå ïðîïóñêè óêàçàííûìè ìåñòîèìåíèÿìè).
Mais … dimanche nous allions faire notre tour de jetée en grande tenue. On les distribua aux habitants selon les ressources de … Nous nous séparon dans les couloirs du métro et prenons… la direction opposée… jour, un petit événement leur rappelait la prochaine séparation. Autour de lui… se taisait: on avait peur. De… côté, au loin, toujours des montagnes. Il passe devant… de nous et nous coupe la moitié de la tartine. Pour… nom, nous avons procédé à un vote à main levée. Elle a vendu les poulets cinq cents francs… Nous avions froid, nous étions fatigués et… s’est abîmé dans le sommeil. Heurtaut connaissait… gradé… officier. Il devinait comment… réagirait. La distribution terminée, les deux gamins nous servent à… une petite louche d’un liquide noirâtre et sans sucre.
101. Remplacez les points par «même» (çàìåíèòå ïðîïóñêè óêàçàííûì ìåñòîèìåíèåì).
Il n’y a ni santé, ni … beauté possible, en dehors de la réalité. Oui, oui, murmura-t-elle à voix basse, mademoiselle réfléchit beaucoup depuis quelque temps. On lui parle, elle ne vous répond pas. Il se passe des choses, elle n’est plus… plus… Il lui parlait comme auparavant avec les… mots, la… voix, le… ton. Ça va. Il n’y a eu que trois arrestations, mais à la base. Toujours… Ils sont morts pour une… cause, avec la… certitude de la victoire. Dans la ville je retrouve les… maisons, je me rappelle les… magasins, les… vitrines. Je pense aux hommes qui nous venons de voir. Ce sont… qui, cet aprés-midi, se sont lancés a l’assaut de la boulangerie et des baraques. Voyez! le vent lui… retient son souffle. Le soir… ils devaient monter en ligne.
LE VERBE ÃËÀÃÎË
LES CATÉGORIES GRAMMATICALES DU VERBE ÃÐÀÌÌÀÒÈ×ÅÑÊÈÅ ÊÀÒÅÃÎÐÈÈ ÃËÀÃÎËÀ
Òàáëèöà 48
LA CONJUGAISON DES VERBES ÒÈÏÛ ÑÏÐ߯ÅÍÈß ÃËÀÃÎËÎÂ
Òàáëèöà 49
LES TEMPS DES VERBES ÑÈÑÒÅÌÀ ÃËÀÃÎËÜÍÛÕ ÂÐÅÌÅÍ
Òàáëèöà 50
//-- PRÉSENT DE L’INDICATIF ÏÐÎÑÒÎÅ ÍÀÑÒÎßÙÅÅ ÂÐÅÌß ÈÇÚßÂÈÒÅËÜÍÎÃÎ ÍÀÊËÎÍÅÍÈß ÃËÀÃÎË (VERBE) AVOIR – ÈÌÅÒÜ --//
Òàáëèöà 51
ÃËÀÃÎË (VERBE) ÊTRE – ÁÛÒÜ
Òàáëèöà 52

LA CONJUGAISON DES VERBES PAR LES GROUPES ÑÏÐ߯ÅÍÈÅ ÃËÀÃÎËΠÏÎ ÃÐÓÏÏÀÌ
Òàáëèöà 53
LES VERBES PRONOMINAUX ÑÏÐ߯ÅÍÈÅ ÌÅÑÒÎÈÌÅÍÍÛÕ ÃËÀÃÎËÎÂ
Òàáëèöà 54
L’EMPLOI ÓÏÎÒÐÅÁËÅÍÈÅ
Òàáëèöà 55

IMPARFAIT DE L’INDICATIF ÏÐÎØÅÄØÅÅ ÍÅÑÎÂÅÐØÅÍÍÎÅ ÂÐÅÌß ÈÇÚßÂÈÒÅËÜÍÎÃÎ ÍÀÊËÎÍÅÍÈß
ÃËÀÃÎËÛ (LES VERBES) AVOIR, ÊTRE
Òàáëèöà 56
LA CONJUGAISON DES VERBES PAR LES GROUPES ÑÏÐ߯ÅÍÈÅ ÃËÀÃÎËΠÏÎ ÃÐÓÏÏÀÌ
Òàáëèöà 57
LES VERBES PRONOMINAUX ÑÏÐ߯ÅÍÈÅ ÌÅÑÒÎÈÌÅÍÍÛÕ ÃËÀÃÎËÎÂ
Òàáëèöà 58
L’EMPLOI ÓÏÎÒÐÅÁËÅÍÈÅ
Òàáëèöà 59
PASSÉ SIMPLE DE L’INDICATIF ÏÐÎØÅÄØÅÅ ÏÐÎÑÒÎÅ ÂÐÅÌß ÈÇÚßÂÈÒÅËÜÍÎÃÎ ÍÀÊËÎÍÅÍÈß
(LES VERBES) ÃËÀÃÎËÛ AVOIR, ÊTRE
Òàáëèöà 60

LA CONJUGAISON DES VERBES PAR LES GROUPES ÑÏÐ߯ÅÍÈÅ ÃËÀÃÎËΠÏÎ ÃÐÓÏÏÀÌ
Òàáëèöà 61
LES VERBES PRONOMINAUX CÏÐ߯ÅÍÈÅ ÌÅÑÒÎÈÌÅÍÍÛÕ ÃËÀÃÎËÎÂ
Òàáëèöà 62
L’EMPLOI ÓÏÎÒÐÅÁËÅÍÈÅ
Òàáëèöà 63
PASSÉ SIMPLE DES VERBES ÏÐÎÑÒÎÅ ÏÐÎØÅÄØÅÅ ÍÅÊÎÒÎÐÛÕ ÃËÀÃÎËÎÂ
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FUTUR SIMPLE DE L’INDICATIF ÏÐÎÑÒÎÅ ÁÓÄÓÙÅÅ ÂÐÅÌß ÈÇÚßÂÈÒÅËÜÍÎÃÎ ÍÀÊËÎÍÅÍÈß
ÃËÀÃÎËÛ (LES VERBES) AVOIR, ÊTRE
Òàáëèöà 65
LA CONJUGAISON DES VERBES PAR LES GROUPES
ÑÏÐ߯ÅÍÈÅ ÃËÀÃÎËΠÏÎ ÃÐÓÏÏÀÌ
Òàáëèöà 66

LA FORME PARTICULIÈRE DU VERBE DANS FUTUR SIMPLE
ÎÑÎÁÀß ÔÎÐÌÀ ÍÅÊÎÒÎÐÛÕ ÃËÀÃÎËÎÂ Â ÏÐÎÑÒÎÌ ÁÓÄÓÙÅÌ ÂÐÅÌÅÍÈ
Òàáëèöà 67
LES VERBES PRONOMINAUX ÑÏÐ߯ÅÍÈÅ ÌÅÑÒÎÈÌÅÍÛÕ ÃËÀÃÎËÎÂ
Òàáëèöà 68
L’EMPLOI ÓÏÎÒÐÅÁËÅÍÈÅ
Òàáëèöà 69

LES FORMES PARTICULIÈRES DES VERBES DANS FUTUR SIMPLE
ÎÑÎÁÛÅ ÔÎÐÌÛ ÃËÀÃÎËÎÂ Â FUTUR SIMPLE
Òàáëèöà 70
FUTUR DANS LE PASSÉ
ÁÓÄÓÙÅÅ Â ÏÐÎØÅÄØÅÌ (ÑÎÂÏÀÄÀÅÒ ÏÎ ÔÎÐÌÅ Ñ CONDITIONNEL PRÉSENT)
L’EMPLOI ÓÏÎÒÐÅÁËÅÍÈÅ
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PASSÉ COMPOSÉ DE L’INDICATIF ÏÐÎØÅÄØÅÅ ÑËÎÆÍÎÅ ÂÐÅÌß ÈÇÚßÂÈÒÅËÜÍÎÃÎ ÍÀÊËÎÍÅÍÈß
ÃËÀÃÎËÛ (LES VERBES) AVOIR, ÊTRE
Òàáëèöà 72
LA CONJUGAISON DES VERBES PAR LES GROUPES
ÑÏÐ߯ÅÍÈÅ ÃËÀÃÎËΠÏÎ ÃÐÓÏÏÀÌ
Òàáëèöà 73
PARTICIPE PASSÉ DES PLUSIEURS VERBES DE 3 GROUPE DE LA CONJUGAISON PARTICIPE PASSÉ ÍÅÊÎÒÎÐÛÕ ÃËÀÃÎËΠIII ÃÐÓÏÏÛ ÑÏÐ߯ÅÍÈß
Òàáëèöà 74

LES VERBES PRONOMINAUX
ÑÏÐ߯ÅÍÈÅ ÌÅÑÒÎÈÌÅÍÍÛÕ ÃËÀÃÎËÎÂ
Òàáëèöà 75
LES VERBES QUI FORMENT PASSÉ COMPOSÉ AVEC LE VERBE ÊTRE
ÃËÀÃÎËÛ, ÎÁÐÀÇÓÞÙÈÅ PASSÉ COMPOSÉ Ñ ÃËÀÃÎËÎÌ ÊTRE
Òàáëèöà 76
L’EMPLOI ÓÏÎÒÐÅÁËÅÍÈÅ
Òàáëèöà 77
PASSÉ SURCOMPOSÉ ÑÂÅÐÕÑËÎÆÍÎÅ ÏÐÎØÅÄØÅÅ ÂÐÅÌß
LA CONJUGAISON DES VERBES PAR LES GROUPES ÑÏÐ߯ÅÍÈÅ ÃËÀÃÎËΠÏÎ ÃÐÓÏÏÀÌ
Òàáëèöà 78
LES VERBES PRONOMINAUX ÑÏÐ߯ÅÍÈÅ ÌÅÑÒÎÈÌÅÍÍÛÕ ÃËÀÃÎËÎÂ
Òàáëèöà 79
L’EMPLOI ÓÏÎÒÐÅÁËÅÍÈÅ
Òàáëèöà 80
PLUS-QUE-PARFAIT DE L’INDICATIF ÄÀÂÍÎÏÐÎØÅÄØÅÅ ÂÐÅÌß ÈÇÚßÂÈÒËÜÍÎÃÎ ÍÀÊËÎÍÅÍÈß
ÃËÀÃÎËÛ AVOIR, ÊTRE
Òàáëèöà 81
LA CONJUGAISON DES VERBES PAR LES GROUPES ÑÏÐ߯ÅÍÈÅ ÃËÀÃÎËΠÏÎ ÃÐÓÏÏÀÌ
Òàáëèöà 82
LES VERBES PRONOMINAUX ÑÏÐ߯ÅÍÈÅ ÌÅÑÒÎÈÌÅÍÍÛÕ ÃËÀÃÎËÎÂ
Òàáëèöà 83
L’EMPLOI ÓÏÎÒÐÅÁËÅÍÈÅ
Òàáëèöà 84
FUTUR ANTÉRIEUR DE L’INDICATIF ÁÓÄÓÙÅÅ ÑËÎÆÍÎÅ ÂÐÅÌß ÈÇÚßÂÈÒÅËÜÍÎÃÎ ÍÀÊËÎÍÅÍÈß
ÃËÀÃÎËÛ (LES VERBES) AVOIR, ÊTRE
Òàáëèöà 85
LA CONJUGAISON DES VERBES PAR LES GROUPES ÑÏÐ߯ÅÍÈÅ ÃËÀÃÎËΠÏÎ ÃÐÓÏÏÀÌ
Òàáëèöà 86
LES VERBES PRONOMINAUX ÑÏÐ߯ÅÍÈÅ ÌÅÑÒÎÈÌÅÍÍÛÕ ÃËÀÃÎËÎÂ
Òàáëèöà 87
L’EMPLOI ÓÏÎÒÐÅÁËÅÍÈÅ
Òàáëèöà 88
FUTUR ANTÉRIEUR DANS LE PASSÉ ÁÓÄÓÙÅÅ ÏÐÅÄØÅÑÒÂÓÞÙÅÅ ÂÐÅÌß Â ÏÐÎØËÎÌ (ÑÎÂÏÀÄÀÅÒ ÏÎ ÔÎÐÌÅ Ñ CONDITIONNEL PASSÉ)
L’EMPLOI ÓÏÎÒÐÅÁËÅÍÈÅ
Òàáëèöà 89
PASSÉ ANTÉRIEUR DE L’INDICATIF ÏÐÎØÅÄØÅÅ ÑËÎÆÍÎÅ ÂÐÅÌß ÈÇÚßÂÈÒÅËÜÍÎÃÎ ÍÀÊËÎÍÅÍÈß
ÃËÀÃÎËÛ LES (VERBES) AVOIR, ÊTRE
Òàáëèöà 90
LA CONJUGAISON DES VERBES PAR LES GROUPES
ÑÏÐ߯ÅÍÈÅ ÃËÀÃÎËΠÏÎ ÃÐÓÏÏÀÌ
Òàáëèöà 91
LES VERBES PRONOMINAUX ÑÏÐ߯ÅÍÈÅ ÌÅÑÒÎÈÌÅÍÍÛÕ ÃËÀÃÎËÎÂ
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L’EMPLOI ÓÏÎÒÐÅÁËÅÍÈÅ
Òàáëèöà 93
PRÉSENT DU CONDITIONNEL
ÍÀÑÒÎßÙÅÅ ÂÐÅÌß ÓÑËÎÂÍÎÃÎ ÍÀÊËÎÍÅÍÈß
ÃËÀÃÎËÛ (LES VERBES) AVOIR, ÊTRE
Òàáëèöà 94
LA CONJUGAISON DES VERBES PAR LES GROUPES
ÑÏÐ߯ÅÍÈÅ ÃËÀÃÎËΠÏÎ ÃÐÓÏÏÀÌ
Òàáëèöà 95
LES VERBES PRONOMINAUX ÑÏÐ߯ÅÍÈÅ ÌÅÑÒÎÈÌÅÍÍÛÕ ÃËÀÃÎËÎÂ
Òàáëèöà 96
L’EMPLOI ÓÏÎÒÐÅÁËÅÍÈÅ
Òàáëèöà 97
PASSÉ DU CONDITIONNEL (1, 2 FORMES) ÏÐÎØÅÄØÅÅ ÂÐÅÌß ÓÑËÎÂÍÎÃÎ ÍÀÊËÎÍÅÍÈß (1, 2 ÔÎÐÌÛ)
ÃËÀÃÎËÛ (LES VERBES) AVOIR, ÊTRE
Òàáëèöà 98

LA CONJUGAISON DES VERBES PAR LES GROUPES
ÑÏÐ߯ÅÍÈÅ ÃËÀÃÎËΠÏÎ ÃÐÓÏÏÀÌ
Òàáëèöà 99
LES VERBES PRONOMINAUX
ÑÏÐ߯ÅÍÈÅ ÌÅÑÒÎÈÌÅÍÍÛÕ ÃËÀÃÎËÎÂ
Òàáëèöà 100

L’EMPLOI ÓÏÎÒÐÅÁËÅÍÈÅ
Òàáëèöà 101
PRÉSENT DU SUBJONCTIF ÍÀÑÒÎßÙÅÅ ÂÐÅÌß ÑÎÑËÀÃÀÒÅËÜÍÎÃÎ ÍÀÊËÎÍÅÍÈß
ÃËÀÃÎËÛ (LES VERBES) AVOIR, ÊTRE
Òàáëèöà 102
LA CONJUGAISON DES VERBES PAR LES GROUPES
ÑÏÐ߯ÅÍÈÅ ÃËÀÃÎËΠÏÎ ÃÐÓÏÏÀÌ
Òàáëèöà 103
LES VERBES PRONOMINAUX
ÑÏÐ߯ÅÍÈÅ ÌÅÑÒÎÈÌÅÍÍÛÕ ÃËÀÃÎËÎÂ
Òàáëèöà 104
IMPARFAIT DU SUBJONCTIF ÏÐÎØÅÄØÅÅ ÍÅÑÎÂÅÐØÅÍÍÎÅ ÂÐÅÌß ÑÎÑËÀÃÀÒÅËÜÍÎÃÎ ÍÀÊËÎÍÅÍÈß
ÃËÀÃÎËÛ (LES VERBES) AVOIR, ÊTRE
Òàáëèöà 105
LA CONJUGAISON DES VERBES PAR LES GROUPES
ÑÏÐ߯ÅÍÈÅ ÃËÀÃÎËΠÏÎ ÃÐÓÏÏÀÌ
Òàáëèöà 106
LES VERBES PRONOMINAUX
ÑÏÐ߯ÅÍÈÅ ÌÅÑÒÎÈÌÅÍÍÛÕ ÃËÀÃÎËÎÂ
Òàáëèöà 107
PASSÉ DU SUBJONCTIF
ÏÐÎØÅÄØÅÅ ÂÐÅÌß ÑÎÑËÀÃÀÒÅËÜÍÎÃÎ ÍÀÊËÎÍÅÍÈß
ÃËÀÃÎËÛ (LES VERBES) AVOIR, ÊTRE
Òàáëèöà 108
LA CONJUGAISON DES VERBES PAR LES GROUPES
ÑÏÐ߯ÅÍÈÅ ÃËÀÃÎËΠÏÎ ÃÐÓÏÏÀÌ
Òàáëèöà 109
LES VERBES PRONOMINAUX
ÑÏÐ߯ÅÍÈÅ ÌÅÑÒÎÈÌÅÍÍÛÕ ÃËÀÃÎËÎÂ
Òàáëèöà 110
PLUS-QUE-PARFAIT DU SUBJONCTIF ÄÀÂÍÎÏÐÎØÅÄØÅÅ ÂÐÅÌß ÑÎÑËÀÃÀÒÅËÜÍÎÃÎ ÍÀÊËÎÍÅÍÈß
ÃËÀÃÎËÛ (LES VERBES) AVOIR, ÊTRE
Òàáëèöà 111
LA CONJUGAISON DES VERBES PAR LES GROUPES
ÑÏÐ߯ÅÍÈÅ ÃËÀÃÎËΠÏÎ ÃÐÓÏÏÀÌ
Òàáëèöà 112
LES VERBES PRONOMINAUX
ÑÏÐ߯ÅÍÈÅ ÌÅÑÒÎÈÌÅÍÍÛÕ ÃËÀÃÎËÎÂ
Òàáëèöà 113
L’EMPLOI
ÓÏÎÒÐÅÁËÅÍÈÅ
Òàáëèöà 114

PRÉSENT DE L’IMPÉRATIF
ÍÀÑÒÎßÙÅÅ ÂÐÅÌß ÏÎÂÅËÈÒÅËÜÍÎÃÎ ÍÀÊËÎÍÅÍÈß
ÃËÀÃÎËÛ (LES VERBES) AVOIR, ÊTRE, SAVOIR
Òàáëèöà 115
LA CONJUGAISON DES VERBES PAR LES GROUPES
ÑÏÐ߯ÅÍÈÅ ÃËÀÃÎËΠÏÎ ÃÐÓÏÏÀÌ
Òàáëèöà 116
LES VERBES PRONOMINAUX
ÑÏÐ߯ÅÍÈÅ ÌÅÑÒÎÈÌÅÍÍÛÕ ÃËÀÃÎËÎÂ
Òàáëèöà 117
L’EMPLOI
ÓÏÎÒÐÅÁËÅÍÈÅ
Òàáëèöà 118
PASSÉ DE L’IMPÉRATIF
ÏÐÎØÅÄØÅÅ ÂÐÅÌß ÏÎÂÅËÈÒÅËÜÍÎÃÎ ÍÀÊËÎÍÅÍÈß
ÃËÀÃÎËÛ (LES VERBES) AVOIR, ÊTRE (ÎÒÑÓÒÑÒÂÓÞÒ)
LA CONJUGAISON DES VERBES PAR LES GROUPES
ÑÏÐ߯ÅÍÈÅ ÃËÀÃÎËΠÏÎ ÃÐÓÏÏÀÌ
Òàáëèöà 119
LES VERBES PRONOMINAUX
ÌÅÑÒÎÈÌÅÍÍÛÅ ÃËÀÃÎËÛ (ÎÒÑÓÒÑÒÂÓÞÒ)
L’EMPLOI
ÓÏÎÒÐÅÁËÅÍÈÅ
Òàáëèöà 120
INFINITIF PRÉSENT ÍÅÎÏÐÅÄÅËÅÍÍÀß ÔÎÐÌÀ ÃËÀÃÎËÀ ÍÀÑÒÎßÙÅÃÎ ÂÐÅÌÅÍÈ
ÃËÀÃÎËÛ (LES VERBES) AVOIR, ÊTRE
Òàáëèöà 121
LA CONJUGAISON DES VERBES PAR LES GROUPES
ÑÏÐ߯ÅÍÈÅ ÃËÀÃÎËΠÏÎ ÃÐÓÏÏÀÌ
Òàáëèöà 122
LES VERBES PRONOMINAUX
ÑÏÐ߯ÅÍÈÅ ÌÅÑÒÎÈÌÅÍÍÛÕ ÃËÀÃÎËÎÂ
Òàáëèöà 123
L’EMPLOI
ÓÏÎÒÐÅÁËÅÍÈÅ
Òàáëèöà 124
LE RÔLE DE L’INFINITIF PRÉSENT DANS LA PROPOSITION.
ÐÎËÜ ÍÅÎÏÐÅÄÅËÅÍÍÎÉ ÔÎÐÌÛ ÃËÀÃÎËÀ
 ÏÐÅÄËÎÆÅÍÈÈ.
Òàáëèöà 125
INFINITIF PASSÉ
ÍÅÎÏÐÅÄÅËÅÍÍÀß ÔÎÐÌÀ ÃËÀÃÎËÀ
ÏÐÎØÅÄØÅÃÎ ÂÐÅÌÅÍÈ
ÃËÀÃÎËÛ (LES VERBES) AVOIR ÊTRE
Òàáëèöà 126
LA CONJUGAISON DES VERBES PAR LES GROUPES
ÑÏÐ߯ÅÍÈÅ ÃËÀÃÎËΠÏÎ ÃÐÓÏÏÀÌ
Òàáëèöà 127
LES VERBES PRONOMINAUX
ÑÏÐ߯ÅÍÈÅ ÌÅÑÒÎÈÌÅÍÍÛÕ ÃËÀÃÎËÎÂ
Òàáëèöà 128
L’EMPLOI
ÓÏÎÒÐÅÁËÅÍÈÅ
Òàáëèöà 129
LA SIGNIFICATION DES PLUSIEURS VERBES DESQUELS ON SUIVIT L’AUTRE INFINITIF
ÇÍÀ×ÅÍÈÅ ÍÅÊÎÒÎÐÛÕ ÃËÀÃÎËÎÂ,
ÇÀ ÊÎÒÎÐÛÌÈ ÑËÅÄÓÅÒ ÄÐÓÃÎÉ ÈÍÔÈÍÈÒÈÂ
Òàáëèöà 130

L’EMPLOI DE L’INFINITIF APRÈS LES PLUSIEURS VERBES
ÓÏÎÒÐÅÁËÅÍÈÅ INFINITIF ÏÎÑËÅ ÍÅÊÎÒÎÐÛÕ ÃËÀÃÎËÎÂ
Òàáëèöà 131
LES PLUSIEURS VERBES QUI EXIGENT DE LA PRÉPOSITION
AVANT LE COMPLÉMENT ÍÅÊÎÒÎÐÛÅ ÃËÀÃÎËÛ, ÒÐÅÁÓÞÙÈÅ ÏÐÅÄËÎÃÀ ÏÅÐÅÄ ÄÎÏÎËÍÅÍÈÅÌ
Òàáëèöà 132

LES PLUSIEURS VERBES RÉFLÉCHIS
ÍÅÊÎÒÎÐÛÅ ÂÎÇÂÐÀÒÍÛÅ ÃËÀÃÎËÛ
Òàáëèöà 133
PARTICIPE PRÉSENT
ÏÐÈ×ÀÑÒÈÅ ÍÀÑÒÎßÙÅÃÎ ÂÐÅÌÅÍÈ ÃËÀÃÎËÛ (LES VERBES) AVOIR, ÊTRE
AvoirÊtre
Òàáëèöà 134
LA CONJUGAISON DES VERBES PAR LES GROUPES
ÑÏÐ߯ÅÍÈÅ ÃËÀÃÎËΠÏÎ ÃÐÓÏÏÀÌ
Òàáëèöà 135
LES VERBES PRONOMINAUX
ÑÏÐ߯ÅÍÈÅ ÌÅÑÒÎÈÌÅÍÍÛÕ ÃËÀÃÎËÎÂ
Òàáëèöà 136
L’EMPLOI
ÓÏÎÒÐÅÁËÅÍÈÅ
Òàáëèöà 137
PARTICIPE PASSÉ
ÏÐÈ×ÀÑÒÈÅ ÏÐÎØÅÄØÅÃÎ ÂÐÅÌÅÍÈ ÃËÀÃÎËÛ (LES VERBES) AVOIR, ÊTRE
Òàáëèöà 138
LA CONJUGAISON DES VERBES PAR LES GROUPES
ÑÏÐ߯ÅÍÈÅ ÃËÀÃÎËΠÏÎ ÃÐÓÏÏÀÌ
Òàáëèöà 139
LES VERBES PRONOMINAUX
ÑÏÐ߯ÅÍÈÅ ÌÅÑÒÎÈÌÅÍÍÛÕ ÃËÀÃÎËÎÂ
Òàáëèöà 140
L’EMPLOI
ÓÏÎÒÐÅÁËÅÍÈÅ
Òàáëèöà 141

FORME INTERROGATIVE
ÂÎÏÐÎÑÈÒÅËÜÍÀß ÔÎÐÌÀ ÃËÀÃÎËÎÂ
Òàáëèöà 142
FORME NÉGATIVE
ÎÒÐÈÖÀÒÅËÜÍÀß ÔÎÐÌÀ
Òàáëèöà 143
LA TOURNURE LIMITÉE NE … QUE
ÎÃÐÀÍÈ×ÈÒÅËÜÍÛÉ ÎÁÎÐÎÒ NE … QUE
(ÒÎËÜÊÎ, ËÈØÜ)
Òàáëèöà 144

LES TEMPS IMMÉDIATS
ÍÅÏÎÑÐÅÄÑÒÂÅÍÍÛÅ ÂÐÅÌÅÍÀ
Òàáëèöà 145
FORME PASSIVE
ÑÒÐÀÄÀÒÅËÜÍÛÉ ÇÀËÎÃ
LA FORMATION
ÎÁÐÀÇÎÂÀÍÈÅ
Òàáëèöà 146
LES TEMPS DE LA FORME PASSIVE
ÑÈÑÒÅÌÀ ÂÐÅÌÅÍ ÑÒÐÀÄÀÒÅËÜÍÎÃÎ ÇÀËÎÃÀ
Òàáëèöà 147

FORME IMPERSONNELLE DU VERBE
ÁÅÇËÈ×ÍÀß ÔÎÐÌÀ ÃËÀÃÎËÀ
Òàáëèöà 148
LA CONCORDANCE DES TEMPS DE L’INDICATIF
ÑÎÃËÀÑÎÂÀÍÈÅ ÂÐÅÌÅÍ ÈÇÚßÂÈÒÅËÜÍÎÃÎ ÍÀÊËÎÍÅÍÈß
Òàáëèöà 149

LA CONCORDANCE DES TEMPS DU SUBJONCTIF
ÑÎÃËÀÑÎÂÀÍÈÅ ÂÐÅÌÅÍ ÑÎÑËÀÃÀÒÅËÜÍÎÃÎ ÍÀÊËÎÍÅÍÈß
Òàáëèöà 150
LA CONCORDANCE DES TEMPS DU CONDITIONNEL
ÑÎÃËÀÑÎÂÀÍÈÅ ÂÐÅÌÅÍ ÓÑËÎÂÍÎÃÎ ÍÀÊËÎÍÅÍÈß
Òàáëèöà 151
LES EXERCICES DE RETENIR DE LA MATIÈRE ÉTUDIÉE
ÓÏÐÀÆÍÅÍÈß ÄËß ÇÀÊÐÅÏËÅÍÈß ÈÇÓ×ÅÍÍÎÃÎ ÌÀÒÅÐÈÀËÀ
132. Remplacez les points par le verbe «être» au présent de l’indicatif
(çàìåíèòå ïðîïóñêè ãëàãîëîì «áûòü»).
Je … dans la rue. Nous …. dans la cour. Tu … dans la rue. La salle …
large. Les rues de Paris … larges. Ils … en retard. Nous … dans la rue. Vous
… ici. Les enfants … dans la salle. Elles … absentes. Nous … en retard …. tu à Moscou?… vous dans la rue?… nous les étudiants?
Ïðàâèëüíûå îòâåòû (les réponses): suis, sommes, es, est, sont, sont, sommes, êtes, sont, sont, sommes, es, êtes, sommes.
133. Mettez les propositions à la forme interrogative (ïîñòàâüòå ïðåäëî– æåíèÿ â âîïðîñèòåëüíóþ ôîðìó.
Îáðàçåö: Le professeur est dans la salle. – Le professeur, est-il dans la salle? Est-ce que le professeur est dans la salle?
Mon ami est malade. Cet étudiant est absent. Vous êtes dans la chambre. Les rues de Paris sont larges. Ce texte est facile. Cet exercice est difficile. Le professeur explique la leçon. Les enfants parlent bien français.
133. Mettez à la forme négative (ïîñòàâüòå â îòðèöàòåëüíóþ ôîðìó).
Je suis à Moscou. Tu es malade. Vous êtes dans la chambre. Ils sont absents. Il est le docteur. Elle est le professeur. Est-elle jolie? Êtes-vous en retard? Sontils dans la classe? Je parle français.
134. Répondez aux questions (îòâåòüòå íà âîïðîñû).
Qui êtes vous? Où sont vos parents? Es-tu étudiant? Où est le professeur? Êtes-vous ouvrier? Où sommes-nous? Êtes-vous assis? Suis-je debout? Qui est devant le tableau? Est-ce un journal français?
135. Mettez les phrases à l’impératif (ïîñòàâüòå ïðåäëîæåíèÿ â ïîâå– ëèòåëüíîå íàêëîíåíèå).
Tu es heureux. Nous sommes attentifs. Vous n’êtes pas en retard. Vous êtes à la maison ce soir. Tu n’es pas malade.
136. Traduisez en français (ïåðåâåäèòå íà ôðàíöóçñêèé ÿçûê).
Êòî òû? – ß ñòóäåíò. Êòî ýòî? – Ýòî ñòóäåíòû íàøåãî èíñòèòóòà. Ãäå âàø ó÷èòåëü? – Îí â êàáèíåòå. Ãäå âàøè äðóçüÿ? – Îíè â òåàòðå. Ïî÷åìó âû íå â òåàòðå? – Ïîòîìó ÷òî ÿ çàíÿò. Òû áîëåí? – Íåò, ÿ íå áîëåí. Ìû îïàçäûâàåì. Ãäå òâîè êíèãè è òåòðàäè? – Îíè â ïîðòôåëå. Êòî îòñóòñòâóåò ñåãîäíÿ? – Îòñóòñòâóåò ìîÿ ñåñòðà, îíà áîëüíà.
137. Remplacez les points par le verbe «avoir» au présent de l’indicatif (çàìåíèòå ïðîïóñêè ãëàãîëîì «èìåòü» â íàñòîÿùåì âðåìåíè èçúÿâè– òåëüíîãî íàêëîíåíèÿ).
Je … trois enfants …… vous un fils? Il …. une sœur. Ils … deux filles.
… nous ce livre? Elles … le journal. Vous … cinq plumes. Elle … la leçon de français. Tu … beaucoup d’amis.
Ïðàâèëüíûå îòâåòû (les réponses): ai, avez, a, ont, avons, ont, avez, a, as.
138. Mettez le verbe avoir au présent de l’indicatif (ïîñòàâüòå ãëàãîë avoir â íàñòîÿùåì âðåìåíè èçúÿâèòåëüíîãî íàêëîíåíèÿ).
Je (avoir) beaucoup de livres français. (Avoir)-vous beaucoup d’amis? Aujourd’hui nous (avoir) une réunion. (Avoir)-tu mal à la tête. Il (avoir) en examen ce soir. Vous ne (avoir) pas de patience. Nous ne (avoir) pas de leçons aujourd’hui. Je (avoir) deux enfants. Mes parents (avoir) un grand appartement. Quel âge (avoir)-vous? Je (avoir) vingt ans. Votre frère (avoir)-il des enfants? Non il ne (avoir) pas d’enfants. Tu (avoir) ton examen de français demain?
139. Mettez les phrases à la forme négative et interrogative (ïîñòàâüòå ïðåäëîæåíèÿ â âîïðîñèòåëüíóþ è îòðèöàòåëüíóþ ôîðìû).
Cette femme a un caractère fort. Dans cette salle il y a beaucoup d’élèves. J’ai soif. Il y a une lampe dans cette chambre. Ce soir nous avons le temps d’aller au cinéma. Il y a des livres russe dans cette bibliothèque. Vous avez beaucoup de fautes dans votre dictée. Sur la table il y a des livres et des cahiers.
140. Répondez aux questions (îòâåòüòå íà âîïðîñû).
Avez-vous un crayon rouge? As-tu du papier? Combien de leçons avez-vous aujourd’hui? Quand as-tu ton leçon de français? Les étudiants ont-ils beaucoup de travail? Avez-vous des frères ou des sœurs? Votre sœur aînée a-t-elle des enfants? Quel âge avez-vous? Avez-vous de l’argent sur vous?
141. Traduisez en français (ïåðåâåäèòå íà ôðàíöóçñêèé ÿçûê).
Ó íàñ äâå êîìíàòû. Ó ìîåãî äðóãà áîëüøàÿ ñåìüÿ. Åé âîñåìíàäöàòü ëåò. Ñêîëüêî ó íèõ ãàçåò? – Ó íèõ ìíîãî ãàçåò. Ñêîëüêî ó÷åíèêîâ â âàøåì êëàññå? –  íàøåì êëàññå äâàäöàòü ïÿòü ó÷åíèêîâ. Ñêîëüêî ñòóëüåâ â ýòîé êîìíàòå?  âàøåì ãîðîäå ìíîãî áîëüøèõ äîìîâ? Ó ìåíÿ íåò êàðàíäàøà. Ñêîëüêî êíèã íà ñòîëå? – Íà ñòîëå ñåìü êíèã.  íàøåì ñàäó ìíîãî öâåòîâ.
142. Conjuguez les verbes dans les phrases au présent de l’indicatif (ïðîñïðÿãàéòå ãëàãîëû â ïðåäëîæåíèÿõ â íàñòîÿùåì âðåìåíè èçúÿâèòåëüíîãî íàêëîíåíèÿ).
J’entre dans la classe. Je marche dans la rue. Je traverse la rue. Je prends le stylo. Je vais à l’école. Je lis le livre.
143. Formez des phrases (ñîñòàâüòå ïðåäëîæåíèÿ).
144. Remplacez les points par les terminaisons du présent de l’indicatif
(çàìåíèòå ïðîïóñêè îêîí÷àíèÿìè íàñòîÿùåãî âðåìåíè èçúÿâè– òåëüíîãî íàêëîíåíèÿ).
Je march… dans la rue. Tu prononc… ce mot. Vous répét… cette phrase. Nous répét… cette phrase. Ils march… dans la rue. Elle entr… dans la classe. On li… le livre.
Ïðàâèëüíûå îòâåòû (les réponses): e, es, ez, ons, ent, e, t.
145. Mettez les verbes du premier groupe au présent de l’indicatif (ïîñòàâüòå ãëàãîëû ïåðâîé ãðóïïû â íàñòîÿùåå âðåìÿ èçúÿâè– òåëüíîãî íàêëîíåíèÿ).
Nous (passer) l’été à la campagne. Tu (parler) bien français. Il (accompagner) sa mère à la gare. Vous (demeurer) loin de votre travail. Vous (embrasser) vos parents. Ma sœur (jouer) du piano. Quelles sciences (étudier)-tu? Nous ne (oublier) jamais cette règle. Cet artiste (créer) un nouveau rôle. Les enfants (crier) dans la cour. Tu (copier) la dictée. Il (plier) une feuille de papier. Vous (louer) une bien chambre. Je (patiner) souvent en hiver. Nous (travailler) beaucoup à l’école. Tu (fermer) la fenêtre. Vous (donner) vos cahiers à votre professeur. Il (aimer) le sport. Les enfants (montrer) leurs devoirs au professeur. Je (prononcer) les mots nouveaux et les élèves (répéter) après moi. Nous (manger) beaucoup de fruits. Vous (essuyer) le tableau. Nous ne (partager) pas votre opinion. Je (employer) souvent ces mots.
146. Mettez à l’impératif les verbes du premier groupe (ïîñòàâüòå ãëàãî– ëû ïåðâîé ãðóïïû â ïîâåëèòåëüíîå íàêëîíåíèå).
Vous marchez vite. Tu entres dans la classe. Nous répétons les phrases. Vous répétez les phrases.
(Chanter) bien! (Lever) la tête! (Commencer) notre travail. (Entrer) dans
la chambre. (Manger) vite votre dîner. (Appeler) tes enfants et (donner) leur
à manger. (Envoyer) ta lettre aujourd’hui. Ne (oublier) pas de m’apporter votre cahier. (Amener) tes amis pour passer le soir ensemble. (Appuyer)-toi sur mon bras.
147. Répondez aux questions (îòâåòüòå íà âîïðîñû).
Parles-tu bien français? Que cherchez-vous? Jouez-vous au tennis? À quelle heure dinez-vous? Est-ce que je marche très vite? Ce petit garçon joue-t-il du piano? Combien de fois répétez-vous cette règle? Est-ce que je danse bien? Qui est-ce qu’il appelle?
148. Traduisez en français (ïåðåâåäèòå íà ôðàíöóçñêèé ÿçûê).
Ìû âîçâðàùàåìñÿ äîìîé ïîçäíî. Ìû ìíîãî ðàáîòàåì. Îíè ñïðÿãàþò ãëàãîëû, à âû ïåðåïèñûâàåòå òåêñòû. Ó÷åíèêè ïîêàçûâàþò ñâîè òåòðàäè ó÷èòåëþ. Ó÷èòåëü èñïðàâëÿåò îøèáêè â òåòðàäÿõ ó÷åíèêîâ. Ïîêóïàåòå ëè âû ãàçåòû? ß èõ ïîêóïàþ êàæäûé äåíü. ß äàþ ìîþ êíèãó òîâàðèùàì. Ìîÿ ñåñòðà ëþáèò ïåòü è òàíöåâàòü.
149. Formez des phrases (ñîñòàâüòå ïðåäëîæåíèÿ).
150. Écrivez au pluriel les phrases (íàïèøèòå ïðåäëîæåíèÿ âî ìíîæåñòâåííîì ÷èñëå).
Je travaille à l’usine. Tu es assis. Il est en retard. Il est absent. Es-tu content de nous voir? Suis-je à Moscou? Cette maison est grande. Cet ouvrier travaille beaucoup. Elle est jolie. Ce film est intérresant.
151. Mettez les verbes du deuxième groupe au présent de l’indicatif (ïîñòàâüòå ãëàãîëû âòîðîé ãðóïïû â íàñòîÿùåå âðåìÿ èçúÿâè– òåëüíîãî íàêëîíåíèÿ).
Les fruits (mûrir) en automne. Je (brunir) au soleil. Tu (jouir) d’une bien santé. Nos cours (finir) à 3 heures. Il (choisir) une place près d’elle. Je (applaudir) cet artiste. Tu (guérir) vite. Il (obéir) aux ordres du professeur. Nous (remplir) nos paniers de fraises. Vous (agir) sans réfléchir. Les ouvriers (bâtir) une grande maison. Le train (relantir). Les enfants (grandir) vite. Ces étudiants (saisir) tout du premier coup. Le père (punir) ses enfants. Mes copins et moi, nous (réunir) chaque mois.
152. Traduisez en français (ïåðåâåäèòå íà ôðàíöóçñêèé ÿçûê).
Ìû ñîáèðàåìñÿ ó ìåíÿ â ïîëäåíü. Íàïîëíèòå âàøè ñòàêàíû. Ñàìîëåò ïðèçåìëÿåòñÿ. Îíà áëåäíååò îò æàðû. Ìîé ùåíîê õóäååò, ÿ äóìàþ, ÷òî îí áîëåí. Ïîäóìàé î ìîåì ïðåäëîæåíèè. Ðàáî÷èå ðàñøèðÿþò øîññå. Ýòîò ìàëü÷èê âñåãäà êðàñíååò, êîãäà ó÷èòåëü çàäàåò åìó âîïðîñ. Ïî÷åìó òû íå ñëóøàåøüñÿ? ß âûáèðàþ ÷åðíîå ïëàòüå äëÿ ýòîãî âå÷åðà.  äåòñòâå ìàìà ìåíÿ ÷àñòî íàêàçûâàëà.
153. Mettez les phrases au pluriel (íàïèøèòå ïðåäëîæåíèÿ âî ìíî– æåñòâåííîì ÷èñëå).
Pourquoi rougis-tu? Je choisis une robe de laine pour l’hiver. La rose fleurit dans mon jardin. Ce canal unit deux mers.Réfléchis avant de parler. Cet arbre grandit lentement. Je remplis mon verre d’eau fraîche. Guéris vite! Le nuage grandit à nos yeux et obscurcit le ciel.
154. Répondez aux questions (îòâåòüòå íà âîïðîñû).
À quelle heure finit votre leçon de français? Quels livres français choisissez– vous pour lire en été? Quand les fruits mûrissent-ils? Pourquoi applaudissezvous cette actrice? Est-ce que cet enfant obéit à ses parents? Est-ce que les arbres fruitières fleurissent en hiver? Quand les feuilles jaunissent-elles? Pourquoi démolit-on cette vieille maison? Vos enfants grandissent-ils vite? Te réjouis-tu les résultats de tes examens?
155. Mettez les verbes du troisième groupe au présent de l’indicatif (ïî– ñòàâüòå ãëàãîëû òðåòüåé ãðóïïû â íàñòîÿùåå âðåìÿ èçúÿâèòåëü íîãî íàêëîíåíèÿ).
Les enfants (sortir) de l’école. Ce petit garçon (dormir) comme une marmotte. C’est un homme qui ne (mentir) jamais. Nous (connaître) l’auteur de ce livre. L’avion (disparaître) à l’horizont. Vous me (paraître) souffrant. Ce chemin (conduire)
à la gare. Nous (traduire) un texte difficile. Tu (introduire) tes hôtes dans le jardin. Je (attendre) ma sœur qui rentre tard. Nous (descendre) du wagon à la gare. Le succès de cette entreprise ne (dépendre) que de vous. (Répondre)-tu à toutes mes questions? Le ciel (devenir) sombre et le tonnerre gronde. (Retenir)-tu ton ami à dîner? Nous (obtenir) des résultats surprenants. Vous (devoir) apprendre par cœur cette belle poésie. Je (vouloir) lire le nouveau roman de cet auteur. Une nappe blanche (couvrir) la table. Nous (offrir) un bouquet de roses à notre professeur.
156. Traduisez en français (ïåðåâåäèòå íà ôðàíöóçñêèé ÿçûê).
Êàêèå èíîñòðàííûå ÿçûêè âû çíàåòå? Âû ìåíÿ ñëûøèòå? Âû ïëîõî ñåáÿ ÷óâñòâóåòå? Äîëæíû ëè ìû âàñ æäàòü? Êîãäà óåçæàþò âàøè äðóçüÿ? Îíè åùå ñïÿò. Ïî÷åìó òû íå ïðèõîäèøü íàâåñòèòü ìåíÿ? ß ïåðåâîæó òðóäíûé òåêñò. Ìîãó ëè ÿ çàäàòü âàì âîïðîñ? Ìîæåòå ëè âû îòâåòèòü íà ìîé âî– ïðîñ? ß õî÷ó âàì îòâåòèòü ÷åñòíî.  êîòîðîì ÷àñó òû âîçâðàùàåøüñÿ äî– ìîé? Âû ìåíÿ óçíàåòå? Êàêîé èíîñòðàííûé ÿçûê âû çíàåòå? Êàê âû ïîæè– âàåòå? ß ïèøó ïèñüìî ñåñòðå. Êóäà òû áåæèøü òàê áûñòðî? Êàæäîå óòðî ÿ óáèðàþ ñâîþ êðîâàòü. Ïîëîæèòå âàøó êíèãó íà ñòîë. Ðàçðåøèòå ìíå çà– äàòü âàì íåñêîëüêî âîïðîñîâ. Îí íå ãîâîðèò âàì ïðàâäó, íå âåðüòå åìó.
157. Répondez aux questions (îòâåòüòå íà âîïðîñû).
Où faites-vous vos études? Où vas-tu? Est-ce que tu me comprends quand je parle français? Quelle langue apprenez-vous à l’école? Prenez-vous du thé ou du café? Où est-ce que tu mets tes livres? Promettez-vous de m’écrire souvent? Dites-vous la verité? Lisez-vous des livres russes? Écris-tu souvent à tes amis? Voyez-vous toutes vos fautes? Savez-vous bien cette règle?
158. Mettez les verbes pronominaux au présent de l’indicatif (ïîñòàâüòå ìåñòîèìåííûå ãëàãîëû â íàñòîÿùåå âðåìÿ èçúÿâèòåëüíîãî íà– êëîíåíèÿ).
Je (se laver) à l’eau froide. Mon ami (s’habiller) toujours lentement. Elle (se peigner) longtemps parce que ses cheveux sont longs. Pourquoi (se coucher)-tu si tard. En été les enfants (se baigner) dans la rivière. Je (s’essuyer) avec une serviette-éponge. Les deux amis (se rencontrer) à la gare. Mes deux petites sœurs (s’aimer) beaucoup. Les gamins crient et (se battre) dans la cour. Les deux hommes (se reconnaître). Nous (se regarder) et nous (se comrendre) sans parler. Pourquoi vous ne (se saluer) pas? Vous (se laver) les mains souvent. De nos jours les nouvelles maisons (se construire) vite. Les journaux et les revues (se vendre) toujours bien. La porte (se fermer) et je reste seul. Ce vieux château (se détruire) peu à peu. Les vieilles offenses (s’oublier), et nous redevenons amis.
159. Mettez les phrases à la forme négative et interrogative (ïîñòàâüòå ïðåäëîæåíèÿ â îòðèöàòåëüíóþ è âîïðîñèòåëüíóþ ôîðìû).
Nous nous réveillons à sept heures. Il se lave à l’eau chaude. Je m’habille vite. Ces marchandises se vendent à bon marché. Tu te plains de ta vie. Vous vous dépêchez pour arriver à temps. Ces étudiants se couchent tard.
160. Mettez les phrases à l’impératif (ïîñòàâüòå ïðåäëîæåíèÿ â ïîâåëè– òåëüíîå íàêëîíåíèå).
Tu te lève vite. Vous ne vous dépêchez pas. Nous nous en allons d’ici. Vous vous arrêtez près de cette maison. Nous nous asseyons à l’ombre et nous nous reposons. Tu te tais. Tu ne te plains pas de tes copins. Vous vous couchez à minuit.
161. Mettez à la forme affirmative les verbes soulignés (ïîñòàâüòå âûäå– ëåííûå ãëàãîëû â óòâåðäèòåëüíóþ ôîðìó).
Ne vous couchez pas par la terre. Ce sont vos livres. Ne les lui montrez pas. Ne les leur prêtez pas. C’est votre secret. Ne vous reposez pas. Ne nous le dites pas. Prenez ce livre. Ne me l’envoyez pas. Ne vous dépêchez pas. Ne me regardez pas.
162. Traduisez en français (ïåðåâåäèòå íà ôðàíöóçñêèé ÿçûê).
Êàê âû ñåáÿ ÷óâñòâóåòå? Ïî÷åìó òû âñòàåøü òàê ðàíî? ß äîëæåí ïðè– íÿòüñÿ çà ðàáîòó â âîñåìü ÷àñîâ óòðà. Ïî÷åìó âû íå îñòàíàâëèâàåòåñü? Ñàäèòåñü è ðàññêàæèòå ìíå âñå. Íå äåðèòåñü, óñïîêîéòåñü. Îáîïðèòåñü íà ìîþ ðóêó. Îñòàíîâèìñÿ çäåñü è ðàñïîëîæèìñÿ íà áåðåãó ðåêè. Îäåâàéñÿ òåïëî. Ìû äîëæíû îòïðàâèòüñÿ â ïóòåøåñòâèå. Íå âñòàâàé òàê ðàíî. Âñïî– ìèíàéòå èíîãäà ìîè ñëîâà.
163. Écrivez les phrases à toutes les personnes au passé composé de l’indicatif (ïðîñïðÿãàéòå ïðåäëîæåíèÿ â passé composé).
J’ai bien fait ce travail. J’ai écrit une lettre. J’ai traversé la rue. Je n’ai pas vu ce film. Ai-je fermé la porte?
164. Mettez les phrases à la forme interrogative et à la forme négative (ïîñòàâüòå ïðåäëîæåíèÿ â âîïðîñèòåëüíóþ è îòðèöàòåëüíóþ ôîðìû).
Les étudiants ont bien lu le texte. Ils ont lu ces phrases. Le spectacle a commencé à 8 heures. Nous avons fait ce travail. Elle a écrit une lettre. Vous avez vu ce film intérresant. Tu as mis ton livre sur la table.
165. Mettez le texte au passé composé de l’indicatif (íàïèøèòå òåêñò â passé composé).
Je ferme la fenêtre. Tu fermes ton livre. Je montre ma chambre. On sonne. Ils traversent la rue. Elle part pour Paris. Je répète la phrase. Nous écrivons au tableau. Elle prend la craie. Le professeur pose la question. Ils lisent le texte. Tu vois ce tableau. Je viens de Moscou. Vous donnez vos livres à vos amis.
Ïðàâèëüíûå îòâåòû (les réponses): ai fermé, as fermé, ai montré, a sonné, ont traversé, est partie, ai répété, avons écrit, a pris, a posé, ont lu, as vu, suis venu, avez donné.
166. Écrivez les verbes au passé composé de l’indicatif (íàïèøèòå ãëàãî– ëû â présent de l’indicatif è â passé composé).
Vous (pêcher) à la ligne. Nous (applaudir) cet acteur. Nous (lire) ce livre. Les feuilles (jaunir). Elle (remplir) son panier. Tu (passer) tes vacances. Les étudiants (finir) le travail. Vous (vouloir) partir pour Paris. Je (faire) du sport. Hier je (patiner) au parc de culture et de repos. (Oublier)-tu ta promesse? On me dit que la délégation des étudiants (quitter) déjà Moscou. Les alpinistes (atteindre) le sommet de la montagne. Je (apercevoir) mon ami dans sa salle. Nous (entendre) le bruit dans la cour et nous (ouvrir) la fenêtre. Hier nous (diner) a deux heures de l’apres-midi. La dictée que nous (écrire) est bien difficile. Je ne la (voir) pas à l’école. Je vous (attendre) un quart d’heure. Est-ce que la femme que tu (saluer) est ta parente. Mon amie ne comprend pas la question que vous (poser).
167. Répondez aux questions (îòâåòüòå íà âîïðîñû).
Quand êtes-vous parti pour Paris? À quelle heure le train est-il arrivé? Vous êtes-vous bien reposé en route? À quel hôtel êtes-vous descendu? Sont-ils restés tard chez vous? À quelle heure vous êtes-vous couché? Où avez-vous passé l’été? Comment avez-vous voyagé? Combien a coûté votre billet? Combien de jours a duré votre voyage? Votre compartiment a-t-il été confortable? Avez– vous bien passé le temps? Avez-vous été content de votre voyage?
168. Traduisez en français (ïåðåâåäèòå íà ôðàíöóçñêèé ÿçûê).
Îí ïîëó÷èë ïèñüìî îò ðîäèòåëåé. Ìû íå ñìîãëè îòâåòèòü íà ýòîò âîïðîñ. Îíè ïåðååõàëè íà ïðîøëîé íåäåëå. ß åùå íå âåðíóë êíèãó â áèáëèîòåêó. ß êóïèë â÷åðà íîâûé æóðíàë. Âû ñìîãëè ïåðåâåñòè ýòîò òðóäíûé òåêñò? Òû íå ïîíÿë ýòîãî ïðàâèëà. Âû õîðîøî ñïàëè ýòó íî÷ü? Îíà âñòàëà, ïîäîøëà ê îêíó è îòêðûëà åãî. Êîãäà òû âûøåë èç äîìà? Ìîè äðóçüÿ â÷åðà óåõàëè â äåðåâíþ.  êîòîðîì ÷àñó âû ñåãîäíÿ âåðíóëèñü? Ìû õîðîøî îòäîõíóëè âî âðåìÿ êàíèêóë. Ãäå âû íàøëè ìîé íîâûé àäðåñ, ÿ íèêîìó åãî íå äàâàë.
169. Mettez les verbes «avoir», «être» aux temps indiqués (ïîñòàâüòå ãëàãîëû áûòü, èìåòü â óêàçàííûõ âðåìåíàõ).
Présent: Tu (être) content de la voir. Combien d’enfants (avoir) vous? Où (être) elle? Je (être) fatigué. (Avoir) vous soif? Nous (être) a Paris. Ils (avoir) faim.
Passé composé: Nous (être) à Moscou. Hier je (avoir) mal à la tete. Vous ne pas (avoir) le temps de nous visiter. Le film ne pas (être) intéressant. Je (avoir) un bon ami. Elle (être) au concert.
Ïðàâèëüíûå îòâåòû (les réponses): es, avez, est, suis, avez, sommes, ont;
avons été, ai eu, avez eu, a été, ai eu, a été.
170. Mettez les verbes au passé composé de l’indicatif (ïîñòàâüòå ãëàãî– ëû â passé composé).
Vous (aller) au parc. Ils (partir) hier. Elle (arriver) ce matin. Nous (rentrer) tard. Tu (descendre) dans la rue. Les parents de cet enfant (mourir). Mon amie (rester) à la campagne. Je (monter) à la wagon. Elles (sortir) de la salle. Ou (naître) vous? Marie est absente, elle (tomber) malade. Les passagers (monter)
vite en voiture. Nous (se coucher) aussitôt. Ils (se rencotrer) sur le quai. (Revenir)-tu à temps? Elle (s’asseoir) dans un fauteuil et (se mettre) à réciter des vers.
Ïðàâèëüíûå îòâåòû (les réponses): êtes allés, sont partis, est arrivée, sommes
rentrés, es descendu, sont morts, est restée, suis monté, est sortie, êtes nés, est tombée, sont montés, nous sommes couchés, se sont rencontrés, es revenu, s’est assise, s’est mise.
171. Mettez les verbes pronominaux au passé composé de l’indicatif (ïî– ñòàâüòå ìåñòîèìåííûå ãëàãîëû â passé composé).
Je (se promener) dans la rue. Vous (se baigner) dans la Volga. Elle (se laver) à l’eau froide. À quelle heure (s’endormir) tu? Il (se peigner) devant la glace. Nous (se souvenir) de nos vacances. Ils (se mettre) à table. Nous (se donner) rendez– vous. Elles (se réveiller) tard. Les enfants (se laver) les mains avant le dîner. Elle (se lever) à sept heures et (se mettre) à faire la gymnastique. Elle (se brosser) dans la salle de bain. Elle (s’essuyer) avec une serviette-éponge. Elle (s’habiller) vite. Elle (se peigner) avant de sortir. Je (se frotter) les mains pour me chauffer un peu. Ils (se regarder) et (se saluer). Tous mes amis (se réunir) le soir chez moi.
Ïðàâèëüíûå îòâåòû (les réponses): me suis promené, vous êtes baignés,
s’est lavée, t’es-tu endormi, s’est peigné, nous sommes souvenus, se sont mis, nous sommes donnés, s’est reveillée, se sont lavés, s’est levée, s’est mise, s’est brossée, s’est essuyée, s’est habillée, s’est peignée, me suis frotté, se sont regardés, se sont salués, se sont reunis.
172. Écrivez au futur simple de l’indicatif (íàïèøèòå â áóäóùåì âðåìåíè).
Je lis un livre. Je vais au cinéma. Je mange de la viande. Vous prenez vos stylos. Nous partons à 8 heures. Il prend le métro. Elles sortent de la maison. Je me lève très tôt. Nous faisons les exercices. Ou dînez-vous? Ils se lavent à l’eau froide. Le train arrive à 3 heures. Tu entres dans la classe. Je viens de Paris. Vous revenez à la maison à 2 heures. Ils passent les vacances à la campagne.
Ïðàâèëüíûå îòâåòû (les réponses): lirai, irai, mangerai, prendrez, partirons, prendra, sortiront, léverai, ferons, dînerez, laveront, arrivera, entras, viendrai, reviendrez, passeront.
173. Répondez aux questions (îòâåòüòå íà âîïðîñû).
Quand les cours finirons-ils? Où partirez-vous pendant vos vacances? Votre ami partira-t-il avec vous? Quelles villes visiterez-vous? Voyagerez-vous en avion? Vous habillerez-vous chaudement? Consentirez-vous à me prendre avec vous? Me réveillerez-vous le matin? Que mangerons-nous à notre dîner? Raconterez-vous vos impressions aux autres?
174. Traduisez en français (ïåðåâåäèòå íà ôðàíöóçñêèé ÿçûê).
Áóäåò ëè âàø áðàò ðàáîòàòü ñ íàìè? Ãäå æå îí áóäåò æèòü? À âû òîæå óåäåòå ñ íèì? Íåò, ÿ íå îñòàâëþ ñâîþ ðàáîòó è íàø ãîðîä. ß îñòàíóñü çäåñü. Ìû áóäåì âèäåòüñÿ íåñêîëüêî ðàç â ãîä. Ñêîëüêî ëåêöèé áóäåò ó âàñ ñåãîäíÿ? ß áóäó çàâòðàêàòü äîìà. Ó íàñ áóäåò î÷åíü ìàëî ñâîáîäíîãî âðåìåíè. Îí áó– äåò î÷åíü ðàä âàñ âèäåòü. Ãäå òû áóäåøü â âîñêðåñåíüå âå÷åðîì? Âû íàì äàäè– òå ýòó êíèãó. Âñå îáúÿñíèòñÿ î÷åíü áûñòðî. Òû áóäåøü ïåòü ïåñíè íà íàøåì âå÷åðå. ß áóäó ðàáîòàòü âåñü âå÷åð. Áóäåò ëè ó òåáÿ çàâòðà ýêçàìåí? Ìû ïîïû– òàåìñÿ îòâåòèòü íà âñå âàøè âîïðîñû. ß çíàþ, ÷òî îí íå çàõî÷åò îêàçàòü òåáå ýòó óñëóãó. ß äóìàþ, ÷òî ñêîðî ïîéäåò äîæäü. Òû ñïóñòèøüñÿ âî äâîð è òàì íàñ ïîäîæäåøü. Òû íèêîãäà íå óçíàåøü, ÷òî ÿ äóìàþ.
175. Mettez les verbes irréguliers au futur simple de l’indicatif (ïîñòàâü– òå íåïðàâèëüíûå ãëàãîëû â áóäóùåå âðåìÿ èçúÿâèòåëüíîãî íà– êëîíåíèÿ).
Tu (venir) sous ma fenêtre. Je suis sûr que vous ne (vouloir) pas vous mêler dans cette affaire. Nous (aller) au magasin pour y acheter quelque chose. (Pouvoir– vous faire ce que je vous demande? Il (faire) tout son possible et il (atteindre) son but. Si vous avez besoin de moi, je (venir). Demain il (faire) froid, il (falloir) mettre le pardessus. Après une promenade les enfants (s’endormir) vite. Mon histoire vous (paraître) étrange. Mes amis disent qu’ils (se souvenir) toujours de leur voyage en France. Tu (traduire) ce texte difficile. Nous (savoir) cette nouvelle les premiers. Vous (répondre) immédiatement à sa lettre. Je sais qu’il (recevoir) ma lettre dans 3 heures.
176. Mettez les verbes au futur simple ou au présent de l’indicatif (ïîñòàâüòå ãëàãîëû â áóäóùåì èëè íàñòîÿùåì âðåìåíè).
S’il (pleuvoir), nous (rester) à la maison. Si vous (vouloir), je vous (donner) le journal. Nous (aller) au théatre, si nous (avoir) les billets. S’il (gêler), vous (aller) patiner. S’il (faire) froid, nous nous (chauffer). Je (écrire) une lettre, si je (avoir) le stylo. Je (partir) avec vous si je (avoir) le temps.
Ïðàâèëüíûå îòâåòû (les réponses): pleut, resterons; voulez, donnerai; irons, avons; gèle, irez; fait, chaufferons; écrirai, ai; partirai, ai.
177. Conjuguez au présent, au futur simple et au passé composé de l’indicatif (ïðîñïðÿãàéòå â íàñòîÿùåì, áóäóùåì è ïðîøåäøåì âðåìåíàõ).
J’envoie une lettre à ma sœur. J’appelle mon père. J’achète le journal au kiosque.
178. Mettez au futur simple ou au futur antérieur (ïîñòàâüòå ãëàãîëû â futur simple èëè â futur antérieur):
Il (se coucher) aussitôt qu’il (manger). Lorsque je (faire) le devoir, je vous les (montrer). Dès qu’on (sonner), nous (sortir) de la classe. Quand tu te (lever), tu (aller) vite à l’école. Quand je (écrire) ma lettre, je la (mettre) sous enveloppe. Quand les étudiants (lire) ce livre, ils le vous (donner). Dès que je (rentrer), je me (mettre) au travail. Après que tu (expliquer) cette règle, nous (écrire) mieux la dictée. Vous me (téléphoner) dès que vous (rentrer). Quand le pluie (cesser), nous (sortir). Ma sœur (venir) vous voir quand elle (se reposer). Vous (prendre) la parole aussitôt que cet orateur (finir) son discours. Dès que nous (se reposer), nous (continuer) notre route. Demain à cette heure il (arriver) déjà.
179. Traduisez en français (ïåðåâåäèòå íà ôðàíöóçñêèé ÿçûê).
Ìû ñÿäåì â âàãîí, êàê òîëüêî ïðèäåò ïîåçä. Êîãäà òû ñäåëàåøü ñâîå äîìàøíåå çàäàíèå, ìû ïîéäåì ãóëÿòü. Êîãäà ÿ âàì âñå îáúÿñíþ, âû ïîéìå– òå, ÷òî ÿ ïðàâ. ß áóäó ðàçãîâàðèâàòü ñ âàìè, êîãäà ïîîáåäàþ. ×åðåç ìåñÿö îí óæå çàêîí÷èò ðàáîòó è óåäåò. Çàâòðà â ýòî âðåìÿ òû óæå ïîêèíåøü íàø ãîðîä. ×åðåç äåñÿòü ìèíóò ìû çàêîí÷èì ðàáîòó è ïîéäåì ñ âàìè.
180. Remplacez les points par le verbe «s’asseoir» aux temps indiqués
(çàìåíèòå ïðîïóñêè ãëàãîëîì «ñèäåòü» â óêàçàííûõ âðåìåíàõ).
Je … (présent) sur cette chaise. Elle … (passé composé) sur ce banc … (impératif) vous près de la fenêtre. Je … (futur simple) près de la porte. Ne … (impératif) pas sur cette chaise. Nous nous … (futur simple) au premier rang. Je … (futur simple) près de vous. Je me … (passé composé) sur le canapé. Elles … (passé composé) devant nous.
Ïðàâèëüíûå îòâåòû (les réponses): m’assois, s’est assise, asseyez, m’assoirai, vous asseyez, assoirons, m’assoirai, suis assis, se sont assises.
181. Mettez les phrase à la forme passive à l’aide de «par» (ïîñòàâüòå ïðåäëîæåíèÿ â ïàññèâíóþ ôîðìó ïðè ïîìîùè «par»).
Les Anglais habitent l’Angleterre. Le professeur dirige notre travail. Les Japonais habitent le Japon. La mer Noir baigne la Russie. Les Mongols habitent la Mongolie. Beaucoup de fleuves arrosent la France. Les Russes habitent la Russie. Les Italiens habitent l’Italie. Les Français habitent la France. Les Espagnols habitent l’Espagne. Les Polonais habitent la Pologne.
182. Mettez les phrases à la forme active (ïåðåôðàçèðóéòå ïðåäëîæåíèÿ â àêòèâíóþ ôîðìó).
Beaucoup de provinces françaises sont visitées par des touristes étrangers. Le ciel et les nuages sont refletés par l’eau. Ce cours est suivi avec plaisir de tous les étudiants de notre année. Ce professeur est cherché par les élèves. Ce film est projeté dans plusieurs cinémas. Ce vieillard esr respecté de tous les habitants de son village. Les feuilles mortes sont emportées par le vent. Nous sommes enchantés de sa voix ravissante. Son corps est couvert de brûlures. Cette maison solitaire est bien gardée par le chien.
183. Mettez les verbes à l’imparfait de l’indicatif (ïîñòàâüòå ãëàãîëû â imparfait de l’indicatif).
Quand je (être) petit, je (patiner) beaucoup. Quand nous (être) en France, nous (faire) des excursions. Quand je (être) petit, je (habiter) à Moscou. Je (recevoir) souvent des lettres, quand je (être) à l’étranger. Quand nous (être) en France, nous (parler) toujours français. Quand ils (être) au village, ils (ramasser) des champignons, ils (aller) dans la forêt, ils (se baigner). Quand je (être) malade, mes amis (venir) souvent me voir. Vous (sortir) toujours à la même heure. Nous (longer) la rivière. Elle (pâlir) et (frémir) à chaque coup de vent. À sept heures du soir toute ma famille (se mettre) à table. Ils (prendre) toujours l’autobus pour arriver au travail. Je (attendre) mon copin en me promenant dans le jardin. Tu (venir) souvent chez moi pendant ton séjour à Paris. Ils ne (pouvoir) pas venir parce qu’ils (être) très occupés. Mon frère (répondre) toujours immédiatement aux lettres qu’il (recevoir).
Ïðàâèëüíûå îòâåòû (les réponses): étais, patinais; étions, faisions; étais, habitais; recevais, étais; étions, parlions; étaient, ramassaient, allaient, se baignaient; étais, venaient, sortiez, longions, pâlissait, frémissait, se mettiez, preniez, attendais, venais, pouvaient, étaient, répondait, recevait.
184. Traduisez en français (ïåðåâåäèòå íà ôðàíöóçñêèé ÿçûê).
Êîãäà ÿ áûë â ýòîì ãîðîäå, ÿ ÷àñòî õîäèë ãóëÿòü â ïàðê. ×òî âû äåëàëè ïî âå÷åðàì, êîãäà æèëè íà áåðåãó ìîðÿ? Îí âñåãäà âñòàâàë î÷åíü ðàíî è øåë êóïàòüñÿ íà îçåðî, êîòîðîå íàõîäèëîñü îêîëî äîìà. Ó íåå áûëè êðà– ñèâûå êàøòàíîâûå âîëîñû è ÷åðíûå ãëàçà. Â÷åðà áûëà õîðîøàÿ ïîãîäà, áûëî íå õîëîäíî, è ìû äîëãî ãóëÿëè ïî ïàðêó. Êîãäà ÿ áûë áîëåí, ÿ ñïàë î÷åíü ïëîõî. Áûëî óæå î÷åíü ïîçäíî, íåáî áûëî ïîêðûòî òó÷àìè, è ìû èñêàëè äîðîãó â òåìíîòå. Âñå çíàëè ýòîãî ñòàðèêà, êîòîðûé êàæäûé äåíü ïðîõîäèë ìèìî íàøåãî äîìà.
185. Remplacez les points par le verbe à l’infinitif avec la préposition «à» (çàìåíèòå ïðîïóñêè ãëàãîì â íåîïðåäåëåííîé ôîðìå ñ ïðåä– ëîãîì «à»).
J’ai un devoir… Vous avez une lettre… Ils ons une dépêche… J’ai beaucoup… Ils ont rien… Il n’y a rien… J’ai quelque chose…vous… Je vous aide… Je cherche…
186. Traduisez les phrases. Faites attention à l’infinitif précédé des prépositions différentes (Ïåðåâåäèòå. Îáðàòèòå âíèìàíèå íà èíôè– íèòèâ, êîòîðîìó ïðåäøåñòâóåò ïðåäëîã).
Avant de poursuivre son chemin, il regarda la maison et vit la porte de la cuisine ouverte. Après avoir chanté tout le jour chez un roi, le Chanteur retournait à sa maison. Elle ne disait rien afin d’éviter les expliquations, les discussions et les querelles. Il avait coutume de s’asseoir pour chanter. Il fit effort pour dominer cette pensée qui l’obsédait. Je reculai de quelques pas afin de mieux contempler la statue. Il ne cessait de s’accuser d’avoir tué son frère le plus tendre et son meilleur ami. Michel Féder jamais ne put pardonner à son fils unique d’avoir epousà une petite actrice. Elle reconnaissait les voix sans pouvoir distinguer les mots. Duroy s’en alla, sans avoir pu découvrir le mot mordant qu’il cherchait. Une paysanne lui parla et il reste sans répondre avec des yeux demi-fermés.
187. Traduisez en français en employant l’infinitif précédé d’une préposition (ïåðåâåäèòå íà ôðàíöóçñêèé ÿçûê, èñïîëüçóÿ èíôè– íèòèâ ñ ïðåäëîãîì).
Îí ïðîíèê â äîì, íå êîëåáëÿñü. Ðàçðåøèòå ìíå ïîäóìàòü, ïðåæäå ÷åì îòâåòèòü íà âàø âîïðîñ. Îí ñìîòðåë íà ýòó ñöåíó, íè÷åãî íå ïîíèìàÿ. Ïðåæ– äå ÷åì ÿ óåäó, ÿ äîëæåí âàñ ïîâèäàòü. Íåëüçÿ åãî îñóæäàòü çà òî, ÷òî îí ýòî ñäåëàë. ß íå óåäó, íå ïîâèäàâ âàñ. Îí âîøåë, íå ïðîèçâîäÿ íè ìàëåéøåãî øóìà. Æàí Âîëüæàí áûë îáâèíåí â òîì, ÷òî ñêðûë ñâî¸ èìÿ. Ïóòíèê óäà– ëèëñÿ, ïîáëàãîäàðèâ ñòàðèêà çà ñîâåòû. Ïåðåæäå ÷åì ïîäîéòè ê äîìó, þíî– øà ïðèñëóøàëñÿ, íå ëàåò ëè ñîáàêà. Òóðèñòû ðåøèëè ñîâåðøèòü íåáîëü– øóþ ïðîãóëêó, ïðåæäå ÷åì ïîéòè îáåäàòü.
188. Traduisez. Faites attention à l’infinitif après les verbes «faire», «laisser», «se mettre à», «commencer par», «finir par», «avoir à», «être à», «avoir beau» (Ïåðåâåäèòå. Îáðàòèòå âíèìàíèå íà èíôè– íèòèâ ïîñëå ãëàãîëîâ).
Je ne puis décrire l’émotion qui faisait vibrer tout mon être. Son exclamation me fit rire. Pour comble de malheur, l’enfant laissa tomber sa montre, qui se brisa. Je le trouvais encore trop faible poue lui laisser connaître la verité. Elle se leva et se mit à marcher, après avoir allumé une autre cigarette. Cette physionomie était étrangement composée; elle commençait par paraître humble et finissait par sembler sévère. L’homme se mit à manger avidement. Pour punir Christophe, Louisa annonça qu’elle commençait par lui confisquer ses bonbons. Il n’y avait pas à hésiter. Je n’ai rien à dire. Il est à regretter que son arrivée soit si inattendue. Elle eut beau se tourner à droite, à gauche, elle ne le vit pas. Mais il avait beau parler, Julie était determinée à ne rien entendre.
189. Conjuguez les verbes au passé simple de l’indicatif à toutes les personnes (ïðîñïðÿãàéòå ãëàãîëû â passé simple).
Je me levai. Je me mis à rire. Je me baissai. Je fis tomber cette balle. J’ouvris la fenêtre. Je reçus une lettre. Je dus appeler ce garçon. Je courus à toutes jambes. Je criai bien fort. J’ecrivis cet article. Je traduisis ce texte. Je connus cet homme.
Nous (répondre) à toutes les questions du professeur. Mes amis (partir) pour Moscou. Nous (finir) nos études à l’école. Il (aller) voir ses amis. Il nous (prévenir) de son arrivée. Ils (être) surpris par un orage. La porte (s’ouvrir) et un homme (paraître). Ils (travailler) jusqu’à huit heures du soir. Je (écrire) une lettre. Ils (pouvoir) achever ce travail au temps. Je (voir) deux hommes qui s’approchaient de moi. Le train (s’arrêter) et les voyageurs (descendre) sur le quai. Ils (revenir) d’une promenade. Vous (traduire) un texte très difficile. Tu (avoir) envie de partir. Je (voir) un ami et je (aller) à sa rencontre. Elle (rougire) de colère. Tu (s’approcher) de la porte et tu (écouter). Le petit garçon (devoir) obéir à sa mère.
191. Traduisez en français (ïåðåâåäèòå íà ôðàíöóçñêèé ÿçûê).
Åìó ñòàëî õîëîäíî, è îí âåðíóëñÿ â ñâîþ êîìíàòó. Ìû çàìåòèëè íà ãî– ðèçîíòå ñàìîëåò. Îíà ïîäíÿëàñü íà òðèáóíó è çàãîâîðèëà ãðîìêèì ãîëî– ñîì. Îíè ïîêèíóëè íàñ ñ ñîæàëåíèåì è îáåùàëè ñêîðî âåðíóòüñÿ. Êîãäà îí óçíàë ýòó íîâîñòü, îí ðåøèë íåìåäëåííî óåõàòü.  1935 ãîäó ìîè ðîäèòåëè ïîñåëèëèñü â Ïàðèæå. Îí øåë âñþ íî÷ü. Èì ïðèøëîñü îòêàçàòüñÿ îò ýòîãî ïðîåêòà. Ìû ïðèáëèçèëèñü è ñòàëè ñìîòðåòü íà áëåñòÿùóþ ïîâåðõíîñòü ðåêè. Ìîé äðóã ðàáîòàë â ýòîé ãàçåòå äâàäöàòü ïÿòü ëåò.
192. Remplacez les mots indiqués par le participe présent ou le gérondif (çàìåíèòå âûäåëåííûå ñëîâà ïðè÷àñòèåì íàñòîÿùåãî âðåìåíè èëè äååïðè÷àñòèåì).
J’ai vu à la bibliothèque mon ami qui lisait le journal. Il me parlait et me regardait en même temps. Elle travaillait et chantait. Le directeur dit cela et se découvrit. Il entra dans la chambre et ferma la porte. Les etudiants entrèrent dans la classe et saluèrent leur professeur. Il me répondit et sourit. Il me parlait et me regardait en face. Je l’ai vu, quand je sortais de la maison. Je sors de la maison et je tourne à droite. Elle descendait du wagon et vit son amie. Ma mère me voit et me tend les mains.
193. Mettez les verbes au gérondif (çàìåíèòå èíôèíèòèâ äååïðè– ÷àñòèåì).
(Se sentir) toute fatiguée, elle renferma les yeux. (Aller) se promener, il fermait sa chambre à clef. Je restai au même endroit, (réfléchir) à ce que je venais d’entendre. En ce moment sa sœur entra, (s’exuser) de son retard.
Elle (sortir) sans lumière, (chercher) sa chambre a tatôn. Elle nageait à perte de vue (être) forte et hardie. Ma mère me réveilla, (voir) qu’il était temps de partir. Bonjour, messieurs! dit-elle, (tendre) la main aux jeunes gens. Une fillette passait tous les matins devant leur maison (conduite) deux vaches noires. Je suis venu au théâtre (espérer) de vous y rencontrer. (Avoir) peur d’entendre de mauvaises nouvelles, elle cacha sa figure dans ses mains.
194. Mettez les verbes au plus-que-parfait de l’indicatif (ïîñòàâüòå ãëàãî– ëû â plus-que-parfait).
Nous étions très fatigués parce que nous (travailler) toute la nuit. Le télégramme que mon père (rédiger) ne contenait que cinq mots. Lucie ne pouvait pas se rappeler ou elle (laisser) son parapluie. Vous vous êtes souvenu que vous (voir) déjà ce jeune homme quelque part. Il (neiger) la nuit: les arbres étaient tout blancs. Jean était orphelin: ses parents (périr) en 1941. Il n’entendit pas la réponse: on (raccrocher) le récepteur. Tu as échoué à ton examen. – À vrai dire, je le (prévoir). Dès que la petite fille (rentrer) de l’école, elle se mettait à jouer du piano. Quand le dîner (être) servi, on passait dans la salle à manger. Lorsque la cloche (sonner) et le maître d’école (s’en aller), les enfants se précipitaient en criant dans la cour. À peine on (s’approcher) de la porte que le chien se mettait à aboyer.
195. Traduisez en français (ïåðåâåäèòå íà ôðàíöóçñêèé ÿçûê).
Òû âíîâü óâèäåë ãîðîä, ãäå ïðîâåë ñâîå äåòñòâî. Âîäà ïîêðûâàëà äî– ðîãè: ðåêà âûøëà èç áåðåãîâ è çàòîïèëà äåðåâíþ. Ýòî ïèñüìî áûëî íàïè– ñàíî â÷åðà, íî ÿ îòïðàâèë åãî òîëüêî ñåãîäíÿ. Âû âñïîìíèëè, ÷òî óæå âèäåëè ýòó ïüåñó? Ìû ïîøëè íà âîêçàë âñòðå÷àòü íàøèõ äðóçåé: ìû áûëè ïðåäóïðåæäåíû òåëåãðàììîé îá èõ ïðåçäå. Äåâî÷êà ïëàêàëà: îíà ïîòåðÿ– ëà äåíüãè, êîòîðûå åé äàëà ìàòü. Ìû íå çíàëè, ïî÷åìó äðóçüÿ íå ïðèøëè. Òóðèñòû õîòåëè çíàòü, êåì áûëî ïîñòðîåíî ýòî çäàíèå. Ó÷èòåëü èñïðà– âèë îøèáêè, êîòîðûå ìû ñäåëàëè â äèêòàíòå.
196. Mettez les verbes au passé simple ou au passé antérieur (ïîñòàâüòå ãëàãîëû â passé simple èëè passé antérieur).
Dès que l’orateur (terminer) son discours, une discussion animée (s’engager). Aussitôt que je (se lever), je (faire) un quart d’heure de gymnastique. Dès que mon ami me (apercevoir), il (venir) à moi. Les étudiants (se précipiter) dans la
salle dès qu’on (sonner). À peine (faire)-ils quelques pas vers la forêt, qu’ils (entendre) un coup de tonnerre. Après qu’elle me (reconnaître), nous (se) mettre à causer gaiement. Je (s’endormir) à peine (fermer)-je les yeux. Dès que l’enfant (entendre) la voix de sa mère, il (courir) vers elle. À peine (entrer)-nous sous l’ombre fraîche de la forêt, que nous (se coucher) sur l’herbe pour nous reposer.
197. Traduisez en français (ïåðåâåäèòå íà ôðàíöóçñêèé ÿçûê).
Êîãäà îðàòîð îêîí÷èë ðå÷ü, â çàëå ðàçäàëñÿ ñìåõ. Êàê òîëüêî ìû ëåãëè ñïàòü, çàçâîíèë òåëåôîí.  îäíî ìãíîâåíüå îí ïîäóìàë è ïðèíÿë ðåøåíèå. Êàê òîëüêî îí ïîÿâèëñÿ íà ñöåíå, åìó íà÷àëè àïëîäèðîâàòü. ß óåõàë, êàê òîëüêî ïîëó÷èë òåëåãðàììó. Çà íåñêîëüêî ìèíóò îíè ñîáðàëè ñâîè ÷åìîäà– íû. Åäâà îí âîøåë â êîìíàòó, êàê ìû åãî óçíàëè. Ìîé äðóã íàïèñàë ìíå, êàê òîëüêî ïîëó÷èë ïèñüìî. Îí áðîñèëñÿ â âîäó è çà òðè ìèíóòû ïåðåïëûë ðåêó.
198. Mettez les verbes au futur immédiat (ïîñòàâüòå ãëàãîëû â futur immédiat).
Il est dix heure moins le quart. Le train (partir). Mon réveil (sonner) et je (se lever). Il fait trop chaud, il (pleuvoir). Les cours (finir) et nous (se reposer). À présent nous sommes libres. – Que (faire)-vous? On dit qu’il se porte mieux, qu’il (guérir). Ils vous (donner) des explications sur les projets qui vous intéressent. Attendez un moment, nous (arranger) tout. (Se mettre)-tu au travail?
199. Répondez aux questions (îòâåòüòå íà âîïðîñû).
Qu’est-ce que vous allez faire pendant les vacances? Vas-tu dîner avec moi? Allez-vous me suivre? Va-t-il pleuvoir? Cette voûte est en ruines, ne va-t-elle pas nous tomber sur la tête? L’acteur, va-t-il chanter? Allez-vous téléphoner chez le médecin? Vas-tu me montrer ton devoir de français?
200. Traduisez en françias (ïåðåâåäèòå íà ôðàíöóçñêèé ÿçûê).
Âû ñåé÷àñ åãî óâèäèòå. Ïîñïåøèòå, êîíöåðò ñåé÷àñ íà÷íåòñÿ. Âîé– äèòå, ÿ âàì ïîêàæó ñâîþ êîìíàòó. Òû ñêîðî çàêîí÷èøü ýòó ðàáîòó? ß ñåé÷àñ ïðèíåñó âàì ñòàêàí âîäû. Îí ñåé÷àñ îáúÿñíèò íàì òðóäíûå çàäà÷è.
201. Mettez les verbes au passé immédiat (ïîñòàâüòå ãëàãîëû â passé immédiat).
Le taxi (arriver) et nous pouvons partir. La radio (annoncer) que le train part dans cinq minutes. Nous (se réveiller) et nous allons faire la gymnastique. Tu (entrer) et tu veux déjà s’enfuir. Le train (s’arrêter) à la gare et nous descendons du wagon. Je (rendre) le livre à la bibliothèque et on va me donner un autre.
202. Traduisez en français (ïåðåâåäèòå íà ôðàíöóçñêèé).
Ñïåêòàêëü òîëüêî ÷òî îêîí÷èëñÿ. Ìû òîëüêî ÷òî âñòàëè. ß òîëüêî ÷òî ïîëó÷èë ýòî ïèñüìî. Ìîé äðóã òîëüêî ÷òî ïðèåõàë. Ýòîò ñòóäåíò òîëüêî ÷òî ñäàë ýêçàìåí. Ãäå ìîè ÷àñû? – ß èõ òîëüêî ÷òî ïîëîæèë íà ýòîò ñòîë. Ýòè íîâûå äîìà òîëüêî ÷òî ïîñòðîèëè. Òîëüêî ÷òî øåë äîæäü, íî óæå ñâå– òèò ñîëíöå. Îðêåñòð òîëüêî ÷òî íà÷àë èãðàòü óâåðòþðó. ß ïîêàæó òåáå ïëàòüå, êîòîðîå òîëüêî ÷òî êóïèëà. ß íå ãîëîäåí, ÿ òîëüêî ÷òî ïîîáåäàë.
203. Mettez les verbes aux temps convenables (ñîãëàñóéòå âðåìåíà èçúÿâèòåëüíîãî íàêëîíåíèÿ).
Notre copin nous raconta le sujet du livre qu’il (lire) et ajouta qu’il nous (recommander) de lire ce livre intéressant. Nous avons appris que le Théàtre d’Art de Moscou (donner) des spectacles à notre ville dans une quinzaine. J’ai promis à mon ami que je lui (apporter) le matériel nécessaire pour son travail. Je vis les étudiants qui (sortir) de la salle d’étude. Mon copin nous raconte ce qu’il (voir) à l’exposition. Il nous a dit qu’il ne (pouvoir) pas venir à notre soirée parce qu’il (être) très fatigué après une longue promenade qu’il (faire) la veille. Mon ami m’envoya une lettre dans laquelle il me (décrire) comment il (passer) son congé. Aimez-vous la ville où vous (passer) votre enfance? L’étudiant répondit qu’il ne (préparer) pas sa leçon, mais qu’il (promettre) d’apprendre toutes les règles pour la leçon suivante. Il espérait qu’il (avoir) un mois de congé et qu’il (aller) se reposer à la campagne.
204. Mettez les verbes aux temps convenables (ñîãëàñóéòå âðåìåíà èçúÿâèòåëüíîãî íàêëîíåíèÿ).
J’ai montré à mon ami le livre que je (acheter). Nous écoutions le récit de notre copin qui (passer) quelques semaines en France. Tu espères que notre ami (recevoir) déjà notre lettre et qu’il (venir) nous voir demain. Mon ami me répondit
qu’il (vouloir) relire encore une fois la composition qu’il (écrire) la veille et il (ajouter) qu’il me la (donner) dans une demi-heure. Nous vîmes que le bois qu’on a apporté, (être) tout mouillé et qu’il ne (brûler) pas. Dès que je (rentrer), je (se mettre) à table et je (écrire) une lettre à mon ami. Dans cette lettre je lui (raconter) mes impressions du concert auquel je (assister) il y a deux ou trois jours. Les artistes français qui (arriver) dans notre ville se produisent sur la scène du Palais de culture. Hier je suis allé voir mon ami qui (prendre) froid pendant notre promenade à la campagne il y a trois jours. Assis au bord du lac nous regardions la barque qui (s’éloigner).
205. Traduisez en français (ïåðåâåäèòå íà ôðàíöóçñêèé ÿçûê).
Ìû ñïðîñèëè, ñêîëüêî åìó ëåò. Îíè óâèäåëè, ÷òî äåâî÷êà ïëà÷åò. Òû äóìàåøü, ÷òî íàø äðóã óæå óåõàë è íå ïðèäåò ê íàì çàâòðà. Îí ïîøåë â òåàòð, ïîòîìó ÷òî äóìàë, ÷òî âñòðåòèò òàì ìåíÿ. Îí ïîîáåùàë íàì, ÷òî ñäåëàåò âñå âîçìîæíîå, ÷òîáû íàì ïîìî÷ü. Ïîëó÷èë ëè òû ïèñüìî, êîòîðîå ÿ ïîñëàë òåáå òðè äíÿ òîìó íàçàä? ß çíàë, ÷òî ìîé äðóã íàõîäèòñÿ â Ìîñê– âå, è ÷òî îí ïðèåõàë óæå äàâíî. Îí ïîêàçàë ìíå ñòàòüþ, êîòîðóþ îòïðàâèò â ãàçåòó. Ó ìåíÿ î÷åíü ìàëî ôðàíöóçñêèõ êíèã, è ÿ äóìàþ, ÷òî âû íå ñìî– æåòå íàéòè íè÷åãî èíòåðåñíîãî äëÿ ñåáÿ. Ìû äóìàëè, ÷òî çàñòàíåì âàñ äîìà, íî íàì ñêàçàëè, ÷òî âû óåõàëè è âåðíåòåñü î÷åíü ïîçäíî.
207. Mettez les verbes à la forme convenable de l’indicatif ou de conditionnel (ïîñòàâüòå ãëàãîëû â èçúÿâèòåëüíîå èëè óñëîâíîå íàêëîíåíèå â çàâèñèìîñòè îò ñìûñëà âûñêàçûâàíèÿ).
Si tu (voir) le beau spectacle du soleil couchant, tu (être) ému comme moi. Je vous (apporter) ce livre si vous me (prévenir) que en aviez besoin. Je (être) mouillé jusqu’aux os si je ne (prendre) pas mon parapluie. Mon ami venir me voir s’il (arriver) demain. Ma sœur (prendre) part à ce voyage si elle (se porter) bien. Nous (être) enchantés si vous (passer) l’été avec nous. Nous (pouvoir) lui écrire une lettre si nous (savoir) son adresse. Vous (se mettre) au travail immédiatement si vous (disposer) des matériaux nécessaires. Si je (avoir) faim, je (manger) avec appétit. Si je (recevoir) votre lettre, je (venir) vous chercher à la gare. Si je ne (être) pas si occupé, je (lire) volontiers ce livre. Si vous (lire) les journaux, vous (savoir) déjà cette nouvelle. S’il (venir) à sept heures du soir, je (être) à la maison. Je (être) très content si vous (venir) me voir. Je vous (envoyer) votre livre si je (savoir) que vous en (avoir) besoin.
208. Completez les phrases (äîïîëíèòå ïðåäëîæåíèÿ).
J’ouvrirai la fenêtre si… S’il faisait beau demain… Tu finirais ce travail demain, si… Si mes amis voulaient me prendre avec eux dans cette expédition… Il serait facile de résoudre ce problème si… Si tu t’étais levé plus tôt… Il se reposerait la soir… S’il savait cela… Vous auriez travaillé à la bibliothèque si… Si nous avions manqué ce train…
209. Traduisez en français (ïåðåâåäèòå íà ôðàíöóçñêèé ÿçûê).
Åñëè áû âû ëó÷øå âûó÷èëè ãëàãîëû, âû ñäåëàëè áû ìåíüøå îøèáîê. Ìû áûëè áû î÷åíü ðàäû, åñëè áû õîðîøî ñäàëè ýêçàìåíû. Åñëè áû ìîè ðîäèòåëè æèëè íåäàëåêî îò ãîðîäà, ÿ ïðîâåë áû ëåòî ó íèõ. Åñëè áû ìîé áðàò ïðèåõàë çàâòðà, ÿ áû ñìîã âñòðåòèòü åãî íà âîêçàëå. Åñëè áû ÿ â÷åðà çíàë î åãî ïðèåçäå, ÿ áû âñòðåòèë åãî. Åñëè áû ÿ íå íàøëà åãî â øêîëå, ÿ áû ïîøëà ê íåìó äîìîé. ß ñäåëàëà áû â÷åðà ýòè óïðàæíåíèÿ, åñëè áû ó ìåíÿ áûëî âðåìÿ. Êóäà áû òû ïîåõàë, åñëè áû íå ãîòîâèëñÿ ê ýêçàìåíàì. Åñëè áû ìû çíàëè âàø àäðåñ, ìû áû âàì óæå íàïèñàëè. Åñëè áû âû çàâòðà áûëè ñâîáîäíû, ìû áû ïîèãðàëè â øàõìàòû. ß áû ïðèøåë â÷åðà, åñëè áû ÿ âñïîìíèë î âàøåì ïðèãëàøåíèè. ×òî ÿ áóäó äåëàòü, åñëè âû íå ïðèåäåòå? Ñäåëàé ýòî äëÿ ìåíÿ, åñëè ñìîæåøü. Åñëè òû ìåíÿ óâèäèøü, òû ìåíÿ íå óçíàåøü.
210. Mettez les verbes au présent du subjonctif (ïîñòàâüòå ãëàãîëû â ñîñëàãàòåëüíîå íàêëîíåíèå).
Que ne personne (sortir) d’ici! Qu’il (faire) tout son possible pour ne pas être en retard! Que cela vous (être) dit une fois pour toute! Qu’elle (punir) son fils pour sa mauvaise conduite! Qu’il (s’en repentir)! Ma mère a la migraine. Qu’elle (dormir) tranquillement! Que personne ne (venir) la réveiller! Pourvu qu’il (faire) beau demain, pourvu qu’il ne (pleuvoir) pas! Le père défend que son petit garçon (prendre) quelque chose dans son bureau. On a envie que l’hiver (être) fini, que le printemps (revenir). Je regrette que vous (être) obligé de partir, dit la maitresse de la maison. Il est triste que vous vous (sentir) mal. On ignore que tu (prendre) part à cette expédition. Il est peu probable que vous le (trouver) à la maison. Pouvez-vous nier que ce peintre (avoir) du talent. Je crains que vos élèves ne vous (déranger) s’ils viennent si tard chez vous.
L’ADVERBE ÍÀÐÅ×ÈÅ
LES FORMES DES ADVERBES
ÔÎÐÌÛ ÍÀÐÅ×ÈÉ
Òàáëèöà 152
LES TYPES DES ADVERBES
ÂÈÄÛ ÍÀÐÅ×ÈÉ
Òàáëèöà 153
LES DEGRES DE COMPARAISON DES ADVERBES
ÑÒÅÏÅÍÈ ÑÐÀÂÍÅÍÈß ÍÀÐÅ×ÈÉ
Òàáëèöà 154
LA PLACE DE L’ADVERBE DANS LA PROPOSITION
ÌÅÑÒÎ ÍÀÐÅ×Èß Â ÏÐÅÄËÎÆÅÍÈÈ
Òàáëèöà 155
LES EXERCICES DE RETENIR DE LA MATIÈRE ÉTUDIÉE ÓÏÐÀÆÍÅÍÈß ÄËß ÇÀÊÐÅÏËÅÍÈß ÈÇÓ×ÅÍÍÎÃÎ ÌÀÒÅÐÈÀËÀ
211. Formez des adverbes à l’aide de «ment» (îáðàçóéòå íàðå÷èÿ ïðè ïîìîùè «ment»).
Heureuse, joli, poli, attentif, grave, léger, rapide, gai, gravement, chaude.
212. Remplacez les adjectifs par les adverbes en «ment» (çàìåíèòå ïðè– ëàãàòåëüíûå íà íàðå÷èÿ ñ ñóôôèêñîì «ment».
Marius rougit (léger). Il montait (lent) les marches. Thomas pénétra dans une pièce fraîche et sombre, très (pauvre) meublée. Le soir était tombé (brusque). (Vif) je rentrai à la maison, emportant l’anguille toute vivante encore. (Malheureux) nous fûmes bientôt dérangés. Aussitôt il me tourna le dos et s’éloigna (rapide). Cimourdain aimait (passionné) son élève. Il fléchit (involontaire) les épaules. Je voulus savoir le nom, mais il répondit (évasif). Le cœur de Simon Sermet se mit à battre (fort). L’allumette craqua (sec). Gamba paraissait (évident) embrassé. Il referma la porte sur son dos (violent). Il monta (vif) l’escalier. Elle le remercia (humble). Je le regardai (attentif). Il était maintenant (affreux) pâle. La rue devint (brusque) noire.
213. Traduisez en français (ïåðåâåäèòå íà ôðàíöóçñêèé ÿçûê).
Ðåáåíîê ñïîêîéíî ñïèò. Äîêòîð ïðèñòàëüíî ñìîòðèò íà áîëüíîãî. Îíà íåáðåæíî ïðîòÿíóëà ìíå ðóêó. Ñòóäåíòû ñòðåìèòåëüíî âûõîäèëè èç àóäè– òîðèè. Òîëïà ìåäëåííî è òîðæåñòâåííî äâèãàëàñü ïî óëèöå. Òóðèñòû âåñå– ëî çàíèìàëè ìåñòà â àâòîáóñå. Âñå âíèìàòåëüíî ñëóøàþò ëåêöèþ. Âíåçàï– íî íàñòóïèëà íî÷ü. Îí òåðïåëèâî æäàë åå ó êèíîòåàòðà.
214. Remplacez les points par «ne… que» ou par «ne… pas» (çàìåíèòå ïðîïóñêè «ne… que» èëè «ne… pas»).
Pendant toute ma vie je… ai reçu… trois lettres de Meaulnes. On… entrait là
… en se courbant. Sa mère… était… dans la cuisine. Cet homme habile… avait
reçu… une instruction sommaire. Elle… disait… quelques mots, hublement, tristement. Sur le boulevard il s’aperçut que le pistolet… avait… de chien. On… entendait… le vent qui venait de la mer. Ma famille, originaire du Havre… était
… riche. L’auto… était… encore sortie du garage.
215. Traduisez en français (ïåðåâåäèòå íà ôðàíöóçñêèé ÿçûê).
 êîìíàòå áûëî æàðêî, è ÿ ïî÷òè íå ñïàëà âñþ íî÷ü.  íàøåé áèáëèîòå– êå âûäàþò êíèãè òîëüêî íà èíîñòðàííûõ ÿçûêàõ. Ýòîò ðåáåíîê – î÷åíü ñïîêîéíûé, îí íèêîãäà íå ïëà÷åò. Ó÷åíèêè çàíèìàþòñÿ òîëüêî â ýòîì êà– áèíåòå. ß íå âñòðå÷àþ áîëüøå ñâîèõ äðóçåé è íè÷åãî î íèõ íå çíàþ. ß ñîâñåì íå ìîãó ÷èòàòü áåç î÷êîâ. Ïîåçä îòõîäèò òîëüêî â ïÿòü ÷àñîâ.
216. Remplacez les points par les adverbes «si», «tant», «tellement», «très», «beaucoup» (çàìåíèòå ïðîïóñêè íàðå÷èÿìè â çàâèñèìîñòè îò ñìûñëà âûñêàçûâàíèÿ).
Il se sentait… malheureux. Il avait l’air… pitoyable. Le grand Michu était, d’ailleurs… plus agé que nous. Jamais je ne vis… de grâce et… de gravité. L’avenir était… magnifique et… sur. Ma femme et moi, nous aimons… la musique. Il est… tôt, il fait… doux. Il pouvait à peine se voir dans sa petite glace… le jour était sombre. Tu paraissais… pressé tout à l’heure… de rues étaient vides comme à quatre heures du matin. Dans la cour d’une grande maison il y a… de monde.
Ïðàâèëüíûå îòâåòû (les réponses): tres, si, beaucoup, tant, tant, si, si, beaucoup, si, si, tant, tellement, beaucoup, beaucoup.
217. Remplacez les points par les adverbes «toujours», «bien», «jamais» (çàìåíèòå ïðîïóñêè íàðå÷èÿìè â çàâèñèìîñòè îò ñìûñëà âûñêàçûâàíèÿ).
Mademoiselle Clara se réveillait… de bonne heure. Le docteur était sombre, il fixait… son verre. On mangeait… dans la maison. Dans cet endroit perdu… des leçons ressemblaient à des histoires merveilleuses. Je perdais l’espoir de revoir… mon compagnon. Je n’oublierai… ce que vous avez fait. À midi, l’averse tombait… Meaulnes en partant pensa qu’il reviendrait dans ce domaine bientôt et pour… Il fait… chaud… beau, dit Grandet en aspirant une forte partie d’air. J’ai fort… mangé, ma fois. Écoute donc, lui dit le viellard: si… tu te mets en colère, garde la moitié de ta colère pour le lendemain. Sa voix était plus sourde, que… dans le jardin, on voyait des allées… droites. Voilà… des années que je n’ai eu le bonheur de vous rencontrer.
Ïðàâèëüíûå îòâåòû (les réponses): toujours, toujours, bien, bien, jamais,
jamais, toujours, toujours, bien, bien, bien, jamais, jamais, bien, bien.
218. Mettez les adverbes au comparatif ou au superlatif (ïîñòàâüòå íà– ðå÷èÿ â ñðàâíèòåëüíóþ èëè ïðåâîñõîäíóþ ñòåïåíü).
Notre maison se trouve (loin) du centre de la ville que la vôtre. Il neige aujourd’hui (beaucoup) qu’hier. Ils sont arrivés à cette réunion (tôt) que les autres. Je suis fatiguée, marche (vite). Parlez (lentement), je ne vous comprends pas. Il parle français (courrament) que moi. Les amis vous attendent, revenez (vite possible). Vous parlez (beaucoup) que tous les autres, parlez un peu (peu). Le rapport de l’étudiant Petrov est (bien) fait que ceux des autres étudiants. La leçon d’aujourd’hui est apprise (mal) que celle d’hier. L’Angleterre achète (peu) de fruits que la France. Il pleut (beaucoup) en automne. Parfois je vais aux champs, mais (souvent) je me promène dans la forêt. Qu’est-ce qui vous intéresse (beaucoup) dans la littérature française? Je connais cet homme (bien) que toi. Vous êtes (peu) attentif que votre voisin. Cet élève est (peu) appliqué de tous.
219. Traduisez en français (ïåðåâåäèòå íà ôðàíöóçñêèé ÿçûê).
Ãîâîðèòå ìåäëåííåå, ÿ âàñ íå ïîíèìàþ. Âåðíèòå ýòó êíèãó â áèáëèîòå– êó êàê ìîæíî áûñòðåå, åå æäóò. Îíà ïëàâàåò òàê æå õîðîøî, êàê åå áðàò. ß ÷èòàþ ïî-ôðàíöóçñêè ëó÷øå, ÷åì ïî-àíãëèéñêè. ×àùå âñåãî ÿ âñòðå÷àþñü ñ äðóçüÿìè â âûõîäíîé äåíü. Ýòîò ñòóäåíò èíòåðåñóåòñÿ áîëüøå âñåãî ëèòåðàòóðîé.  êàáèíåòå ñâåòëåå, ÷åì â êîðèäîðå. ß ðàáîòàþ ìåíüøå, ÷åì òû. Òåïåðü ó ìåíÿ áîëüøå ñâîáîäíîãî âðåìåíè. ß íå ìîãó âûðàçèòü ñâîþ ìûñëü ÿñíåå. Ìîÿ ñåìüÿ ìåíüøå, ÷åì ñåìüÿ ìîåãî äðóãà. Ýòîò äîì áîëüøå, ÷åì ñîñåäíèé. Òåïåðü ÿ òðåíèðóþñü áîëüøå è ëó÷øå âûïîëíÿþ óïðàæíå– íèÿ. Ýòà ïåðåäà÷à ëó÷øå, ÷åì â÷åðàøíÿÿ. Îíà ïîñëóøíî ïîñëåäîâàëà çà ìàòåðüþ. Âðà÷ íàøåë åå íåðâíîé. ß óìûøëåííî âàì ñîëãàë. Îíà âåñåëî óëûáàëàñü èì. Ñâåò ðåçêî îñâåùàë ñòîë.  ïåðåäíåé ðåçêî ïðîçâîíèë çâîíîê. Îíè ïèòàëèñü èñêëþ÷èòåëüíî ìîëî÷íûìè ïðîäóêòàìè. Îíà óñåëàñü óäîáíî è ïîãðóçèëàñü â ÷òåíèå. Æàê ãîðüêî ðàññìåÿëñÿ. Îí ïîñïåøíî âåð– íóëñÿ â ñòîëèöó.
220. Remplacez les mots en italique par les adverbes de manière (çàìåíè– òå âûäåëåííûå ñëîâà íàðå÷èÿìè îáðàçà äåéñòâèÿ).
Elle sourit avec tendresse. Elle repliait avec soin la lettre. Il s’approcha du jeune homme et le saisit d’une façon amicale par la nuque. Il riait en silence, la bouche close. Il rompit d’une façon brutale le silence. Il cligna avec malice les yeux vers la porte ouverte. Daniel s’arrêta; son regard, une seconde, se fixa devant lui; il sourit d’une façon bizarre. On se demandait avec anxiété quelle serait leur réponse. Des nouvelles graves, alarmantes, communiquees d’une façon confidentielle par un ami, l’avaient décidé à rentrer en Suisse. Je n’ai pas assez de monnaie…, fit-il d’un air piteux. Il explqua d’une manière succincte l’affaire. Jacques, surpris, l’examina avec affection. Les tables étaient d’une façon discrète isolées les unes des autres par des jardinières de fleurs. Simon allait avec assiduité à l’école. Philippe, l’œil allume, forgeait avec passion, debout dans les étincelles. Avec complaisance, il expliqua ce qu’il voulait dire. Elle se laissait examiner avec impudeur. Le vieillard secouait avec obstination sa petite tête.
112. Précisez dans les propositions la nature de «si» (óòî÷íèòå ñìûñë «si»).
N’avez-vous pas faim? – Si. Si ta pauvre mère avait vecu, ça la tuerait. Je n’ai jamais rien vu de si beau. Il n’est pas si spirituel. S’il ne dit rien, c’est qu’il est timide. Il dit cela si tristement que les larmes m’en vinrent aux yeux. Il ne sait si son espoir se réalisera. J’étais si fatigué que je ne pouvais plus courir. Si vous passez par là, vous le rencontrerez probablement. C’est si bon de retrouver des camarades au collège! Je ne sais si je pourrai venir te voir ce soir. Elle est si bonne! On peut facilement l’apercevoir, il n’est pas si loin. Vous dites que non, moi, je dis que si. Je ne sais si j’ai bien fait en agissant de la sorte. Il n’est pas si méchant qu’on le dit. Etes-vous donc si pressé? Reviens voir si tout est prêt.
113. Remplacez les points par «plus tôt» ou «plutôt» (çàìåíèòå ïðîïóñêè íà «plus tôt» èëè «plutôt» â çàâèñèìîñòè îò ñìûñëà âûñêàçûâàíèÿ).
Si tu étais sorti un peu …, tu n’aurais pas manqué le train. J’aime … la fraise que la cerise… que de perdre du temps, étudiez! Je suis venu… que vous. Il faut venir… si vous voulez le voir. Prenez… ce chemin. Il est venu… qu’on ne l’attendait. Je préfère aller avec vous… que d’attendre. Je lui ai donne notre rendez-vous pour le cas où nous n’aurions pas pu nous rencontrer… Il fallait le faire… Aucune angoisse cette fois, elle se sentait… intriguée, amusée.
114. Précisez la nature de «avant», «après», «derrière», «devant» (óòî÷– íèòå ñìûñë íàðå÷èé).
Les deux amis se séparent avant d’arriver au pont de Charenton. Vous vous mettez d’accord, tous les quatre, pour vous retrouver aussitôt après votre arrivée à Paris. Moi, je vous quitterai un peu avant. Où est Armand? Il est parti devant et je n’ai pas pu le rattraper. Partez, je vous rejoindrai après. Pierrette entendit
la porte s’ouvrir derrière elle. Ils se mirent à courir, elle devant. Il courut après eux.
115. Traduisez en français (ïåðåâåäèòå íà ôðàíöóçñêèé ÿçûê).
 ýòîì ãîäó îíà ðàáîòàåò ëó÷øå, ÷åì â ïðîøëîì. Ñåãîäíÿ áîëüíîé ÷óâñòâóåò ñåáÿ õóæå, ÷åì â÷åðà. Ó âàñ î÷åíü óòîìëåííûé âèä, íàâåðíîå, âû ñïèòå ìåíüøå, ÷åì íóæíî. Îí ÷èòàåò ïî-ôðàíöóçñêè áîëåå áåãëî, ÷åì òû, íî Àíäðåé ÷èòàåò ëó÷øå âñåõ. Èäåì áûñòðåå, èíà÷å ìû ïðèäåì ïîçäíåå äðóãèõ. Êòî ðàáîòàåò áîëüøå âñåõ? Òâîÿ ðó÷êà ïèøåò ëó÷øå ìîåé. Ñ òåõ ïîð êàê îí ïåðååõàë, ìû âèäèìñÿ ÷àùå. Îíà ÷èòàåò áîëüøå äðóãèõ.
 ýòî óòðî îíà âñòàëà ðàíüøå, ÷åì îáû÷íî.  ýòîì ãîäó îí çàðàáàòûâàåò áîëüøå, ÷åì â ïðîøëîì. Ó ìåíÿ íåò ñòîëüêî òåðïåíèÿ, ñêîëüêî ó òåáÿ. Îíà òàê ëþáèò ñâîþ ðàáîòó! Îíà ñòîëü æå òåðïåëèâà, êàê è äîáðà. Îíà òàê ïî– õîæà íà ñâîþ ìàòü. Ó ìåíÿ ñòîëüêî êíèã, ÷òî ìíå ïðèäåòñÿ êóïèòü åùå îäèí øêàô. Îí ïîäîøåë ê íåé òàê ñòðåìèòåëüíî, ÷òî îíà îòñòóïèëà. Îí ñîâñåì îá ýòîì íå äóìàåò. ß íèêîãäà ñ íèì íå ãîâîðèëà. Îí òàê áåæàë, ÷òî íå ìîæåò îòäûøàòüñÿ.
LA PRÉPOSITION ÏÐÅÄËÎÃ
Òàáëèöà 156
L’EMPLOI DES PRÉPOSITIONS
ÓÏÎÒÐÅÁËÅÍÈÅ ÏÐÅÄËÎÃÎÂ
Òàáëèöà 157

LES PRÉPOSITIONS GERÉE DES NOMS
ÍÅÊÎÒÎÐÛÅ ÏÐÅÄËÎÃÈ, ÓÏÐÀÂËßÞÙÈÅ ÑÓÙÅÑÒÂÈÒÅËÜÍÛÌÈ
Òàáëèöà 158
LES EXERCICES DE RETENIR DE LA MATIÈRE ÉTUDIÉE
ÓÏÐÀÆÍÅÍÈß ÄËß ÇÀÊÐÅÏËÅÍÈß ÈÇÓ×ÅÍÍÎÃÎ ÌÀÒÅÐÈÀËÀ
116. Remplacez les points par les prépositions convenables (çàìåíèòå ïðî– ïóñêè ñîîòâåòñòâóþùèìè ïðåäëîãàìè).
Je suis assis… une chaise. Le professeur est ….. la table. Nous sommes ….. la salle.
Vous êtes… la rue. Cette fenêtre donne… la cour. Ouvrez les livres … la page 8. Les livres …ces etudiants sont … la table. Nous sommes quatre…… le groupe. Le journal est… la chaise. Il va… la fenêtre. La porte… la chambre est ouvetre. On lavait les vitres des magasins. Le dimanche, on prenait le café…salon. Charles
attacha son cheval… un arbre. Nous allons… parc. Paul est encore… lit. Je me
mets… lit. Mettez-vous… table.
Nous descendons… la rue. Je suis… vous… dix minutes. Nous partons… trois jours. Elle va… la fenêtre. Allez… tableau. Cette usine n’est pas loin… notre maison. Notre maison est située… bord… une petite rivière.
Ïðàâèëüíûå îòâåòû (les réponses): sur, devant, dans, dans, sur, à, de, sur; dans,
sur, vers, de, des, au, à, au, au, au, devant, dans, de, en; pour, vers, au, de, au, d’.
117. Traduisez à l’aide de «à», «de», «en», «dans» (ïåðåâåäèòå ïðè ïîìîùè óêàçàííûõ ïðåäëîãîâ).
Êòî çàéìåòñÿ ýòèì äåëîì? Îí ðîäèëñÿ â Ìîñêâå. Îòëîæèì ýòî íà âå÷åð. Ìû ïðîâåäåì íàø îòïóñê íà Êàâêàçå. Îí áûë îêðóæåí äðóçüÿìè. Îíè ÷àñòî èãðàþò â òåííèñ. Ìû îïîçäàëè íà ïÿòü ìèíóò. Îí ïîäîøåë ê íàøåìó ñòîëè– êó. Íàøà äà÷à ðàñïîëîæåíà â äâóõ êèëîìåòðàõ îò ñòàíöèè.  êîòîðîì ÷àñó âû óåçæàåòå? Ýòà êíèãà ïåðåâåäåíà ñ àíãëèéñêîãî. ß êóïèëà êðàñèâóþ âàçó äëÿ öâåòîâ.  ýòîò äåíü îí ðàíî âûøåë èç äîìà. ß èäó îò ìîåãî òîâàðèùà. Îí õîðîøî èãðàåò íà ðîÿëå. Ê ìîåìó íåñ÷àñòüþ, ÿ îïîçäàë. ß ýòî ñäåëàþ çà ïÿòü äíåé. ×åðåç òðè äíÿ îí óåçæàåò. Îñåíüþ îíà çàáîëåëà. Ïîêàæèòå åìó ýòó öâåòíóþ ôîòîãðàôèþ. Îí ìíîãî ëåò æèë âî Ôðàíöèè. Íàøè äðóçüÿ æäóò íàñ â ãîñòèíèöå. Îí, äîëæíî áûòü â ñâîåé êîìíàòå. Ìû äîãîâîðèëèñü âñòðå– òèòüñÿ â áèáëèîòåêå. Äèðåêòîð íàñ æäàë â ñâîåì êàáèíåòå. Íà ñëåäóùåå óòðî ÿ åãî æäàë â óêàçàííîì ìåñòå. Ïî äîðîãå ÿ çàøåë â áóëî÷íóþ.
118. Remplacez les points par les prépositions «après», «avant», «prêt de», «sans», «sous», «vers», «entre», «parmi», «contre», «pour» (çàìåíè– òå ïðîïóñêè ñîîòâåòñòâóþùèìè ïðåäëîãàìè).
Il était nuit noire quand nous arrivâmes… une maison noire. Il était au Monaco depuis… un an. Ils arrivèrent… une maison isollée. Les balles couraient… lui, il était plus leste qu’elles. Chaque jour… le déjeuner nous sortions ensemble. On le connaît dans le pays… le nom de José Navarro. Le voyage se fit… incident. Sermet se pencha… son fils. Des feuilles rouges craquaient… les pas… une heure du matin la tempête commença. Simon marcha… bruit… des motocyclettes. J’étais seul… amis. Elle cacha ses mains… la table… la classe et la cuisine il y a encore une petite pièce. La Seine apparaissait… les boîtes des bouquinistes, bleue, verte… les lettres se trouvaient parfois de charmantes ou bizarres idées. Je ne bois pas… les repas… les deux camions, les soldats se rassemblaient. Tout à coup un bruit se fit
… le mur. Le bateau se plaçait… le quai. Dans l’obscurité, il se heurta… elle. Les deux femmes se louaient… les travaux des champs. Il prit le train… Paris. J’avais… compagnon un jeune homme de vingt ans. Puis il prit… la première fois la décision immédiate.
Ïðàâèëüíûå îòâåòû (les réponses): près de, près de, près de, après, avant sous, sans, vers, sous, vers, sans, vers, sans, sous, entre, parmi, parmi, entre, entre, contre, contre, contre, pour, pour, pour, pour.
119. Traduisez en français à l’aide de «sur», «pour», «vers», «entre», «parmi» (ïåðåâåäèòå íà ôðàíöóçñêèé ÿçûê ïðè ïîìîùè óêàçàííûõ ïðåäëîãîâ).
Ïîëîæè ýòó êíèãó íà ìåñòî. ß ïðèíÿë åãî çà âàøåãî áðàòà. Íà åãî ïèñü– ìåííîì ñòîëå âñåãäà áûëî ìíîãî êíèã è áóìàã. Îí ìíå íàçíà÷èë ñâèäàíèå íà çàâòðà, ó ñòàíöèè ìåòðî. Îí ïîâåðíóëñÿ êî ìíå, óëûáàÿñü. ×òî ìû äîëæ– íû ïðèãîòîâèòü íà çàâòðà? Åãî êâàðòèðà íà ñåäüìîì ýòàæå. Îí íàñ æäåò ó âõîäà â ìóçåé. Êàæäûé äåíü ÿ óçíàâàë ÷òî-íèáóäü íîâîå î åãî ïóòå– øåñòâèè. Îí îòñòóïèë íà äâà øàãà. Ýòîò ïîåçä íà Ìîñêâó. Ïàññàæèðû íà– ïðàâëÿþòñÿ ê âûõîäó. Ìîè ÷àñû îòñòàþò íà 10 ìèíóò. Âñå äîëæíî áûòü ãîòîâî ê 9 ÷àñàì âå÷åðà. Åãî ãëàçà ñâåòÿòñÿ ðàäîñòüþ. Äåâî÷êà áûëà íàêà– çàíà çà òî, ÷òî íå ïîñëóøàëàñü. ß ðàäà çà âàñ. Îí ëåæèò íà òðàâå â òåíè äåðåâà è ÷èòàåò. ß ïðîøó èçâèíåíèÿ çà ñâîå îïîçäàíèå. Îêíà ìîåé êîìíà– òû âûõîäÿò â ñàä. Îíà äàëà ìíå íåîáõîäèìûå ñâåäåíèÿ î ìîåé íîâîé ðàáî– òå. Ñðåäè âñåõ âîçìîæíûõ ðåøåíèé ÿ âûáðàë íàèáîëåå ïðîñòîå. Ýòîò æåñò âûçâàë óäèâëåíèå ó òåõ, êòî åãî íå çíàë. Ñÿäü ìåæäó íàìè.
120. Traduisez en français à l’aide de «entre», «parmi», «avant», «devant» (ïåðåâåäèòå íà ôðàíöóçñêèé ÿçûê ïðè ïîìîùè óêàçàííûõ ïðåäëîãîâ).
Ïîçâîíè ìíå ìåæäó äâåíàäöàòüþ è äâóìÿ. Ñðåäè äðóçåé îí ïîëüçóåòñÿ óâàæåíèåì. Ñðåäè òåõ, êòî âîøåë â çàë, ÿ íå óâèäåë Âèêòîðà. Îíà çàìåòèëà èçäàëè ñðåäè öâåòîâ ñêàìåéêó è íàïðàâèëàñü ê íåé. ×òî ïðîèçîøëî ìåæäó íèìè? Åå äåòñòâî ïðîøëî ìåæäó ýòèõ äâóõ ñòàðèêîâ, êîòîðûå î÷åíü ëþáè– ëè è áàëîâàëè åå. Îíè âûïîëíèëè ýòó ðàáîòó çà ìåñÿö äî ñðîêà. Ñòàðèê äðåìàë â êðåñëå ïåðåä êàìèíîì. Ñðåäè îòúåçæàþùèõ áûëî ìíîãî äåòåé. Ìåíÿ ïîñàäèëè ìåæäó äâóìÿ äåâóøêàìè. Ïåðåä áóëî÷íîé òîëïèëñÿ íàðîä. ß íå âèäåëà èõ ïåðåä îòúåçäîì. Ðàçäåëèòå ýòè êîíôåòû ìåæäó âñåìè äåòü– ìè. Êîãäà ÿ âîøåë â êîìíàòó, Æàí ñòîÿë, çàäóìàâøèñü, ïåðåä îêíîì. Îíà âñòàëà äî ðàññâåòà. Îí ñåáÿ ÷óâñòâîâàë õîðîøî ñðåäè ýòèõ ïðîñòûõ ëþäåé. Îí îñòàâèë ìàøèíó ïåðåä äîìîì íîìåð ïÿòü. Âûáåðè ñðåäè ýòèõ êíèã òå, êîòîðûå ìîãóò òåáå ïðèãîäèòüñÿ. Ìåæäó íàìè íå áûëî íèêàêèõ íåäîðàçó– ìåíèé. Îí ïðèäåò ïîðàíüøå è ïîäîæäåò åå ïåðåä âõîäîì â òåàòð.
121. Employez les prépositions convenables avec les noms propres (óïîòðåáèòå ñîîòâåòñòâóþùèé ïðåäëîã ñ èìåíàìè ñîáñòâåííûìè).
Habiter:… Paris… Italie… Moscou… France… Saratov… Espagne… Asie… Russie… Canada… Etats-Unis.
Ïðàâèëüíûå îòâåòû (les réponses): a, en, a, en, a, en, en, en, au, aux
122. Traduisez en français (ïåðåâåäèòå íà ôðàíöóçñêèé ÿçûê).
Ýòè øêîëüíèêè ïðèåõàëè èç Ìîñêâû. Ìîé äðóã – ñòóäåíò âòîðîãî êóðñà. ß âîçâðàùàþñü èç óíèâåðñèòåòà ïîçäíî. Êàæäîå óòðî ÿ ïüþ ÷àøêó ÷åðíîãî êîôå. Ïàðèæ – ñòîëèöà Ôðàíöèè. Ìîè ðîäèòåëè åäóò â äåðåâíþ âåñíîé. Ïî– âåñüòå êàðòèíó íà ñòåíó. Ïðåïîäàâàòåëü âîçâðàùàåò òåòðàäêè ñòóäåíòàì. Êàæ– äîå óòðî ÿ âñòàþ â 8 ÷àñîâ.  äåñÿòü ÷àñîâ äåòè ëîæàòñÿ ñïàòü. Ïîñðåäè ñòîëà ÿ âèæó ïðåêðàñíûé áóêåò ðîç. Ýòîò ìàëåíüêèé äîì ñòîèò íà êðàþ äîðîãè. Ìîñêîâñêèé âîêçàë ðàñïîëîæåí â öåíòðå ãîðîäà. Êàæäûé äåíü äîêòîð ïðèíè– ìàåò ñ äâóõ äî øåñòè.  ýòîì îçåðå ìíîãî ðûáû. ×åðåç îòêðûòîå îêíî ñëûøíà ìóçûêà.  ýòîì êíèæíîì ìàãàçèíå âñåãäà ìíîãî ïîêóïàòåëåé. Îêîëî ìîåãî äîìà íàõîäèòñÿ ïî÷òà. Ïóòåøåñòâèå ïî íàøåé ñòðàíå òóðèñòû âñåãäà íà÷èíà– þò ñ Ìîñêâû. Êîãäà ÿ ïðèåçæàþ â Ìîñêâó, ÿ îñòàíàâëèâàþñü ó ñâîèõ ðîä– ñòâåííèêîâ. Êîãäà ó÷èòåëü âîøåë â êëàññ, âñå ó÷åíèêè ïîâåðíóëèñü ê íåìó.
123. Remplacez les points par les prépositions «dès» ou «depuis» (çàìå– íèòå ïðîïóñêè óêàçàííûìè ïðäëîãàìè).
… la mort de Jérôme, elle a dû classer tous ses papiers… le lendemain, il se traîna en boitant au Café de Paris. Elle n’avait pas revu Antoine… plus d’un an… plusieurs années, ils abritaient leur vieillesse dans une petite ferme… le petit jour, des éclats de voix ébranlèrent le moulin. Son estomac, en vacance
… la veille, lui cauisait des tirailements. Son visage était maigre. À vingt ans, on lui en donnait quarante… la cinquantaine, elle ne marqua plus aucun âge. Je ne vous ai pas rencontré… votre deuil, lui dit-elle. Je suis venu le voir… mon retour… cet accident, il reste infirme… sa vingt-cinquième anneé, ma tante était la directrice d’une école supérieure… mon retour à Paris, je me précipitait chez Onésime… le matin tu ne m’as encore rien dit, lui dit-elle… la tombée du jour, la moindre lampe de pêche provoquait des sommations et était prise en chasse. Il faut tenir compte que… quelque temps, j’oublie le nom des gens, et les dates, dit-il.
124. Traduisez en français à l’aide de «dès» ou «depuis» (ïåðåâåäèòå íà ôðàíöóçñêèé ÿçûê ïðè ïîìîùè óêàçàííûõ ïðåäëîãîâ).
ß æäó åãî ñ äâåíàäöàòè ÷àñîâ. Îí óøåë â âîñåìü ÷àñîâ è ñ òåõ ïîð íå âîçâðàùàëñÿ. Ñ äåòñòâà îí ïðîÿâëÿë áîüøèå ñïîñîáíîñòè. Ñ êàêèõ ïîð îí íå áûë ó âàñ? Äîæäü èäåò óæå öåëóþ íåäåëþ. Ñ óòðà äóë õîëîäíûé âåòåð. Îíè áûëè äðóçüÿìè ñ äåòñêèõ ëåò. Îí óåõàë â ìàðòå, ñ òåõ ïîð ÿ íè÷åãî î íåì íå çíàþ. Åãî ìàòü áîëüíà ñ îêòÿáðÿ ìåñÿöà. Îíè æèëè â ýòîì äîìå óæå äâàä– öàòü ëåò. Ñ òåõ ïîð êàê îíè ðàññòàëèñü, îíè íè÷åãî íå çíàëè äðóã î äðóãå.
125. Remplacez les points par les prépositions «à», «depuis», «dès», «en», «dans», «jusqu’à», «pendant» (çàìåíèòå ïðîïóñêè óêàçàííûìè ïðåäëîãàìè).
… dix-huit mois, Albert et Françoise se privaient de tout pour pouvoir faire ce voyage… les premières notes, Violette subit le charme de cette mélodie… le soir, les clients se succédèrent… de nombreux jours nous ne le vîmes pas… ces mots l’inconnue fit un mouvement involontaire. Le chat eut lapé son lait… un moment… le temps de son premier mariage, Jacqueline avait toujours occupé cette chambre… le repas, elle parne parla que de ses succès. J’aurai terminé… un instant… ces mots il regarda Vautrin d’un air intelligent. Vous recevrez
la réponse… quelques jours… un instant, Mme Marty retournait son sac sur ses genoux. Il couvrit cette distence… deux heures. Charles resta…le soir perdu dans une rêverie douloureuse… ce moment la fabrique ne battit plus que d’une aile. Il nous annonça qu’il partait… quelques jours Je lui ai donné des leçons… un mois, dit-il. Nous étions… dix ans dans ce pays lorsque Meaulnes arriva… le petit jour, il se reprit à marcher. Nous l’avons trouvée dans le square où elle nous attendais… une heure.
126. Traduisez en russe (ïåðåâåäèòå íà ðóññêèé ÿçûê).
Deux personnes sur dix sont absentes. Laissez la clef sur la porte. Fermez la porte sur lui. Il a été affecté au groupe sur l’ordre du capitaine. Il marchait sur leurs talons. Donnez un exemple sur cette règle. Il écrit sur l’art. Ne lui croyait pas sur paroles. Ils sont venus avec le train de 11 heures. Je vous remercie en leur nom. Vous parlez en l’air: il ne suivra pas vos conseils. Partagez le en deux parties. Elle le fera en une heure. Ça sera prêt dans trois jours. Je bois dans une tasse. Nous travaillons à cinq. Ne boie pas au goulot. Il tirait bien du pistolet. Il crie toujours après quelqu’un. Tu soupires après tes journaux. Le père Milon voulait venger son père et son fils et il a réussi à se venger de ses ennemis. Il aime faire des dessins d’après nature. Faute de temps, je ne pourrai rester. Le départ est fixé pour demain. Je l’aime pour sa franchise. Elle a embrassé la fille sur les deux joues. Nous sommes venus par curiosité. Il écrit bien et ne copie jamais sur ses voisins. Il défendait son petit frère contre tous. Ils se réunissaient par groupes. Dans l’obscurité elle s’est heurtée contre un banc.
127. Remplacez les points par les prépositions «sur», «par», «pour», «avec», «contre» (çàìåíèòå ïðîïóñêè óêàçàííûìè ïðåäëîãàìè).
Il colle son oreille … la porte. J’étais curieux d’apprendre tout … la vie des abeilles. Le fils était un grand garçon sec qui passait… une féroce destructeur de gibier. Il les entendait crier l’un… l’autre Hier… le coup de midi, je revenais du village. Il fut connu… un des soldats les plus braves de l’armée. Elle l’assommait
… ses paradoxes. Il ne l’a pas fait… paresse. Il revint… ses pas et alla à la maison du papetier. Nous sommes venus…son invitation. Dans le pays, on pensait que le vieux meunier, en renvoyant Vivette, avait agi… avarice… toutes ses prétentions, il n’est qu’un ignorant. Il fuyait les honneurs officiels, mais c’était
… orgueil, plutôt que… humilité… ce goût du travail, il doit réussir. La porte, violemment poussé du dehors, le rejette… le mur. Il l’aime, cette campagne… le silence qui règne sur les près et les champs. Je tenait la main de Bessie et j’essuyais de la proteger… la pluie. Une espèce de haine les soulevait l’une… l’autre.
207. Traduisez en français (ïåðåâåäèòå íà ôðàíöóçñêèé ÿçûê).
Íå ìåøàé åìó ðàáîòàòü. Îí íå ìîæåò îòîðâàòüñÿ îò êíèãè. Îíà îñîáåí– íî èíòåðåñóåòñÿ ïîýçèåé. ß ñàìà çàéìóñü ýòèì äåëîì. Ïîäïèñàëñÿ ëè òû íà ýòó ãàçåòó? Âñå ñîæàëåëè î åãî îòúåçäå. Îí íå õîòåë æàëîâàòüñÿ íà íåå îòöó. ß ó÷ó åãî ñ÷èòàòü. Ïîñìîòðèòå âíèìàòåëüíî íà ýòó êàðòèíó. Ïîäîé– äèòå êî ìíå. ß ñîãëàñèëñÿ íà åãî ïðåäëîæåíèå. Âñþ ñâîþ æèçíü îí ñòðå– ìèëñÿ ê ýòîìó. ß âîñõèùàþñü åå òåðïåíèåì. Ýòî áûëî ñäåëàíî ïî åãî ïðè– êàçó. Ìû ñîâåðøàåì äëèòåëüíûå ïðîãóëêè íà âåëîñèïåäàõ. Êîíöåðò íàçíà÷åí íà âòîðíèê. Îí ïðåâîñõîäíî èãðàåò â øàøêè. Ìû åãî ïîçäðàâèëè ñ óñïåõàìè. Îí âñåãäà ïüåò èç ñòàêàíà. Îíà õî÷åò, ÷òîáû åå ó÷èëè èãðàòü íà ñêðèïêå. Îíè äîëæíû ïðèåõàòü ñ øåñòè÷àñîâûì ïîåçäîì. Èç äâàäöàòè ÷å– ëîâåê îòñóòñòâîâàëè òðîå. ß ñäåëàþ ýòó ðàáîòó çà òðè äíÿ. Èçâèíèëèñü ëè âû ïåðåä íèì? Çà íåèìåíèåì àäðåñà, ÿ íå ìîã âàñ ïðåäóïðåäèòü. Ïåðåäàéòå åìó ïîêëîí îò ìåíÿ. ×åðåç òðè äíÿ ÿ âåðíóñü. Îí ïèøåò î ìóçûêå. Îíà ÷àñòî íà íåãî ñåðäèòñÿ. ×òî âû äóìàåòå îá ýòîé êàðòèíå?  òåìíîòå îí íàòîëêíóëñÿ íà ñêàìüþ. Áîëüíàÿ íå ñïàëà âñþ íî÷ü. Îí ïðèøåë ñþäà èç ëþáîïûòñòâà. Äîëãî îí íàì ðàññêàçûâàë î ñâîåì ïóòåøåñòâèè. Îí ñäåðæàë ñëîâî: ñ ýòîãî äíÿ âñå ïåðåìåíèëîñü. Îí ãîâîðèë êîðîòêèìè ôðàçàìè. Âìåñòî îòâåòà îíà çàðûäàëà. Íå çàáóäü ñïðîñèòü åãî, êîãäà íàçíà÷åí îòúåçä. Áàáóøêà çàêðûëà çà íèì äâåðü. Åãî æåíà áûëà îäíîé èç ñàìûõ óìíûõ æåí– ùèí ãîðîäà. Ýòîò ìàëü÷èê ïèøåò ïëîõî, íî íèêîãäà íå ñïèñûâàåò ó äðóãèõ. Ïÿòü ñòóäåíòîâ èç òðèäöàòè îòñóòñòâîâàëè ñåãîäíÿ íà ïåðâîé ëåêöèè.
Ïî ñîâåòó âðà÷à îíà ìíîãî ãóëÿëà. Îêîëî âîñüìè ÷àñîâ Æàííà âåðíóëàñü. Îíà ìåíÿ ðàñöåëîâàëà â îáå ùåêè.
CONJONCTION ÑÎÞÇ
Òàáëèöà 160
L’EMPLOI
ÓÏÎÒÐÅÁËÅÍÈÅ
Òàáëèöà 161
LES EXERCICES DE RETENIR DE LA MATIÈRE ÉTUDIÉE
ÓÏÐÀÆÍÅÍÈß ÄËß ÇÀÊÐÅÏËÅÍÈß ÈÇÓ×ÅÍÍÎÃÎ ÌÀÒÅÐÈÀËÀ
208. Remplacez les points par les conjonctions de coordination (çàìåíèòå ïðîïóñêè ñî÷èíèòåëüíûìè ñîþçàìè).
Je reviens à la maison… je mange. Nous voulons partir demain … nous ne sommes pas sûrs. Vous allez au village pas souvent… quand vous pouvez. Je suis malade… je ne suis pas à l’école. Elle n’est pas au concert … elle n’a pas
le temps. J’ai le choix lire le livre … voir un nouveau film.
Ïðàâèëüíûå îòâåòû (les réponses): et, mais, c’est-à-dire, c’est pourquoi, car, ou.
209. Remplacez les points par les conjonctions de subordination (çàìåíè– òå ïðîïóñêè ïîä÷èíèòåëüíûìè ñîþçàìè).
Je sais … vous êtes malade. Nous ne pouvons pas aller avec vous … nous avons beaucoup de travails. Voilà le livre … vous m’avez demandé. C’est mon ami … lequel j’étais en France… il fait beau, nous allons nous baigner dans la mer… vous avez le temps, vous irez avec nous.
Ïðàâèëüíûå îòâåòû (les réponses): que, parce que, dont, avec, comme, si.
210. Traduisez en français (ïåðåâåäèòå íà ôðàíöóçñêèé ÿçûê).
Åñëè îíà õî÷åò ìåíÿ âèäåòü, ïóñòü ïðèäåò êî ìíå çàâòðà. Ëèøü áû îíè çàõîòåëè ýòî ñäåëàòü! Ïóñòü îíà âûáåðåò õîðîøåå ìåñòî! Ïóñòü îíà áóäåò ñ÷àñòëèâà! ×òîáû ýòî áîëüøå íèêîãäà íå ïîâòîðÿëîñü! Ëèøü áû ìîè äðóçüÿ áûëè âñåãäà ñî ìíîé! ß íå äóìàþ, ÷òî âû ïðàâû. Íóæíî, ÷òîáû òû âñå çíàë è ðàññêàçàë åìó ýòî. Íàïèøèòå åìó, ÷òîáû îí îòâåòèë íàì íåìåäëåííî. ß äóìàþ, ÷òî îí ñåé÷àñ ïðèäåò. Ìû õîòèì, ÷òîáû âû âñåãäà áûëè çäîðîâû è ÷óâñòâîâàëè ñåáÿ õîðîøî. Ïðàâäà ëè, ÷òî òû óåçæàåøü íàâñåãäà? Âñå áîÿò– ñÿ, ÷òî ìû çàáîëååì.
INTERJECTION ÌÅÆÄÎÌÅÒÈÅ
Òàáëèöà 159
LES EXERCICES DE RETENIR DE LA MATIÈRE ÉTUDIÉE
ÓÏÐÀÆÍÅÍÈß ÄËß ÇÀÊÐÅÏËÅÍÈß ÈÇÓ×ÅÍÍÎÃÎ ÌÀÒÅÐÈÀËÀ
211. Remplacez les points par les interjections convenables (çàìåíèòå ïðî– ïóñêè ñîîòâåòñòâóþùèìè ìåæäîìåòèÿìè).
A)… Il est déjà parti; b)… Le train part; c)… C’est magnifique! d) Les enfants!.. e) Les soldats!.. f)… Madame! g)… La belle! h)… J’ai quelques égratignures.
Ïðàâèëüíûå îòâåòû (les réponses): hélas, attention, bravo, silence, pardon, ah, aïe.
LE SYNTAXE ÑÈÍÒÀÊÑÈÑ
Òàáëèöà 162
LE GROUPE DES MOTS
ÑËÎÂÎÑÎ×ÅÒÀÍÈÅ
Òàáëèöà 163
LA PROPOSITION
ÏÐÅÄËÎÆÅÍÈÅ
LA PROPOSITION SIMPLE
ÏÐÎÑÒÎÅ ÏÐÅÄËÎÆÅÍÈÅ
Òàáëèöà 164
LA CARATHÉRISTIQUE DES ARTICLES DE LA PROPOSITION
ÕÀÐÀÊÒÅÐÈÑÒÈÊÀ ×ËÅÍΠÏÐÅÄËÎÆÅÍÈß
Òàáëèöà 165

COORDINATION DU PRÉDICAT AVEC LE SUJET
ÑÎÃËÀÑÎÂÀÍÈÅ ÑÊÀÇÓÅÌÎÃÎ Ñ ÏÎÄËÅÆÀÙÈÌ
Òàáëèöà 166

LA CLASSIFICATION DES PROPOSITIONS SIMPLES
ÊËÀÑÑÈÔÈÊÀÖÈß ÏÐÎÑÒÛÕ ÏÐÅÄËÎÆÅÍÈÉ
Òàáëèöà 167
LA PROPOSITION INTERROGATIVE
ÂÎÏÐÎÑÈÒÅËÜÍÎÅ ÏÐÅÄËÎÆÅÍÈÅ
Òàáëèöà 168
LA PROPOSITION EXCLAMATIVE
ÂÎÑÊËÈÖÀÒÅËÜÍÎÅ ÏÐÅÄËÎÆÅÍÈÅ
Òàáëèöà 169
LA PROPOSITION NEGATIVE
ÎÒÐÈÖÀÒÅËÜÍÎÅ ÏÐÅÄËÎÆÅÍÈÅ
Òàáëèöà 170
L’ORDRE DES MOTS DANS LA PROPOSITION
ÏÎÐßÄÎÊ ÑËΠ ÏÐÅÄËÎÆÅÍÈÈ
Òàáëèöà 171

L’EMPLOI DE L’INVERSION
ÓÏÎÒÐÅÁËÅÍÈÅ ÈÍÂÅÐÑÈÈ
Òàáëèöà 172
MISE EN RELIEF
ÂÛÄÅËÅÍÈÅ ÍÅÊÎÒÎÐÛÕ ×ËÅÍΠÏÐÅÄËÎÆÅÍÈß (ÑÊÀÇÓÅÌÎÅ ÂÛÄÅËÅÍÈÞ ÍÅ ÏÎÄËÅÆÈÒ)
Òàáëèöà 173

LA PHRASE COMPLEXE
ÑËÎÆÍÎÅ ÏÐÅÄËÎÆÅÍÈÅ
LA PHRASE COORDONNÉE
ÑËÎÆÍÎÑÎ×ÈÍÅÍÍÎÅ ÏÐÅÄËÎÆÅÍÈÅ
Òàáëèöà 174
LA PHRASE SUBORDONNÉE
ÑËÎÆÍÎÏÎÄ×ÈÍÅÍÍÎÅ ÏÐÅÄËÎÆÅÍÈÅ
Òàáëèöà 175
LA CLASSIFICATION DE LA PHRASE SUBORDONNÉE
ÊËÀÑÑÈÔÈÊÀÖÈß ÑËÎÆÍÎÏÎÄ×ÈÍÅÍÍÛÕ ÏÐÅÄËÎÆÅÍÈÉ
Òàáëèöà 176
LE SUJET SUBORDONNÉ
ÏÐÈÄÀÒÎ×ÍÎÅ-ÏÎÄËÅÆÀÙÅÅ
Òàáëèöà 177
COMPLÉMENT SUBORDONNÉ
ÏÐÈÄÀÒÎ×ÍÎÅ-ÄÎÏÎËÍÅÍÈÅ
Òàáëèöà 178
SUBORDINATION RELATIVE
ÏÐÈÄÀÒÎ×ÍÎÅ ÎÒÍÎÑÈÒÅËÜÍÎÅ
Òàáëèöà 179
SUBORDINATION CONDITIONELLE
ÏÐÈÄÀÒÎ×ÍÎÅ ÎÁÑÒÎßÒÅËÜÑÒÂÅÍÍÎÅ
Òàáëèöà 180

LE DISCOURS INDIRECT
ÊÎÑÂÅÍÍÀß ÐÅ×Ü
Òàáëèöà 181

LA QUESTION INDIRECTE
ÊÎÑÂÅÍÍÛÉ ÂÎÏÐÎÑ
Òàáëèöà 182

LA PHRASE JUXTAPPOSÉE
ÁÅÑÑÎÞÇÍÛÅ ÏÐÅÄËÎÆÅÍÈß
Òàáëèöà 183
//-- LES EXERCICES DE RETENIR DE LA MATIÈRE ÉTUDIÉE ÓÏÐÀÆÍÅÍÈß ÄËß ÇÀÊÐÅÏËÅÍÈß ÈÇÓ×ÅÍÍÎÃÎ ÌÀÒÅÐÈÀËÀ --//
212. Composez les phrases à l’aide des groupes des mots (ñîñòàâüòå ïðåä– ëîæåíèÿ èç ñëîâîñî÷åòàíèé).
Mettre sur la table (au lit, au jour, dans l’armoire, à rire), chercher qn. (à sauter, à plaire), faire un tour (du sport, la chambre, peur), avoir du succès (besoin, patience, sommeil), être en reste (en mesure, mal venu).
213. Traduisez en français (ïåðåâåäèòå íà ôðàíöóçñêèé ÿçûê).
Ïîâñåäíåâíàÿ ðàáîòà, íàó÷íûé àíàëèç, áûñòðîå ðàçâèòèå, ïðîìûøëåí– íûé ðàéîí, íàöèîíàëüíàÿ íåçàâèñèìîñòü, ñòóäåí÷åñêèé ãîðoäîê, îáùåñòâåííàÿ ðàáîòà, ãëàâíàÿ çàäà÷à, ïðîôåññèîíàëüíàÿ ïîäãîòîâêà, ñïîðòèâíûé öåíòð, òðàäèöèîííîå èñêóññòâî, íåïðåäóñìîòðåííàÿ âñòðå÷à, ðàçâèòûå ñòðà– íû, îáøèðíàÿ ïðîãðàììà, ïðåêðàñíûé ñëó÷àé, ñåðüåçíûå ðàáîòû, çíà÷è– òåëüíûå íåóäîáñòâà, áîëüøîé è ïðåêðàñíûé ãîðîä, íåêîòîðûå âûâîäû, ñàìûå çíà÷èòåëüíûå ïðîèçâåäåíèÿ, ñàìûå ðåøèòåëüíûå ìåðû, äëèòåëüíàÿ è íàïðÿæåííàÿ ðàáîòà, öåííåéøèå äîêóìåíòû, íàèáîëåå ñåðüåçíûå çàìå÷àíèÿ, ïîñòîÿííûå äåëîâûå êîíòàêòû.
214. Faites des phrases avec les groupes de mots suivants en employant les proposition (ñîñòàâüòå ñëîâîñî÷åòàíèÿ ïðè ïîìîùè ïðåäëîãîâ).
Une montre… or; les toits… ardoise; une source… information; les problèmes… environnement; les mains… les poches; une robe… soie; la vaisselle… céramique; un journal… opinion; le treblement… terre; un chapeau… la tête.
215. Remplacez les points par un groupe convenable: «la mise en vente», «la mise en cause», «la prise de position», «la mise en œuvre», «la mise à la retraite», «la mise à jour» (çàìåíèòå ïðîïóñêè ñîîò– âåòñòâóþùèì ñëîâîñî÷åòàíèåì).
Pour un dictionnaire, … demande plusieurs années. Ce fonctionnaire a demandé … Son discours à la réunion des électeurs était une … définitive… de la maison eut lieu deux ans après la mort du propriétaire. Quant à… des structures, elle concerne tous les grands organismes de recherches.
216. Traduisez les groupes de mots. Remplacez les points par ces groupes de mots (ïåðåâåäèòå ñëîâîñî÷åòàíèÿ. Çàìåíèòå ïðîïóñêè äàííûìè ñëîâîñî÷åòàíèÿìè).
La main dans la main……………………………………………….pied à pied.
Goutte à goutte……………………………………………….de temps en temps.
De bout en bout………………………………………………..d’année en année.
Mesures après mesures…………………………………………………..pas à pas.
Le toit vitré ne protège pas complètement contre la pluie et l’eau tombe à l’intérieur… J’ai quelquefois mal à la tête, un petit rhume… Toi et moi, nous arrivons devant l’hôtel… La journée a été réussie… Peut-être pourra-t-on voir cet été-là nos deux cyclistes rouler sur les routes de l’Ile-de-France… Ils lèvent la tête de leur travail, échangent un regard, un mot, un sourire… La réalisation du projet a été reportée…
217. Mettez les phrases à la forme négative (ïîñòàâüòå ïðåäëîæåíèÿ â îòðèöàòåëüíîé ôîðìå).
Les portes des chambres me regardent passer, toutes brunes, avec leurs petits numéros blancs. Les deux amis Jean et Paul dorment encore dans leur compartiment. Serge presse son ami de faire vite sa toilette. La leçon de français dure deux heures. La pluie tombe toujours. Comme la femme et la petite fille pleuraient, il leur a promis le dîner.
218. Mettez les phrases à la forme intérrogative à l’aide de est-ce que (ïîñòàâüòå ïðåäëîæåíèÿ â âîïðîñèòåëüíóþ ôîðìó ïðè ïîìîùè est-ce que).
Elle a toujours faim. Le père sanglote dans un coin sombre. Une dame lui apporta un cahier d’écolier. Cet enfant est léger et obtus. Nous ne voulons pas payer les droits de douane. Je dus appeler ce garçon. Il est tout seul dans la chambre de l’hôtel. Elle s’est mariée toute jeune et son mari l’adorait.
219. Mettez les phrases à la forme intérrogative à l’aide de l’inversion (ïî– ñòàâüòå ïðåäëîæåíèÿ â âîïðîñèòåëüíóþ ôîðìó ïðè ïîìîùè èí– âåðñèè).
Pierre et Jean vont à l’étranger. Vous me prêtez cette somme d’argent. Toute femme peut dire qu’elle est mademoiselle. Je sius très connu ici. Je vais au bureau de poste. Les billets coûtent cher. Demain je me lèverai à sept heures du matin. Nous nous sommes reposés après le dîner. Mon ami traverse la Place Rouge.
220. Trouvez dans les phrases le sujet et le prédicat (íàéäèòå â ïðåäëî– æåíèÿõ ïîäëåæàùåå è ñêàçóåìîå).
Je fais mes études à l’institut. Le professeur entre dans la salle d’étude. Tu es à Moscou? Partout il y a des affiches. Je suis content de mon logement. Qui est en retard? Votre mère est-elle vieille? Quel âge a votre femme? La table de nuit est vide, le fourneau toujours éteint. Mais ce que j’aime le mieux, c’est mon chien.
221. Trouvez dans les phrases les termes secondaires (íàéäèòå â ïðåäëî– æåíèÿõ âòîðîñòåïåííûå ÷ëåíû).
On voit entrer un paysant, de petite taille, de gros souliers aux pieds. Ils posent au candidat des questions très difficiles. Les réponses sont toujours claires et précises. Un rire éclatant accueille le nouveau venu. La France est située à l’ouest de l’Europe. Combien de mois y a-t-il dans une année? J’y pense souvent et j’en suis désolé. Nous n’avons cité que quelques régions où abondent nos richesses naturelles. L’apatite nous donne de l’engrais pour nos champs.
222. Composez les propositions (ñîñòàâüòå ïðåäëîæåíèÿ).
a) ton, livre, donnes, lui, tu; b) ami, votre, à, vous, écrivez? c) de, la, mesure, j’ai, et, la, parlé, politique, de; d) ému, je, chez, tout, suis, moi, rentré; e) moyenne, ma, de, est, taille mère; f) sont, elle, et, partis, lui, ils; g) avec, jouez, vos, tennis, camarades, au, vous? h) noir, est, en, habillée, elle, toujours; i) un, je, acheter, en, voudrais; j) moi, quatre enveloppes, donnez; k) beaucoup, dans, la, fautes, tu dictée, fais, de.
223. Traduisez en russe les phrases à la forme intérrogative (Ïåðåâåäèòå íà ðóññêèé ÿçûê âîïðîñèòåëüíûå ïðåäëîæåíèÿ. Îïðåäåëèòå, ê êàêîìó ÷ëåíó ïðåäëîæåíèÿ çàäàí âîïðîñ).
Où est la cabine téléphonique? Comment s’appelle le wagon qui sert à transporter les bagages? Quels cours aurez-vous ce matin? Quand viendrez– vous me voir? Que faites-vous quand vous avez le temps libre? À qui vous adressez-vous au bureau de poste? Quelle fête internationale avons-nous au printemps? Qui marche dérrière vous? Que gagnez-vous par an? Combien de mois y a-t-il dans une année? De quelle monnaie se sert-on en France?
224. Mettez en relief les phrases suivantes à l’aide de «c’est… qui», «c’est… que», «ce sont… qui», «ce sont… que» (âûäåëèòå ÷ëåíû ïðåäëîæåíèÿ ïðè ïîìîùè îáîðîòîâ).
Je sais que vous êtes malade. L’Océan Atlantique baigne la France. Ils vont déjeuner au restaurant. Il me racontait sa vie. J’ai vu mon ami lisant le journal. Les étudiants ont écrit la dictée. Nous arrivons à la frontière française. Je fais des promenades sur les boulevards de Paris. Le contrôleur leur retire les billets. Vous avez à payer un supplément. Nous sommes toujours prêts à défendre notre patrie. Ce soir j’écrirai une lettre à ma sœur. Tu te souviens de ton voyage.
225. Traduisez en français en mettant en relief les termes en italique (ïåðåâåäèòå íà ôðàíöóçñêèé ÿçûê, îáîñîáëÿÿ âûäåëåííûå ÷ëå– íû ïðåäëîæåíèÿ).
Ìû åãî âèäåëè ëåòîì. Ïèñüìî áûëî íàïèñàíî ïî-ôðàíöóçñêè. Îíà õî– ÷åò ñìîòðåòü ýòó ïüåñó. ß çàáûëà âàñ ïðåäóïðåäèòü. Îí âàñ âñþäó èñêàë. Åãî ñïîêîéñòâèå ìåíÿ ïîðàæàåò. Åãî ñëîâà íàñ îáèäåëè. ß íå ìîãó åìó ïðîñòèòü åãî ëåãêîìûñëèÿ. Îí õîòåë áû ïðî÷åñòü ýòîò ðîìàí. Ýòî ðåøå– íèå ïðèíÿëè íà ñîáðàíèè. Ìû åãî âñòðåòèëè íà óëèöå. ß åå ïîïðîñèë ïðå– äóïðåäèòü âàñ. Îíà î÷åíü ñïîñîáíàÿ. Ìåíÿ áåñïîêîèò åãî ìîë÷àíèå. Òâîÿ êîìíàòà êðàñèâàÿ. Ìíå õîòåëîñü áû ïîäàðèòü âàì ýòó êíèãó. ß åìó îáåùà– ëà êóïèòü ýòîò ó÷åáíèê. ß áîëüøå íå äóìàþ îá ýòîé ïîåçäêå. ß íå áóäó ïðèáåãàòü ê ýòîìó ñðåäñòâó. Êàê ñïîêîéíà ýòà ìàëåíüêàÿ äåðåâóøêà. Îíà ïîòåðÿëà åãî àâòîðó÷êó. Ñêîëüêî ðàç ÿ ñëûøàëà ýòè îáåùàíèÿ. Ìû õîòèì ïðèíÿòü ó÷àñòèå â ýòîé ýêñêóðñèè.
226. Remplacez les points par les conjonctions de coordination (çàìåíèòå ïðîïóñêè ñî÷èíèòåëüíûìè ñîþçàìè).
Le plancher de la chambre est jaune … le plafond est bleu. Ma chambre n’est pas grande… elle est très claire. On rentre la poitrine et les epaules… on a peur. Je vous propose d’aller avec moi… vous allez au musée. Je ne sais ce qu’elle veut… ce qu’elle dit. J’ai vu la Place Rouge… quand j’étais à Moscou… je sais, qu’elle viendra demain. Je monte dans le wagon… le train part. Vous étiez malade… vous n’étiez pas à l’école. Je vous aime… je ne peux pas vous donner ce que vous demandez. Elle monta, trop vite… elle ne voulait pas se laisser le temps de chercher des raison pour rebrousser chemin. Sa voix cherchait à être douce… elle ne parvenait qu’à être très basse. Il se coucha… il ne put trouver le sommeil. Il n’était pas mort sur le coup… il pouvait en revenir. Les volets étaient fermés encore… elle voyait assez clair pour ne pas se heurter aux meubles. Elle n’était plus jeune;… elle portait une robe claire, avec des manches larges.
Ïðàâèëüíûå îòâåòû (les réponses): et, mais, car, ou, ni, c’est-à-dire, pourtant, et, c’est pourquoi, mais car, mais, donc, mais, mais.
227. Remplacez les points par les conjonctions de subordination ou un mot de relation (çàìåíèòå ïðîïóñêè ïîä÷èíèòåëüíûìè ñîþçàìè).
Un nuage de poussière s’élève à l’endroit … la route sort de la forêt. Je devais laisser ma porte entrouverte… à pouvoir entendre la conversation. Je m’arrête au fond du couloir… il y a un mur. Je l’aime… nous sommes toujours ensemble. L’homme présent à la cérémonie n’etais que le représentant de mon mari… Mrs Hapers me l’avait déclaré. Ma curiosité naturelle n’est pas plus satisfaite… j’aborde le même sujet. Je ne sais pas… je viendrais. Dites-nous… d’habitants compte cette ville. Je me demande… elle pourra sortir. Ils demandaient… était ce pays où toute la nature était d’une espèce si différente de la leur. Je ne veux pas… tu touches à cela.
Il lui demanda… il était en retard. Ne croyez pas… il vous dit. Elle me demanda… je ne pourrais lui donner quelque argent pour payer le boulanger. Elle se demanda
… elle allait faire maintenant. Je ne saurais dire… elle sut donner d’esprit et de vie à cette vieille histoire de nourrice. Elle ne voulait pas songer à… viendrait après.
228. Traduisez en français (ïåðåâåäèòå íà ôðàíöóçñêèé ÿçûê).
ß õî÷ó çíàòü, ÷òî ëåæèò â ýòîì øêàôó. Ñêàæè ìíå, î ÷åì òû äóìàåøü. ß çíàëà, ÷òî ÿ åå òàì íàéäó. Îíà áûëà ðàäà, ÷òî íèêòî íå îáðàùàë íà íåå âíèìàíèÿ. Îí ñïðîñèë ìåíÿ, êîãäà ÿ ñìîãó ýòî ñäåëàòü. Ìíå êàæåòñÿ, ÷òî ÿ óæå ãäå-òî âèäåë ýòîãî ÷åëîâåêà. Îí îñòàíîâèëñÿ, ñïðàøèâàÿ ñåáÿ, íå ëó÷øå ëè áûëî ïîéòè ïî äðóãîé ñòîðîíå. Êðóãîì òèõîíüêî ñïðàøèâàëè äðóã äðóãà, ÷òî ýòî çà ÷åëîâåê. Îíà çíàëà, êîìó ïðèíàäëåæèò ýòîò äîì, îá– íåñåííûé òàêèì âûñîêèì çàáîðîì. Îí ñïðîñèë åãî, ïî÷åìó îí åãî íå íàêà– çûâàåò. ß ñòàðàëñÿ óçíàòü, êàêàÿ ïîãîäà áóäåò â ýòîò äåíü. ß ðàä, ÷òî ìíå ïðåäñòàâèëñÿ ñëó÷àé âûñêàçàòü ñâîå ìíåíèå. Íà ýêçàìåíå åìó çàäàëè íå– ñêîëüêî âîïðîñîâ, íà êîòîðûå îí íå ñìîã îòâåòèòü. Ìàëûø ïîãíàëñÿ çà êîøêîé, êîòîðàÿ ñòðåìãëàâ áðîñèëàñü îò íåãî.
229. Formez les phrases de coordination à l’aide des conjonction (îáðà– çóéòå ïðè ïîìîùè ñîþçîâ ñî÷èíèòåëüíûå ïðåäëîæåíèÿ).
1. Le ciel est bleu. Il fait beau. 2. Je veux partir avec vous. Je ne peux pas.
3. Nous partirons pour Paris. Nous voulons partir pour Londres. 4. Ils entrent dans la classe. Le professeur commence la leçon. 5. Je veux aller au théâtre. Ma sœur veut aller au cinéma. 6. Elle me demande quelque chose. Je ne sais pas quoi. 7. Nous vous visiterons. Quand nous aurons le temps. 8. La porte s’ouvre. On voit notre professeur.
230. Formez les phrases de subordination à l’aide des conjonctions (îáðàçóéòå ïðè ïîìîùè ñîþçîâ ïîä÷èíèòåëüíûå ïðåäëîæåíèÿ).
1. C’est un petite maison de paysant: au premier étage une grande pièce partagée en deux. 2. Nous sommes descendus à la huitième station. Nous sommes entrés dans la forêt. 3. Je sentais dans l’air la farce: le chien sent le gibier.
4. Je m’assis avec précaution. Le fauteil était solide. 5. Il a peur d’elle. Il n’a
jamais aimé personne. 6. C’était un beau garçon. Il avais tué la fille de son collonel.
231. Composez les subordonnées circonstancielles de temps à l’aide des conjonctions «quand», «lorsque», «pendant que», «comme, „tant que“, „tandis que“, „à mesure que“, „dès que“, „depuis que“, „après que“, „avant que“, „jusqu’à ce que“ (îáðàçóéòå ïðèäàòî÷íûå îáñòîÿòåëüñòâåííûå âðåìåíè ïðè ïîìîùè óêàçàííûõ ñîþçîâ).
… elle cria, elle ne pensa point. Il écrivait encore … il entendit sonner quatre heures dans le vestibule. De refuge en refuge, il avance le plus près possible… il aperçoive devant lui la voie du chemin de fer… il voie le train d’où sont parties les balles qui ont tué son ami. Comme le cheval qui sent l’avoine, son pas s’accélérait… elle se rapprochait de la maison de Sylvie.
… Jauques eut franchi le passage voûte et… il eut pénétré dans la cour, la rumeur des discussions qui s’échappait par les fenêtres l’avertit qu’il y avait du monde. Vous n’arrivez à rien… vous serez seul. Il ne pensait guère à elle… il avait quitté Lausanne. Nous allons nous quitter, Grandet, lui dit le banquier, en l’interrompant heuresement… il achevât sa phrase… ils atteignaient le trottoir, un taxi vint s’arrêter devant eux… Antonin se mit à la recherche d’une boite pour partager la colle, Leroux repartit le matériel: tracts, affiches, drapeaux. Depuis des nuits, elle s’était déshabituée de dormir; elle tenait bon… l’enfant avait besoin de son aide.
232. Traduisez en français (ïåðåâåäèòå íà ôðàíöóçñêèé ÿçûê).
ß âàì íàïèøó ïîñëå òîãî, êàê ïîñûëêà áóäåò îòïðàâëåíà. Êîãäà îí ïðî– ñíóëñÿ, âñå óæå áûëè íà íîãàõ. Êîãäà òâîè òîâàðèùè óñèëåííî ãîòîâÿòñÿ ê ýêçàìåíàì, òû íè÷åãî íå äåëàåøü. Îíà áåæàëà, ïîêà íå ïî÷óâñòâîâàëà, ÷òî ñèëû ïîêèäàþò åå. Êîãäà îí ïîäõîäèë ê äîìó, ó ïîäúåçäà îñòàíîâèëñÿ àâòîìîáèëü. Ïîêà ÿ áóäó íà ðàáîòå, òû ñìîæåøü ïîãóëÿòü â ïàðêå, ñõîäèòü â ìóçåé. Êàê òîëüêî ÿ åãî óâèäåë, ÿ îá ýòîì âñïîìíèë. Íå âõîäèòå, ïîêà âàñ íå âûçîâóò. Îí ìíå ýòî îáúÿñíÿë äî òåõ ïîð, ïîêà ÿ âñå ýòî íå ïîíÿëà. Îíà ïðîâîæàëà þíîøó âçãëÿäîì, ïîêà òîò íå èñ÷åç èç âèäó. Âû áóäåòå ñåáÿ ëó÷øå ÷óâñòâîâàòü, êîãäà ïðèìèòå äóø è ïîîáåäàåòå. Îí íå õî÷åò âîéòè â êîìíàòó, ïîêà òàì íå áóäóò îòêðûòû âñå îêíà. Îíà îñòàíåòñÿ äîìà, ïîêà íå ïîïðàâèòñÿ. Òû íè÷åãî íå äåëàåøü â òî âðåìÿ, êàê îíà ðàáîòàåò.
233. Composez les propositions de comparaison à l’aide des conjonctions «comme», «comme si», «aussi que», «plus que», «autant que», «moins que», «tant que» (îáðàçóéòå ñðàâíèòåëüíûå ïðåäëîæåíèÿ ïðè ïî– ìîùè äàííûõ ñîþçîâ).
Elle accourut … vite … le lui permettait son dos voûté. Le vieillard… il eût été frappé au visage retomba sur l’oreiller en gémissant. Elle arrangea son rasin… coquettement… l’aurait pu dresser un vieux chef d’office. S’il travaille… il mange, ce sera un rude travailleur. Il lui avait surgi… d’idées en un quart d’heure… elle n’en avait eu depuis qu’elle était au monde. Il marchait… doucement… il pouvait. Il l’évite… il peut. Tu me traites… tu ne traiterais pas une domestique. Ils ont deux cents mètres de plat ventre à faire. C’est long, mais beaucoup… difficile… ils ne se l’imaginaient. Mon frère, si je t’écrivais avec mon sang et mes larmes, il n’y aurait pas… de douleurs… j’en mets dans cette lettre.
234. Traduisez en français (ïåðåâåäèòå íà ôðàíöóçñêèé ÿçûê).
Îí âåðíåòñÿ ðàíüøå, ÷åì âû äóìàåòå. Îíà áûëà áîëåå âçâîëíîâàííîé, ÷åì êàçàëîñü. Îíà áåæàëà òàê áûñòðî, êàê òîëüêî ìîãëà. Îí ëó÷øå, ÷åì âû äóìàåòå.  ýòîò âå÷åð îí âåðíóëñÿ ïîçäíåå, ÷åì îáû÷íî. Îíà îêàçà– ëàñü ñãîâîð÷èâåå, ÷åì åå ñ÷èòàëè. Îí êî ìíå, áûòü ìîæåò, ïðèâÿçàí áîëü– øå, ÷åì ÿ ê íåìó. ß íå òàê ñëàá, êàê êàæóñü.  ýòîì ãîäó îí çàðàáàòûâàåò áîëüøå, ÷åì çàðàáàòûâàë â òîì ãîäó. Îí ðàáîòàåò íå ñòîëüêî, ñêîëüêî ñëåäîâàëî áû. Íå äàâàé åìó äåíåã áîëüøå, ÷åì íóæíî íà ïîêóïêó ýòîé êíèãè. Îáúÿñíåíèå áûëî ïðîùå, ÷åì îí îæèäàë. Îíà ïîêðàñíåëà, ñëîâíî áûëà âèíîâàòà. Òåïåðü ó ìåíÿ âðåìåíè áîëüøå, ÷åì íóæíî, ÷òîáû çàêîí– ÷èòü ýòó ðàáîòó.
235. Composez les subordonnées de cause à l’aide des conjonctions «parce que», «comme», «puisque», «du moment que», «une fois que», «non que», «ce n’est pas que» (îáðàçóéòå ïðèäàòî÷íûå ïðè÷èíû ïðè ïîìîùè óêàçàííûõ ñîþçîâ).
Gardez-le, … vous y tenez tellement. Porthos s’ennuie plus fortement que les autres. D’abord, le vide laissé par la mort des copins;… il ait peur. Au contraire l’inaction lui pèse… nous sommes seules, ce soir, il y a une chose dont je voudrais te parler. Mais… c’était sa dernière volonté, à cette femme, il me semble qu’il nous est bien difficile de refuser. Que soit dans ta poche ou dans la mienne, qu’importre… nous avons la même bourse… elle était dépourvue d’humour, elle ne sourit pas à ces mots. Elle lui confessa qu’elle avait été assez heureuse de ce départ qui retardait l’heure des explications;… elle craignît de se heurter à une désapprobation. Mais elle redoutait plus que tout d’avoir à mettre à nu ses sentiments.
236. Traduisez en français (ïåðåâåäèòå íà ôðàíöóçñêèé ÿçûê).
Òàê êàê ïîåçä îòõîäèò â ñåìü ÷àñîâ äåñÿòü ìèíóò, èç äîìà íàäî áóäåò âûéòè â 6 ÷àñîâ. Ñåãîäíÿ âå÷åðîì òû íàñ íå çàñòàíåøü äîìà, ïîòîìó ÷òî ìû èäåì â êèíî. Åñëè òû ðåøèëà òóäà ïîåõàòü, ÿ íå áóäó òåáÿ îòãîâàðèâàòü. Òàê êàê åå îòåö çàáîëåë, îíà íå ñìîãëà îñòàâèòü åãî îäíîãî. Ïîñêîëüêó îí ïðåäëîæèë íàì ñâîþ ïîìîùü, íàäî ýòèì âîñïîëüçîâàòüñÿ. Åñëè îíà íà÷àëà, òî äîâåäåò äåëî äî êîíöà. Òàê êàê îí äîëæåí óåõàòü ÷åðåç íåñêîëüêî äíåé, íå íàäî îòêëàäûâàòü ýòîò ðàçãîâîð. ß âûíóæäåí áûë îòêàçàòüñÿ îò ýòîãî ïðåäëîæåíèÿ, ïîòîìó ÷òî ó ìåíÿ íå áûëî ñîîòâåòñòâóþùåãî êîñòþìà. Ðàç òû ýòî ïîîáåùàë, íóæíî íåïðåìåííî ñäåðæàòü ñëîâî. Ïîñêîëüêó òû õî÷åøü çàíÿòü– ñÿ ýòèì âîïðîñîì, ÿ ñîâåòóþ òåáå ïðî÷åñòü ýòè êíèãè. Ðàç òû áîëåí, íóæíî, ÷òîáû òû âûçâàë âðà÷à è ëåã â ïîñòåëü. Òàê êàê èäåò ïðîëèâíîé äîæäü, ïðè– äåòñÿ îòëîæèòü ýêñêóðñèþ. Îíà èì íå ïèñàëà, ïîòîìó ÷òî ó íåå íå áûëî âðå– ìåíè.
237. Composez les subordonnées de conséquence à l’aide des conjonctions «de sorte que», «de façon que», «si bien que», «si que», tant que», «tellement que», «à ce point que», «trop (assez) pour que» (îáðàçóé– òå ïðèäàòî÷íûå ñëåäñòâèÿ ïðè ïîìîùè óêàçàííûõ ñîþçîâ).
La neige tombait… épaisse… on y voyait tout juste à dix ans. Le cerveau du malade était… affaibli… il prît consience de ce qui se passait. Il avançait peu à peu, en parlant, poussant Jacques devant lui… ils se trouvèrent bientôt près d’une des fenêtres, seuls. J’ai… songé à elle… j’ai fini par comprendre: cette fille-là, c’est Manon Lescaut revenue. Nous fûmes… stupefaits… nous ne pouvions dire un mot. Son père croyait qu’il couchait chez un copin; et Jean payait sa chambre du prix de son déjeuner… il ne déjeunait plus jamais. La cahute d’Ursus était… longue et… large… il pût s’y coucher sur un coffre où étaient ses hardes. Elle était loyale… à cette minute, elle eût été soulagée de pouvoir s’accuser à son tour. Elles n’avaient presque rien chez elle… les fournisseurs venaient chez le concierge demander si vraiment on pouvait faire crédit. Son désespoir fut… terrible… ses cheveux devinrent blanc en un mois.
238. Traduisez en français (ïåðåâåäèòå íà ôðàíöóçñêèé ÿçûê).
Îêíà áûëè îòêðûòû, òàê ÷òî øóì ñ óëèöû äîíîñèëñÿ äî íàñ. Ðåêà â ýòîì ìåñòå áûëà òàêîé øèðîêîé, ÷òî åå áåðåãà åëå âèäíåëèñü. ß òàê óñòàëà, ÷òî ïðåäïî÷èòàþ âå÷åðîì îñòàòüñÿ äîìà. Îíà ñòîëüêî ðàáîòàëà, ÷òî èìååò ïðà– âî îòäîõíóòü òåïåðü. Äîñòàòî÷íî ëè òû åå õîðîøî çíàåøü, ÷òîáû ÿ ìîãëà åé äîâåðèòü ðåáåíêà. Ó íàñ ñòîëüêî êíèã, ÷òî ìû íå çíàåì, êóäà èõ ñòàâèòü.  êîìíàòå áûëî òàê òåìíî, ÷òî îí â íåðåøèòåëüíîñòè îñòàíîâèëñÿ íà ïîðî– ãå. Îí ñëèøêîì ñëàá ïîñëå, ÷òîáû ïîðó÷àòü åìó ýòî. Îí ìåíÿ òàê ïðîñèë, ÷òî ÿ íå ñìîã îòêàçàòü åìó. Ìû íå çàñòàëè åãî äîìà, òàê ÷òî ïîòåðÿëè âåñü âå÷åð. Îí â÷åðà òàê ïîçäíî ëåã, ÷òî ÿ ñîìíåâàþñü, âñòàë ëè îí. Îíà âîøëà òàêèì îáðàçîì, ÷òî íèêòî íå çàìåòèë åå ïðèñóòñòâèÿ. Ïîíàäîáèëîñü ìíîãî âðåìåíè, ÷òîáû îíà ïðèâûêëà ê íîâûì äðóçüÿì.
239. Composez les subordonnées conditionnelles à l’aide des conjonctions «si», «à condition que», «à moins que», «quand», «quand bien même», «pourvu que», «pour peu que» (îáðàçóéòå ïðèäàòî÷íûå ïðè÷èíû ïðè ïîìîùè óêàçàííûõ ñîþçîâ).
Que deviendraient-ils tous, … on arrêtait Marceau? Ce virtuose, dit Gabriel, je peux bien vous confier qui c’est, mais… vous n’en parliez à personne. Donner tout! Non, elle le savait, elle ne le ferait jamais… elle l’eut voulu, elle ne l’aurait pu faire… dimanche ou lundi tu n’as rien reçu de moi, tu pourras revenir… tu ne penses être utile là-bas. Nous pouvons en profiter pour continuer l’entretien… vous vous montriez sérieux… on l’en eût pressée, elle aurait consenti à oublier l’avenir. Les inquiétudes matérielles étaient écartées pour un temps; et tout irait bien… Olivier fut reçu, à la fin de l’année. Il ramenera les autres dans sa voiture… ils ne veuillent coucher là… elle avait un frère, elle le voudrait comme lui. Je ne renoncerais jamais à cette idée… le monde entier dirait «non», je dirais «oui». Hecht était décidé à faire réussir Christophe, mais c’était à sa façon, et… Christophe lui fût livre, pieds et poings liés.
240. Traduisez en français (ïåðåâåäèòå íà ôðàíöóçñêèé ÿçûê).
Åñëè áû âû ñîãëàñèëèñü ïðèéòè, âû áû äîñòàâèëè ìíå ýòèì óäîâîëü– ñòâèå. Åñëè åãî õîòü íåìíîãî çàäåðæèøü, îí áûâàåò íåäîâîëåí. Îí ïðèíåñåò ýòó êíèãó, åñëè òîëüêî îíà íå çàáóäåò åìó íàïîìíèòü.  ñëó÷àå, åñëè ìåíÿ íå áóäåò äîìà, òû ìåíÿ ïîäîæäåøü. Åñëè âû õîòü íåìíîãî çàèíòåðåñóåòåñü ýòîé ðàáîòîé, âû äîâåäåòå åå äî êîíöà. ß ìîãó òåáÿ ïðîâîäèòü, åñëè òû òîëüêî íå çàõî÷åøü îñòàòüñÿ ñ íàìè äî êîíöà.  ñëó÷àå, åñëè ó íåãî óæå åñòü ýòà êíèãà, ìû åìó ïîäàðèì äðóãóþ. ß âàì îáåùàþ ñâîþ ïîääåðæêó ïðè óñëîâèè, ÷òî âû áóäåòå îòêðîâåííû è íè÷åãî îò ìåíÿ íå ñêðîåòå. Åñëè ìû õîòü íåìíîãî ïîòîðîïèìñÿ, òî ïðèäåì âî âðåìÿ. Äàæå åñëè ìíå ïðèíåñóò áèëåò, òî ÿ íèêóäà íå ïîéäó, ïîòîìó ÷òî ïëîõî ñåáÿ ÷óâñòâóþ. Åñëè âû õîòü íåìíîãî óìååòå øèòü, ÿ âàì ñîâåòóþ ñäåëàòü ýòî ñàìîé. Ìû èõ íàéäåì, ëèøü áû îíè ïðèøëè âîâðåìÿ.
241. Composez les subordonnées concessives à l’aide des conjonctions «quoique», «bien que», «quoi que», «quelque (si) que», «où (d’où) que», «quel que», «soit que… soit que» (îáðàçóéòå ïðèäàòî÷íûå óñòóïêè ïðè ïîìîùè óêàçàííûõ ñîþçîâ).
… il eût les yeux fixés sur ses enfants, son regard était ailleur… ils viennent, Thérèse, ils sont malheureux, et leur grenier est froid. Elle ne put… elle fît, oublier de sitôt sa blessure. Nous avons chanté… soit leur uniforme, les hommes voués au même sort éprouvent le besoin de chanter quand ils s’en vont vers une destination inconnue… soit le destin qui les attend, le changement leur apporte toujours un élément qui vient rompre tout ce que la vie, qu’ils s’apprêtent à quitter, peut avoir de monotone… malheureux… ils fussent, et, justement parce qu’ils étaient malheureux, ils voulaient rester ensemble. La misique… on dise, n’est pas une langue universelle. Pendant l’absence de sa femme, Olivier avait vu Cecile en fut touchée. Mais… elle sentit plus que lui la gêne de ces confidence… elle eût d’autres raison, elle trouva des prétextes pour venir moins souvent. Elle se figurait que… triste… fût leur situation, elle n’était pas sans issue.
242. Traduisez en français (ïåðåâåäèòå íà ôðàíöóçñêèé ÿçûê).
Îí åæåäíåâíî ïðèõîäèë çàâòðàêàòü äîìîé, õîòÿ åãî ëèöåé íàõîäèëñÿ â äðóãîì êîíöå ãîðîäà.  êàêîå áû âðåìÿ ÿ òåáå íè ïîíàäîáèëñÿ, ïðèõîäè êî ìíå. Êàêîâû áû íè áûëè âàøè ïðèâû÷êè, ïðèäåòñÿ èõ èçìåíèòü. Êóäà áû îí íè ñìîòðåë, îí âèäåë òîëüêî ðàçâàëèíû. Êàê áû îí íè áûë çà– íÿò, ìû äîëæíû åãî ïîãîâîðèòü. Êàêóþ áû öåëü îí ïåðåä ñîáîé íè ñòàâèë, îí åå äîñòèãàë. Õîòÿ ó íåå áîëåëà ãîëîâà, îíà, êàê îáû÷íî, ïîøëà çà ïîêóï– êàìè. ×òî áû åé íè ãîâîðèëè, îíà íè÷åãî íå õîòåëà ìåíÿòü. ×òî áû îí íè äåëàë, îí äåëàë ñ óäîâîëüñòâèåì è ëþáîâüþ. Êàêóþ áû êíèãó îíà íè ÷èòà– ëà, ó íåå âñåãäà áûëè íàãîòîâå áóìàãà è êàðàíäàø. Ãäå áû îíè íè áûëè, ìû èõ íèêîãäà íå çàáóäåì. ×òî áû ìíå íè ãîâîðèëè, ÿ íå èçìåíþ ñâîåãî ìíå– íèÿ. Êóäà áû ÿ íè ïîøåë, ÿ ÷óâñòâóþ íà ñåáå åãî âçãëÿä.
243. Mettez les verbes aux temps et modes qui conviennent (ñîãëàñóéòå ãëàãîëüíûå âðåìåíà).
Tandis qu’il (endosser) son pardessus, il songea que sa femme (être) sans argent. Juste comme Maillat (tourner) la tête pour répondre, il y eut de nouveau une bousculade. Elle ne prononça plus un mot jusqu’à ce qu’elle (arriver) à son wagon. Depuis qu’on (arriver) au Sana, ça allait tout à fait bien. Bien avant que le tramway ne (être) en vue, elle l’entendit. Quand la famille (être) en fonds, les enfants avaient autant d’argent de poche qu’ils en (vouloir). Alors qu’il (atteindre) le milieu du pont, il eut la sensation que quelqu’un le (suivre). Le plus beau, ce fut lorsque le docteur (partir). Pendant que le forgeron (parler), j’entendais l’ancien raconter cette fameuse histoire. Quand le fermier (venir) annoncer qu’il le (trouver) sur la route, on ne l’a pas cru. Il n’osait pas se lever tant que la porte (ne pas être) fermée. Les gamins l’accompagnèrent de leurs cris jusqu’à ce qu’il (franchir) la grille. Lorsque Emma (rudoyer) bien sa servante, elle lui faisait des cadeaux ou l’envoyait se promener chez les voisins.
244. Formez le discours indirect (îáðàçóéòå êîñâåííóþ ðå÷ü).
Je demandai: «Avez-vous été heureuse au moins?» Elle repondit: «Il m’a rendue très heureuse». Le père Henri me dit: «As-tu pensé au drapeau?» Il toussa trois fois et dit: «Je viens vous demander un autographe». Les douaniers demandent toujours: «N’avez-vous rien à déclarer?» «Que cherchez-vous?», – demanda le professeur. Le professeur a dit au nouveau: «Levez-vous!». Pierre se réveille et demande à son ami: «Jean, as-tu bien dormis cette nuit?»
245. Précisez les rapports de sens qui unissent les propositions juxtaposées (óòî÷íèòå, êàêèå îòíîøåíèÿ ñâÿçûâàþò áåññîþçíûå ïðåäëîæåíèÿ).
La porte s’ouvrit, une jeune fille parut. Elle jugeait Tullio, elle ne l’estimait pas. On lui aurait dit de Fred qu’il volait, elle l’aurait cru sans étonnement. L’entresol s’était entièrement depeuplé: les joueurs avaient été dîner; l’orchestre s’était-tu. Aucun bruit ne montait de la rue; on se serait cru dans la campagne. Il voulait se lever, il ne le pouvait pas. Sur le carreau glissèrent des pas mous: un élève devisagea Antoine et passa. On lui parle, il se fâche. On ne lui parle pas, il boude. Voyez comme il nous regarde: il voit qu’on s’occupe de lui. Elle veut se dégager, elle enfonce dans la vase.
246. Traduisez en français (ïåðåâåäèòå íà ôðàíöóçñêèé ÿçûê).
Ìîé äðóã ìíå ðàññêàçàë, ÷òî îí ïðî÷åë äâå íîâûå êíèãè âî âðåìÿ êàíè– êóë. Ìíå ñêàçàëè, ÷òî îí òîëüêî ÷òî óåõàë è âåðíåòñÿ íå ñêîðî. Êòî âàì ñêàçàë, ÷òî ÿ áîëåí è íå ñìîãó ïðèéòè íà êîíöåðò. Îí íàì ðàññêàçàë, êòî ïðèõîäèë ê íåìó íàêàíóíå è î ÷åì îíè ðàçãîâàðèâàëè. Íàì ñêàçàëè, ÷òî ïîåçä ïðèõîäèò ðîâíî â âîñåìü ÷àñîâ óòðà. Äåâî÷êà ñêàçàëà, ÷òî îíà íå çíàåò, ãäå åå ðîäèòåëè. Ìîÿ ñåñòðà íàïèñàëà ìíå, ÷òî îíà áûëà áîëüíà, íî ÷òî ñåé÷àñ îíà ÷óâñòâóåò ñåáÿ õîðîøî. Åãî ñïðàøèâàþò, ÷òî ñëó÷èëîñü íà ýòîé óëèöå. Ìîé äðóã õîòåë çíàòü, êòî ïîéäåò â êèíî. Ó÷èòåëü ñïðàøèâàåò, êòî ñåãîäíÿ îòñóòñòâóåò.
247. Ïðîèçâåäèòå ñèíòàêñè÷åñêèé ðàçáîð ïðåäëîæåíèé.
Le jour même, lord Glenarvan envoya au capitain Mangles l’ordre d’amener le «Duncan» à Glasgow et de tout préparer pour un voyage dans les mers du Sud. Le départ fut fixé au 25 août. Le 24 août, Glenarvant, lady Hélène, le major Mac Nabbs, Mary et Robert Grant, le steward du navire Olbinett et sa femme montèrent à bord du «Duncan».
Dans la nuit du 24 au 25 août les feux furent allumés. Il n’y avait plus qu’à partir. John Mangles prévint lord Glenarvan, qui monta aussitôt sur le pont.
Le «Duncan» lanca dans les airs un coup de sifflet. Bientot les bruits de
la villes s’eteignirent dans l’eloignement.
À six heures du matin le «Duncan» sortait du canal du Nord et courait sur les flots de l’Océan.
Jules Verne
«Les enfants du capitain Grant»
TESTS ÒÅÑÒÛ
L’ARTICLE. ÀÐÒÈÊËÜ
Âàðèàíò 1
1. Le livre… frère est sur la table.
a) de la b) du
c) des
2. Les cahiers… étudiants sont sous les livres.
a) de la
b) de c) des
3. Les rues… Paris sont belles.
a) de
b) de la
c) du
4. Moscou est la capitale… Russie.
a) des
b) de la
c) de
5. Les murs… chambre sont gris.
a) du
b) de
c) de la
6. Ce sont les livres… cet étudiant.
a) du
b) des
c) de
7. La porte… chambre est blanche.
a) de la
b) de
c) des
8. Le livre… professeur est sur la table.
a) de
b) des
c) du
9. La sœur… mon ami est petite.
a) de
b) de la
c) du
10. Les habitans… France parlent français.
a) de
b) du
c) de la
11. La grand-mère… Pierre est vieille.
a) du
b) de c) des
12. Les fenêtres… salle donnent sur la rue.
a) de
b) de la
c) des
13. Les places… Moscou sont larges.
a) de
b) de la
c) du-
14. Les parents… étudiants sont à l’école.
a) du
b) de
c) des
15. Les arbres… forêt sont verts. a) de la
b) du c) de
Âàðèàíò 2
1. Nous sommes … maison.
a) à la
b) au
c) aux
2. Le professeur explique la leçon … étudiants.
a) à l’
b) aux c) au
3. Je pose la question… professeur.
a) au
b) à la c) à le
4. Il donne le livre… étudiante.
a) au
b) à le
c) à l’
5. Vous êtes… cinéma.
a) au
b) à la c) aux
6. Nous allons… bibliothèque.
a) au
b) à le
c) à la
7. Nous étions… musées de Paris.
a) à la
b) aux
c) au
8. Les étudiants sont… l’école.
a) à la
b) à l’
c) au
9. J’ai raconté cette histoire… amis.
a) aux
b) à les
c) au
10. Nous sommes… Paris.
a) à la
b) au c) à
11. Il dit… étudians: «Bonjour!»
a) à l’
b) aux
c) à les
12. Le professeur dit: «Allez… tableau!»
a) au
b) à la
c) aux
13. Mes amis vont… campagne.
a) au
b) à le
c) à la
14. Je fais mes études… Institut.
a) à l’
b) au
c) à la
15. Ma mère travaille… fabrique.
a) aux
b) au
c) à la
Âàðèàíò 3
1. Je mange … viande.
a) des
b) de la
c) de
d) du
e) de le
2. Manges-tu … poisson?
a) du b) de
c) de le
d) de la
e) de l’
3. J’achète un kilo … sucre.
a) de
b) des
c) de la
d) du
4. J’aime … pain avec … beurre.
a) de le
b) au
c) du
d) des
e) de
5. Ce garçon a … talent.
a) de
b) de le
c) la
d) le
e) du
6. Donnez-moi … café.
a) du
b) de
c) le
d) de l’
7. Chaque matin je prends … thé.
a) le
b) la
c) du
d) de
e) de le
8. Buvez un verre… limonade!
a) le
b) du
c) de la
d) de
e) de le
9. Aimez-vous… fromage?
a) du
b) le
c) de
d) de le
10. =Je ne mange pas beaucoup… viande.
a) la
b) du
c) le
d) de le
e) de
11. Il n’y a pas… sel sur la table.
a) des
b) au
c) de
d) du
e) de le
12. Donnez-moi encore une assiette… soupe.
a) de
b) du
c) la
d) de la
e) de le
13. Combien… verres y a-t-il sur la table?
a) le
b) du
c) au
d) de
e) de le
14. Passez-moi… sel.
a) la
b) le
c) à la
d) de
e) du
15. Mangez-vous beaucoup… fruits?
a) de
b) du
c) la
d) les
e) des
Âàðèàíò 4
Óïîòðåáèòå ñóùåñòâèòåëüíûå ñ àðòèêëåì èëè áåç.
1. … Alpes
a) —
b) les
c) l’
d) des
2. … Madagascar
a) le
b) —
c) la
3. … Asie
a) —
b) la
c) l’
d) d’
4. … Michel
a) —
b) le
c) la
5. … Parisiens a) —
b) les
c) des
d) de
e) le
6. Pierre … Grand
a) —
b) la
c) le
d) de
7. … Chypre
a) le
b) —
c) de
d) la
8. … Moscou
a) —
b) la
c) le
9. Lire … Balzac
a) le
b) —
c) de
d) du
10. Petit … Jean
a) le
b) —
c) du
d) de
11. Monsieur … Dupon a) —
b) le
c) de
d) la
12. … Havane
a) —
b) le
c) de
d) la
13. Jouer … Copin
a) du
b) —
c) le
d) de
14. … mesdames et … messieurs!
a) les
b) —
c) des
d) la, le
15. … Jamaïque
a) —
b) le
c) la
LE NOM. ÈÌß ÑÓÙÅÑÒÂÈÒÅËÜÍÎÅ
Âàðèàíò 1
Îïðåäåëèòå ñ ïîìîùüþ ñóôôèêñîâ ðîä ñóùåñòâèòåëüíûõ.
1) combinaison
a) f
b) m
2) résultat
a) f
b) m
3) cahier
a) f
b) m
4) habitude
a) f
b) m
5) impression
a) f
b) m
6) village
a) f
b) m
7) figure
a) f
b) m
8) drapeau
a) f
b) m
9) travail
a) f
b) m
10) participation
a) f
b) m
11) soirée
a) f
b) m
12) chuchetement
a) f
b) m
13) danseur
a) f
b) m
14) danseuse
a) f
b) m
15) réflexion
a) f
b) m
Âàðèàíò 2
Îáðàçóéòå æåíñêèé ðîä ñóùåñòâèòåëüíûõ.
1) un étudiant
a) une étudiant
b) une étudiante
c) un étudiant
2) un veux
a) une veuve
b) un veux
c) une veux
3) un étranger
a) un étranger
b) une étranger
c) une étrangère
4) un cousin
a) une cousine
b) une cousin
c) un cousin
5) un citoyen
a) un citoyen
b) une citoyenne
c) un citoyenne
6) un acteur
a) un acteur
b) une acteur
c) une actrice
7) un tigre
a) une tigre
b) une tigresse
c) la tigre
8) un homme
a) une femme
b) une homme
c) un homme
9) un coq
a) une coq
b) une coqe
c) une poule
10) un élève
a) une élève
b) une fille élève
c) un élève
11) un bœuf
a) une bœuf
b) une vache
c) un bœuf
12) un roi
a) une reine
b) une roie
c) une femme roi
13) un professeur
a) une professeuse
b) une professeur
c) un professeur
14) un médecin
a) une médecin
b) une femme médecin
c) une médicine
d) un médecin
15) un chat
a) un chat
b) une chat
c) une chatte
Âàðèàíò 3
Îáðàçóéòå ìíîæåñòâåííîå ÷èñëî ñóùåñòâèòåëüíûõ.
1) une chaise
a) des chaises
b) une chaise
c) de chaise
2) un joujou
a) des joujous
b) des joujoux
c) du joujou
3) un chapeau
a) des chapeaus
b) des chapeauses
c) des chapeaux
4) un fils
a) des filses
b) des fils
c) des filsx
5) un festival
a) des festivals
b) des festiveaux
c) des festivaux
6) un journal
a) des journals
b) des journaux
c) des journeaux
7) un travail
a) des travails
b) des travailles
c) des travaux
8) un détail
a) des détails
b) des détaux
c) des déteaux
9) un œil
a) des œils
b) des yeux
c) des œil
10) un policeman
a) des policemans
b) des policemen
c) des policesmans
11) un abat-jour
a) des abats-jours
b) des abats-jour
c) des abat-jours
d) des abat-jour
12) monsieur
a) monsieurs
b) messieurs
c) messieur
13) un sourd-muet
a) des sourds-muets
b) des sourds-muet
c) des sourd-muets
d) des sourd-muet
14) un chef-d’œuvre
a) des chefs-d’œuvres
b) des chefs-des œuvres
c) des chefs-d’œuvre
d) des chef-d’œuvres
15) un avant-garde
a) des avant-gardes
b) des avants-gardes
c) des avants-garde
d) des avant-garde
Âàðèàíò 4
Óïîòðåáèòå óêàçàòåëüíîå, ïðèòÿæàòåëüíîå, âîïðîñèòåëüíîå èëè íå– îïðåäåëåííîå ïðèëàãàòåëüíîå.
1) … homme
a) ce
b) cet
c) cette
d) ces
2) … livre
a) mon
b) ma
c) mes
3) … histoire
a) cette
b) cet
c) ça
d) ce
4) … enfants
a) mon
b) ma
c) mes
5) … héros
a) ce
b) cet
c) ces
6) … crayon
a) quelle
b) quel
c) quelles
d) quels
7) … idée
a) aucun
b) aucune
8) … fois
a) autre
b) autres
9) … femme!
a) quel
b) quels
c) quelle
d) quelles
10) … personne
a) nul
b) nuls
c) nulle
d) nulles
11) … fautes!
a) quelles
b) quels
c) quelle
d) quel
12) … frère
a) sa
b) son
c) ses
13) … la journée
a) toute
b) tout
c) toutes
d) tous
14) … mois
a) plusieurs
b) plusieur
c) plusieure
15) … enfants
a) leur
b) leurs
L’ADJECTIF. ÈÌß ÏÐÈËÀÃÀÒÅËÜÍÎÅ
Âàðèàíò 1
Îáðàçóéòå æåíñêèé ðîä ïðèëàãàòåëüíûõ.
1) sec
a) sec
b) sece
c) sèche
2) favori
a) favorie
b) favorite
c) favori
3) faux
a) fausse
b) faux
c) fauxe
4) public
a) public
b) publice
c) publique
5) sérieux
a) sérieux
b) sérieuse
c) sérieuxe
6) beau
a) belle
b) beau
c) beaue
7) bon
a) bone
b) bonne
c) belle
8) passif
a) passife
b) passive
c) passif
9) fou
a) foue
b) fou
c) folle
10) aigu
a) aigue
b) aiguë
c) aigu
11) pareil
a) pareille
b) pareile
c) pareil
12) vieux
a) vieuxe
b) vieille
c) vieuse
13) nouveau
a) nouveaue
b) nouveause
c) nouvelle
14) grec
a) grece
b) greque
c) grecque
15) blanc
a) blanche
b) blance
c) blanse
Âàðèàíò 2
Îáðàçóéòå ìíîæåñòâåííîå ÷èñëî ïðèëàãàòåëüíûõ.
1) bas
a) bas
b) bases
c) bax
2) amical
a) amicals
b) amicaux
c) amicaus
3) beau
a) beaus
b) bels
c) beaux
4) final
a) finaux
b) finals
c) finaus
5) jumeau
a) jumeaux
b) jumeaus
c) jumelle
6) général
a) généraux
b) générals
c) généreaux
7) théâtral
a) théâtrals
b) théâtraux
c) théâtreaux
8) natal
a) nateaux
b) nataux
c) natals
9) jaloux
a) jalous
b) jaloux
c) jalouses
10) gris
a) gris
b) grises
c) grix
11) austral
a) austraux
b) austreaux
c) australs
12) hébreu
a) hébreus
b) hébreux
c) hébreu
13) mural
a) murals
b) muraux
c) mureaux
14) matinal
a) matinals
b) matinaux
c) matineaux
15) bleu
a) bleux
b) bleu
c) bleus
Âàðèàíò 3
Ñîãëàñóéòå ïðèëàãàòåëüíûå.
1. Vous avez raconté une … histoire.
a) bon
b) beau
c) belle
2. J’ai vu un film…
a) intéressant
b) intéressante
c) intéressants
3. Le frère et le père sont…
a) paresseux
b) paresseuse
c) paresseus
4. Nous avons acheté deux dictionnaires…
a) franco-russe
b) francos-russes
c) franco-russes
d) francos-russe
5. J’ai vu les robes…
a) marron
b) marrons
c) marrones
6. J’aime les fleurs…
a) rose
b) roses
c) rosex
7. Tu n’aimes pas marcher…
a) nu-pieds
b) nus-pieds
c) nu-pied
8. En été j’aime marcher…
a) les pieds nu
b) les pieds nue
c) les pieds nus
d) les pieds nues
9. Dans cette année il y a beaucoup d’enfants…
a) nouveau-né
b) nouveau-nés
c) nouveaux-nés
10. Mon frère marche toujours…
a) nu-tête
b) nue-tête
c) nus-têtes
11. Ma mère ne marche jamais…
a) la tête nu
b) la tête nue
c) les têtes nus
12. Je voyais ce film pendant…
a) une demie-heure
b) une demi-heure
c) une demi-heure
13. Il y a déjà… que je vous attends.
a) une heure et demi
b) une demiheure
c) une heure et demie
14. Les filles achètent les robes…
a) bleus
b) bleues
c) bleux
15. Ma copine a des yeux…
a) bleu foncé
b) bleus foncés
c) bleues foncées d) bleu-foncé
Âàðèàíò 4
Ïåðåâåäèòå íà ðóññêèé ÿçûê.
1) un pauvre homme
à) áåäíûé ÷åëîâåê
b) íåñ÷àñòíûé ÷åëîâåê
ñ) ñêóïîé ÷åëîâåê
2) mon propre table
à) ìîé ñîáñòâåííûé ñòîë
b) ìîé ÷èñòûé ñòîë
ñ) ìîé ñòàðûé ñòîë
3) un palais ancient
à) áûâøèé äâîðåö
b) ñòàðûé äâîðåö
ñ) äðåâíèé äâîðåö
4) un homme grand
à) âûñîêèé ÷åëîâåê
b) âåëèêèé ÷åëîâåê
ñ) çíàìåíèòûé ÷åëîâåê
5) un brave soldat
à) ñìåëûé ñîëäàò
b) ñëàâíûé ñîëäàò
ñ) âûñîêèé ñîëäàò
6) un ancien chef
à) õîðîøèé íà÷àëüíèê
b) äðåâíèé íà÷àëüíèê
ñ) áûâøèé íà÷àëüíèê
7) une maison pauvre
à) áåäíûé äîì
b) íåñ÷àñòíûé äîì
ñ) äðåâíèé äîì
8) une salle propre
à) ÷èñòàÿ êîìíàòà
b) áåäíàÿ êîìíàòà
ñ) ñîáñòâåííàÿ êîìíàòà
9) un maigre repas
à) ïëîõàÿ åäà
b) íåâêóñíàÿ åäà
ñ) ñêóäíàÿ åäà
10) un soldat brave
à) ñëàâíûé ñîëäàò
b) ñìåëûé ñîëäàò
ñ) õóäîé ñîëäàò
11) une fille maigre
à) ñêóïàÿ äåâî÷êà
b) õóäàÿ äåâî÷êà
ñ) ñìåëàÿ äåâî÷êà
12) un grand écrivain
à) âåëèêèé ïèñàòåëü
b) âûñîêèé ïèñàòåëü
ñ) ñëàâíûé ïèñàòåëü
13) un curieux élève
à) çàáàâíûé ó÷åíèê
b) ëþáîçíàòåëüíûé ó÷åíèê
ñ) õóäîé ó÷åíèê
14) une élève curieuse
à) ëþáîçíàòåëüíàÿ ó÷åíèöà
b) õóäàÿ ó÷åíèöà
ñ) çàáàâíàÿ ó÷åíèöà
L’ADJECTIF NUMÉRAL. ×ÈÑËÈÒÅËÜÍÎÅ
Âàðèàíò 1
Íàïèøèòå êîëè÷åñòâåííûå ÷èñëèòåëüíûå ïðîïèñüþ.
1. 5 filles sont dans la classe.
a) cinc
b) cinq
c) cinque
2. Les 3 000.000 d’habitants sont les enfants.
a) trois millions
b) trois million
c) trois milliards
3. Dans une annee il y a 12 mois.
a) dix-deux
b) douze c) deux
4. J’ai 19 ans.
a) dix-neuve
b) neuve
c) dix-neuf
5. Mon père travaille à l’usine depuis 31 ans.
a) trente-un
b) trois et un c) trente et un
6. Mon grand-père a déjà 71 ans.
a) soixante-onze
b) soixante et onze c) sept et un
7. Il y a déjà 80 ans que j’habite en France.
a) huit et zéro
b) quatre-vingts c) quatres-vingts
8. Cette musée ne fonctionne pas 95 ans.
a) neuf et cinq
b) quatres-vingts-quinzes
c) quatre-vingts-quinze
9. Les 4 000 d’ouvriers travaillent à l’usine.
a) quatre millions
b) quatre milles
c) quatres milles
10. Dans notre ville se trouvent 320 musées.
a) trois cent vingt
b) trois-cent-vingt
c) trois cents vingts
11. 1 000 d’enfants se préparent pour les examens.
a) un mille
b) un millier
c) un million
12. J’ai passé 10 d’années en Russie.
a) une dizaine
b) dix
c) un et zéro
13. 100 d’enfants vont à l’école.
a) cent
b) une centaine
c) un mille
14. 2 + 6 = 8.
a) deux plus six et huit
b) deux plus six font huit
c) deux et six font huit
15. Je suis née en 1976.
a) mille neuf cent soixante-seize
b) mille-neuf-cent-seize
c) milles neufs cents seizes
Âàðèàíò 2
Íàïèøèòå ïîðÿäêîâûå ÷èñëèòåëüíûå ïðîïèñüþ.
1. Je suis en 5.
a) cinquième
b) cinqième
c) cinq
2. Mon petit fils a fait son 1 pas.
a) un
b) unième
c) premier
3. En 1945 la 2 Guerre Mondiale finit.
a) Deuxième
b) Deux
c) Seconde
4. Je suis en vacances le 2 jour.
a) deux
b) deuxième
c) second
5. Mon frère est en 9.
a) neuvième
b) neufième
c) neuf
d) neuve
6. J’ai fait ma 31 faute dans la dictée.
a) trente et un
b) trente et unième
c) trente et premier
7. Pierre 1 (Ïåòð Ïåðâûé).
a) Un
b) Unième
c) Premier
8. Je suis née le 1 mai.
a) premier
b) un
c) unième
9. Ma sœur est née le 10 mai.
a) dixième
b) dix
10. J’ai fait déjà ¾ de mon devoir.
a) trois quatrième
b) trois et quatre
c) trois-quatre
11. Louis 14 (Ëþäîâèê 14).
a) Dix et quatre
b) Quatorzième
c) Quatorze
12. Mars est le 2 mois de l’année.
a) deuxième
b) deux
c) second
13. J’ai lu ½ du livre.
a) un et deux
b) une moitié
c) un deuxième
14. Le professeur dit: «Ouvrez vos livres à la page 11».
a) onzième
b) un et un
c) onze
15. Je vous pose ma 8 question.
a) huit
b) huitième
LE PRONOM. ÌÅÑÒÎÈÌÅÍÈÅ
Âàðèàíò 1
Óïîòðåáèòå ëè÷íûå ìåñòîèìåíèÿ.
1. Qui était absent hier? C’étais…
a) me
b) moi
c) mon
2. J’ai appris ces fleurs pour…
a) elle
b) la
c) lui
3. Que penses-tu…?
a) tu
b) te
c) toi
4. Je t’aime…!
a) toi
b) moi
c) je
d) te
5… il est très gentil.
a) Il
b) Le
c) Lui
6. Il parle russe mieux que ….
a) tu
b) toi
c) te
7. Vous pouvez le faire… – même.
a) nous
b) vous
c) eux
8. Mon frère est en neuvième…aussi.
a) moi
b) je
c) me
9… seul sais la réponse.
a) Tu
b) Te
c) Toi
10. Où vas-..?
a) toi
b) tu
c) te
11… vous attendons depuis une heure.
a) Nous
b) Vous
c) Nous nous
12… vont à l’école.
a) Lui
b) Ils
c) Eux
13… fait beau aujourd’hui.
a) Elle
b) Lui
c) Il
14. Il faut croir en ….
a) soi
b) lui-même
c) le d) lui
15. … prèpare pour les examens.
a) Elle
b) Elle soi
c) Elle elle
d) Elle se
Âàðèàíò 2
Óïîòðåáèòå ìåñòîèìåíèÿ-äîïîëíåíèÿ.
1. Je lis le livre. Je … lis.
a) lui
b) la
c) le
2. Nous regardons les photos. Nous… regardons.
a) les
b) elles
c) ils
3. Elle est malade. Je… sais.
a) lui
b) la
c) le
4. Tu as raconté cette histoire à ta copine. Tu… as raconté cette histoire.
a) la
b) lui
c) elle
5. J’donne à mes amis mes manuels. Je… donne mes manuels.
a) leur
b) les c) ils
6. Téléphonez-..!
a) la
b) le
c) lui
7. Je veux écrire une lettre à mon ami. Je veux… écrire une lettre.
a) le
b) lui
c) il
8. Je donne le livre à mon ami. Je… donne.
a) le, lui
b) lui, le
c) le, le
9. Je donne le livre à toi. Je… donne.
a) le, te
b) le, toi
c) te, le
d) toi, le
10. Il ne faut pas donnez le livre à son ami. Ne… donne pas!
a) il, le
b) le, lui
c) lui, le
11. Il ne faut pas donner le livre à moi. Ne… donne pas!
a) me, le
b) moi, le
c) me, lui
12. Avez-vous répondu à vos amis?… avez-vous répondu?
a) les
b) ils
c) leur
13. C’est la chaise de mon frère. Cette chaise est à ….
a) son
b) il
c) le
d) lui
14. Est-ce qu’il a regardé la télé? Oui, il… a regardée.
a) le
b) la
c) elle
d) lui
15. On nous a déjà lu ce fragment. On nous… a déjà lu.
a) l’
b) le c) la
d) lui
Âàðèàíò 3
Óïîòðåáèòå ìåñòîèìåíèÿ en, y.
1. Nous revenons de l’école. Nous … revenons.
a) y
b) en
2. Nous allons à l’école. Nous… allons.
a) y
b) en
3. Le professeur dit: «Sortez de la salle». Le professeur dit: «Sortez-…!»
a) en
b) y
4. Le professeur dit: «Entrez dans la salle!». Le professeur dit: «Entrez-…!»
a) en
b) y
5. Je parle des livres francais avec mes amis. Je… parle avec mes amis.
a) y
b) en
6. Je parle de mon frère avec mes amis. Je parle… avec mes amis.
a) en
b) y
c) de lui
7. Combien de sœurs avez-vous? Je… ai trois.
a) en
b) y
8. Je pense à mes examens. Je… pense.
a) y
b) en
9. Je pense à mon père. Je pense…
a) en
b) y
c) à lui
10. Vous vous souvenez souvent de votre voyage. Vous vous… souvenez souvent.
a) y
b) en
11. T’intéresses-tu aux films nouveaux? Oui, je me… intéresse beaucoup.
a) y
b) en
12. Pensez-vous à voyager en France? Nous… pensons.
a) y
b) en
13. Nous avons visité beaucoup de musées. Je… suis content.
a) y
b) en
14. Avez-vous un crayon noir? Je… ai un.
a) y
b) en
15. Je ai besoin de ce manuel. Je… ai besoin.
a) en
b) y
Âàðèàíò 4
Óïîòðåáèòå ïðèòÿæàòåëüíîå èëè óêàçàòåëüíîå ìåñòîèìåíèå.
1. J’aime regarder les tableaux de Renoir … m’attire beaucoup.
a) cela
b) la
c) le
2. Ma sœur et … de mon ami travaillent à l’usine.
a) ce
b) cela
c) celle
d) celui
3. Voici les étudiants… – ci est mon frère… – là est mon ami.
a) celle, celle
b) celui, celui
c) ce, ce
4. J’ai vu un film nouveau… est intéressant.
a) celle
b) c’
c) celui
d) ce
5. Bonjour! Comment… va?
a) celle
b) celui
c) ce
d) ça
6. … que je vois est jolie.
a) Celle
b) Celui
c) Ce
d) Ça
7… sont malades.
a) Celle
b) Celui-ci
c) Ceux-ci
d) Ce
8. Je ne veux pas parler de…
a) ce
b) cela
c) celle
d) celui
9. Ce n’est pas mon frère, c’est… de ma copine.
a) celle
b) celui
c) ce
d) ça
10. Nous avons fini notre travail. Et vous, avez-vous fini…?
a) le vôtre
b) la vôtre
c) votre
11. Mon frère est plus grand que…
a) la mienne
b) la tienne
c) le tien
12. Nous avons rencontré nos parents. Et toi, as-tu rencontré…?
a) le tien
b) la tienne
c) les tiennes
d) les tiens.
13. Voici ma chaise et voilà…
a) la tienne
b) le tien
c) les tiens
14. Ta poésie est belle, mais je préfère…
a) le sien
b) la sienne
c) son
d) sa
15. Votre stylo est pareille à…
a) la mienne
b) le mien
c) au mien
Âàðèàíò 5
Óïîòðåáèòå îòíîñèòåëüíîå ìåñòîèìåíèå.
1. Je sais une fille … parle bien français.
a) quoi
b) que
c) qui
2. Je ne connais pas la fille chez… vous avez passé le soir hier.
a) qui
b) où
c) lequel
3. Les gens à… vous vous intéressez sont mes parents.
a) auquels
b) qui
c) lequel
4. Le livre… vous m’avez donné est intéressant.
a) que
b) qui
c) lequel
d) quoi
5. Le garçon… je vois est mon étudiant.
a) qui
b) lequel
c) que
d) quoi
6. Le livre… vous avez besoin est chez moi.
a) que
b) dont
c) à qui
7. L’histoire… vous m’avez parlé avait eu lieu en France.
a) dont
b) à que
c) auquelle
8. C’est la maison… les fenêtres donnent sur la rue.
a) dont
b) desquelles
c) que
9. La femme… je vous parle est ma mère.
a) dont
b) à qui
c) de laquelle
10. C’était l’école… je faisais mes études.
a) dont
b) où
c) que
11. Elle est née au village… je suis venu hier.
a) dont
b) d’où
c) duquel
12. Dites-moi à… penses-tu?
a) quoi
b) lequel c) que
13. Je veux savoir de… il s’agit.
a) lequel
b) que
c) quoi
14. Le profeseur nous pose les questions… nous ne savons pas la réponse.
a) auxquelles
b) dont
c) quoi
15. Ma sœur… j’écris une lettre habite à Moscou.
a) à laquelle
b) dont
c) où
Âàðèàíò 6
Óïîòðåáèòå âîïðîñèòåëüíîå ìåñòîèìåíèå.
1. … est votre mère? Ma mère est le médecin.
a) Qui
b) Que
c) Quoi
2… voyez-vous dans cette salle?
a) Que
b) Quoi
c) Qui
3. À… vous intéressez-vous?
a) quoi
b) qui
c) que
4. De… parlez-vous?
a) quoi
b) qui
c) que
5… se passe ici?
a) Que
b) Qui
c) Quoi
6. De… il s’agit dans ce texte?
a) quoi
b) qui
c) lequel
7. Qui est-ce… chante?
a) que
b) quoi
c) qui
8. Qui est-ce… vous cherchez?
a) qui
b) que
c) quoi
9. Qu’est-ce… s’est passé?
a) qui
b) que
c) quoi
10. Qu’est-ce… vous avez oublié?
a) qui
b) quoi
c) que
11. À… est-ce que tu penses?
a) qui
b) quoi
c) que
12. De… vous vous occupez?
a) quoi
b) qui
c) que
13… d’entre vous est malade?
a) Que
b) Lequel
c) Qu’est-ce que
14… de ces deux robes préfères-tu?
a) Que
b) Lequel
c) Laquelle
15. De ces deux tableaux… prendrez-vous?
a) que
b) laquelle
c) lequel
Âàðèàíò 7
Óïîòðåáèòå íåîïðåäåëåííîå ìåñòîèìåíèå.
1. Y a-t-il … dans la salle?
a) qui
b) personne
c) quelqu’un
2… de mes amis sont malades.
a) Quelqu’un
b) Quelques-uns
c) Chacun
3… n’aiment pas aller à l’école.
a) Certains
b) Certaines
c) Certain
4… de ces auteurs sont bien connus.
a) Plusieurs
b) Plusieures
c) Plusieur
5… de nous peut aider à ces enfants.
a) Personne
b) Chacuns
c) Chaqun
6… de mes copines aime aller au cinéma.
a) Chacun
b) Chacune
c) Personne
7. Il est toujours…
a) le même
b) la même
c) aucun
8. Elle s’occupe de…
a) toute
b) tout
c) tous
9… sont parties pour la France.
a) tout
b) toutes
c) tous
10. Racontez de cela à…
a) tout
b) toutes
c) tous
11. Dites-moi… d’intéressant.
a) quelque chose
b) quelqu’un
c) quelques choses
12. Y a-t-il… dans la salle?
a) aucun
b) tout
c) personne
13… ne se passe.
a) personne
b) rien c) tout
14… de nous ne peut pas vous aider.
a) Personne
b) Chacun
c) Aucun
15… ne peut vous le dire.
a) Nul
b) Nulle
c) Rien
L’ADVERBE. ÍÀÐÅ×ÈÅ
Âàðèàíò 1
Îáðàçóéòå íàðå÷èå ïðè ïîìîùè ñóôôèêñà «ment».
1) attentif
a) attentifement
b) attentifment
c) attentivement
2) poli
a) poliement
b) poliment
3) léger
a) légerement
b) légérement
c) légèrement
c) brevement
4) gai
a) gaiement
b) gaiment
5) impuni
a) impuniment
b) impunément
c) inpunment
6) constant
a) constantement
b) constamment
c) constantment
7) profond
a) profondement
b) profondment
c) profondément
8) bref
a) brièvement
b) brefement
9) rapide
a) rapidement
b) rapidment
c) rapidément
10) heureux
a) heureuxment
b) heureusement
c) heureusment
11) joli
a) joliment
b) joliement
c) joliément
12) assidu
a) assidûment
b) assidument
c) assiduément
13) cru
a) crument
b) crûment
c) cruément
14) commode
a) commodement
b) commodment
c) commodément
15) prudent
a) prudentement
b) prudentment
c) prudemmenté
Âàðèàíò 2
Óïîòðåáèòå íàðå÷èå ïî ñìûñëó âûñêàçûâàíèÿ.
1. Venez-vous de la maison? Je… viens.
a) en
b) y
2. Sors-tu de la classe? Je… sors.
a) en
b) y
3. Vas-tu à l’école? Je… vais.
a) en
b) y
4. Le livre est-il sur la table? Il… est.
a) en
b) y
5. Tes copins reviennent-ils de la France? Mes copins… reviennent.
a) en
b) y
6. Le professeur entre-t-il en classe? Il… entre.
a) en
b) y
7. Vous avez fait… des exercices.
a) beaucoup
b) bien
c) encore
8… d’enfants avez-vous? J’en ai trois.
a) Combien
b) Comment c) Assez
9. Je n’oublierai… cette règle.
a) encore
b) aussi c) jamais
10. Mon père travaille…
a) peu
b) vite
c) beaucoup
11. Nous partirons…
a) hier
b) demain
c) encore
12. Notre école se trouve très… de notre maison.
a) loin
b) haut
c) dehors
13. Il lit…
a) rarement b) vite
c) tard
14. Mon frère roule l’auto très…
a) lentement
b) assez c) vite
15. Nous écoutons le professeur…
a) beaucoup
b) attentivement
c) vite
Âàðèàíò 1
LA PRÉPOSITION. ÏÐÅÄËÎÃ
Óïîòðåáèòå ïðåäëîã ïî ñìûñëó âûñêàçûâàíèÿ.
1. La porte … la chambre est ouverte.
a) de
b) à c) du
2. On lavait les vitres… magasins.
a) de
b) des
c) de les
3. Le dimanche, on prenait le café… salon.
a) de
b) à la c) au d) à le
4. Charles attacha son cheval… un arbre.
a) de
b) à
c) dans
5. Il n’y avait pas de téléphone… son appartement.
a) dans
b) en c) à
6. J’arrive à la maison… compagnie de mes amis.
a) en
b) dans
c) avec
7. Il me raconta qu’il avait voyagé… Afrique et… Amérique.
a) dans
b) de c) en
8. Elle me tenait… la main.
a) de
b) par
c) dans
9. Il vivait en paix… tout le monde.
a) en
b) a
c) avec
10. Nous avons la leçon du français deux fois… semaine.
a) par
b) en c) de
11. Ma sœur rit et cause… tout le monde.
a) de
b) avec c) en
12. Tous les verres sont… la table.
a) sur
b) dans c) en
13. J’ai de l’argent… moi.
a) sur
b) chez c) pour
14. Nous sommes entrés… une chambre bien meublée.
a) en
b) de
c) dans
15. Ils avaient dormi… un wagon mal eclairé.
a) en
b) dans
c) sur
Âàðèàíò 2
Óïîòðåáèòå ïðåäëîã ïî ñìûñëó.
1. Il aime faire des dessins de … la nature.
a) après
b) sous c) parmi
2. Il l’aime… sa franchise.
a) contre
b) pour c) entre
3. Il défendait son ami… tous.
a) contre
b) parmi
c) entre
4… le rèigne d’Ivan 3, on a élevé beaucoup de nouveaux édifices.
a) D’après
b) Contre
c) Sous
5. La rue s’ouvrit… elle.
a) devant
b) derrière
c) avant
6. Il était à Paris depuis… d’un an.
a) —
b) près
c) par
7. Chaque jour… le déjeuner, nous sortions ensemble.
a) devant
b) après
c) vers
8. Elle se pencha… son fils.
a) vers
b) d’après
c) avant
9. Il marcha… bruit vers la maison.
a) avec
b) à
c) sans
10. Je ne bois pas… les repas.
a) sans
b) entre
c) vers
11. Elle a decidé de se perdre… les passants.
a) parmi
b) entre
c) sous
12. Nous prenons le train… Paris.
a) vers
b) de
c) pour
13. Je vois ces gens… la première fois.
a) de
b) pour
c) vers
14. Je me tournai… le mur.
a) contre
b) vers
c) du
15… la classe et la ciusine il y a encore une pièce.
a) Entre
b) Parmi
c) Vers
LE VERBE. ÃËÀÃÎË
Âàðèàíò 1
Óïîòðåáèòå ãëàãîë â Présent de l’Indicatif.
1. Les nuages noirs (annoncer) l’orage.
2. L’alpiniste (s’avancer) au bord du gouffre.
3. Il (enfoncer) son bras dans le trou.
4. Nous (se diriger) vers la gare.
5. Un parfum de fleurs (voltiger) dans les allées.
6. Je (lever) la tête en regardant devant moi.
7. Dans la brume nous (distinguer) le toit de notre maison.
8. J’(enlever) précipitamment ma casquette.
9. Un chien (aboyer) dans la cour voisine.
10. L’herbe (verdoyer) au printemps.
11. J’(ésperer) te revoir dans une semaine.
12. Je (préférer) lui raconter tout.
13. Nous (multiplier) nos efforts.
14. Il (geler) depuis dix jours.
15. Je lui (envoyer) cette lettre.
Âàðèàíò 2
Óïîòðåáèòå ãëàãîë â Imparfait de l’Indicatif.
1. Un automobile (surgir) au tournant de la route.
2. Il (haïr) le mensonge.
3. Elle relantir) le pas.
4. Les arbres (fleurir), quand elle revint dans le domaine.
5. Maman (aérer) le chambre tous les jours.
6. Il (coudoyer) les gens inconnus.
7. Je (s’inquiéter) de la maladie de mon fils.
8. La vieille (répéter): «Ça finira mal».
9. Les hirondelles nous (ramener) les beaux jours.
10. Le vent (soulever) la poussière des chemins.
11. Il (maudire) l’hôpital, les médecins, les infirmières.
12. Je (se rappeler) très bien cette belle journée.
13. Le soleil (étinceler) dans le ciel clair.
14. Le froid (gercer) la terre.
15. Les lapins (peler) les jeunes arbres.
Âàðèàíò 3
Óïîòðåáèòå ãëàãîë â Futur de l’Indicatif.
1. Je ne t’(ennuyer) pas beaucoup, tu verras.
2. Tu m’(amener) ta petite sœur demain.
3. Elle (s’inquiéter) en apprenant la maladie de sa mère.
4. Jamais je n’(oublier) cette journée.
5. Le temps (assoupir) les peines.
6. Loin des siens, elle (soufrir).
7. On les (recevoir) à bras ouverts.
8. Cet article (paraître) un de ces jours.
9. Nous (soutenir) sa proposition.
10. Il (falloir) consulter le médecin.
11. Il (savoir) le faire.
12. Il (pleuvoir) ce soir.
13. Je (faire) comme il te (plaire).
14. Le bâteau monte bien au vent et le vent nous (mener).
15. Demain nous (partir) ensemble pour les vacances.
Âàðèàíò 4
Óïîòðåáèòå ãëàãîë â Passé composé de l’Indicatif.
1. Un rayon de soleil (rajeunir) la vieille maison.
2. La nouvelle (se répandre) comme une traînée de poudre.
3. Les alpinistes (atteindre) le sommet de la montagne.
4. Elle (éteindre) le feu.
5. On n’a rien deviné, on ne (pressentir) rien.
6. On nous (servir) un bon déjeuner.
7. Il m’(offrir) les fleurs.
8. La jeune fille (entrouvrir) la porte.
9. Son rapport me (décevoir).
10. Je le (reconnaître) facilement.
11. En quelle année (naître)-tu?
12. Elle (devenir) professeur.
13. Hier il (pleuvoir) toute la journée et les enfants ne (pouvoir) pas se promener.
14. Le médecin lui (interdire) de se lever.
15. Est-ce que ce film te (plaire)?
Âàðèàíò 5
Óïîòðåáèòå ãëàãîë â Passé simple de l’Indicatif.
1. Mon silence l’(inquiéter).
2. Il (se précipiter) dans le compartiment voisin.
3. Elle (rougir) violemment et se retira dans la cuisine.
4. On (entendre) une sorte de bourdennement.
5. C’est là, que j’(apprendre) cette triste histoire.
6. Et soudain je (comprendre) et je (deviner) tout.
7. Peu à peu je (s’endormir).
8. Le malade (ouvrir) les yeux.
9. À la longue, tout (se découvrir).
10. Nous (apercevoir) au loin une voile blanche.
11. Victor Hugo (naître) à Besançon.
12. Ce livre (paraître) il y a quelques années.
13. Il (se souvenir) soudain de cette aventure.
14. Alors toute la maison (devenir) silencieuse.
15. Nous (revenir) tristement vers notre barque.
Âàðèàíò 6
Óïîòðåáèòå ãëàãîë â Impératif.
1. (Se rappeler) tes fautes.
2. (Employer) bien ton temps.
3. (Peler) ces fruit et (manger)-en!
4. (Payer) toujours tes dettes.
5. (Se lever) vite!
6. (Allonger) le pas, si tu veux arriver à la maison avant la nuit.
7. Ne (s’ennuyer) pas, voilà un bon livre.
8. Ne (s’inquiéter) pas, je rentrerai bien vite.
9. Je reviendrai bientôt, dit-il, (attendre)-moi.
10. (Se taire). 11. (Rejoindre)-moi vite!
12. Mon ami, pendant que tu es jeune, (acquérir) de la science.
13. Ne (dire) pas que vous ne pouvez pas faire cela.
14. (Lever) la tête et (admirer) les étoiles.
15. (Appuyer)-toi sur mon bras!
Âàðèàíò 7
Óïîòðåáèòå ãëàãîë â Plus-que-parfait de l’Indicatif.
1. Nous étions très fatigués parce que nous (travailler) toute la nuit.
2. Lucie ne pouvait pas se rappeler où elle (laisser) son parapluie.
3. Vous vous êtes souvenus que vous (voir) déjà ce jeune homme quelque part.
4. Jean était orphelin. Ses parents (périr) en 1941.
5. Il n’entendit pas la réponse. On (raccrocher) le récepteur.
6. Tu as échoué à ton exament. Je le (prévoir).
7. On est venu chez nos amis. Malheureusement ceux-ci (partir) déjà.
8. Dès que la petite fille (rentrer) de l’école, elle se mettait à jouer du piano.
9. Quand le dîner (être) servi, on passait dans la salle à manger.
10. Lorsque le cloche (sonner) et le maître d’école (s’en aller), les enfants se précipitaient dans la cour.
11. À peine on (s’approcher) de la porte, le chien se mettait à boyer.
12. Gavroche portait les habits que les bonnes gens lui (donner) par charité.
13. Il expliqua qu’il (prendre) la résolution de se coucher tous les soirs à dix heures.
14. Je suis alleé jusqu’à l’hôtel m’assurer qu’il ne (rentrer) pas.
15. Nous avons lu avec plaisir la lettre que nous (recevoir) de nos anciens copins.
Âàðèàíò 8
Óïîòðåáèòå ãëàãîë â Passé antérieur de l’Indicatif.
1. Les étudiants se précipitèrent dans la salle dès qu’on (sonner).
2. Aussitôt que je (se lever), je fis un quart d’heure de gymnastique.
3. Après qu’elle me (reconnaître), nous nous mêmes à causer gaiement.
4. Quand les dernières leurs du couchant (s’éteindre), la lune brilla.
5. Dès qu’elle l’(apercevoir), elle se troubla.
6. Mais à peine Christophe (finir)-il de jouer, que la peur le reprit.
7. À peine la jument (sentir)-elle sur ces flancs ces jambes craintives du garçon, qu’elle partit au galop.
8. A peine (s’assoire)– elles, que la sonnette retentit.
9. Dès que l’orateur (terminer) son discours, une discussion animée s’engagea.
10. Dès que mon ami me (apecevoir), il vint à moi.
11. A peine (faire)-ils quelques pas vers la forêt, qu’ils entendirent un coup de tonnerre.
12. Je m’endormis à peine (fermer)-je les yeux.
13. Dès que l’enfant (entendre) la voix de sa mère, il courut vers elle.
14. Aussitôt qu’elle (partir), le vieillard ferma la porte.
15. À sa vue il (décider) vite de partir.
Âàðèàíò 9
Óïîòðåáèòå ãëàãîë â Futur antérieur de l’Indicatif.
1. N’oubliez pas de m’apporter votre poème, dès que vous l’(recopier).
2. Dès que Michel (quitter), le petit chat sautera sur la table.
3. C’est Caderousse qui (apprendre) ton arrivée et qui vient sans doute te faire son compliment de bon retour.
4. Quand je (recevoir) de vos nouvelles, je serais tranquille sur tout le reste.
5. Demain matin il me racontera les rêves atroces qu’il (faire).
6. Je vous prie, dit-il, ne parlez point de cela à Dantès, je me (tromper). 7. Quand vous lirez ces lignes, je (cesser) de vivre.
8. Il mangera, quand on lui (servir) son repas.
9. Dès qu’on (sonner), nous sortirons de la classe.
10. Quand j’(écrir) mon exercice, je le remettrai à mon professeur.
11. Aussitôt que je (lire) cet article, je vous passerai mon journal.
12. Quand je (répéter) ma leçon, je vous la réciterai.
13. Il se couchera aussitôt qu’il (manger).
14. Lorsque je (faire) mes devoirs, je vous les montrerai.
15. Quand je (lire) ce livre, je le rendrai à la bibliothèque.
Âàðèàíò 10
Óïîòðåáèòå ãëàãîë â Futur ou Passé immédiat de l’Indicatif.
1. Il est dix heures moins quart. Le train (partir).
2. Mon réveil (sonner) et je (se lever).
3. Le taxi (arriver) et nous pouvons partir.
4. La radio (annoncer) que le train part dans cinq minutes.
5. Nous (se réveiller) et nous allons faire la gymnastique.
6. Les cours (finir) et nous (se reposer).
7. Ils vous (donner) des explications sur les projets qui vous intéressent.
8. Le train (s’arrêter) à la gare et nous descendons du wagon.
9. Attendez un moment, nous (arranger) tout.
10. (Se mettre)-tu au travail.
11. Je (rendre) un livre français à la bibliothèque et on va me donner un autre.
12. Tu (entrer) et tu veux déjà t’enfuir.
13. Je (se coucher) quand quelqu’un a frappé à la porte.
14. Ils (partir) pour la Grande-Bretagne.
15. Je leur (dire) le contraire.
Âàðèàíò 11
Ñîãëàñóéòå ãëàãîëüíûå âðåìåíà èçúÿâèòåëüíîãî íàêëîíåíèÿ.
1. Notre copin nous raconta le sujet du livre qu’il (lire).
2. J’ai promis à mon ami que je lui (apporter) le matériel pour son travail.
3. Je vis les étudiants qui (sortir) de la salle d’études.
4. Il nous a dit qu’il ne (pouvoir) pas venir à notre soirée parce qu’il (être) très fatigué.
5. Aimez-vous la ville où vous (passer) votre enfance?
6. Il espérait qu’il (avoir) un mois de congé. 7. L’étudiant répondit qu’il ne (préparer) pas sa leçon.
8. Mon ami m’envoya une lettre dans laquelle il me (décrire) comment il (passer) son congé.
9. J’ai montré à mon ami le livre que je (acheter).
10. Tu espères que notre ami (recevoir) déjà une lettre.
11. Mon ami me répondit qu’il (vouloir) relire encore une fois la composition.
12. Dès que je (rentrer), je (se mettre) à table.
13. Les artistes français qui (arriver) dans notre ville se produisent sur la scène du Palais de culture.
14. Assis au bord du lac nous regardions la barque qui (s’éloigner).
15. Hier je suis allé voir mon ami qui (prendre) froid.
Âàðèàíò 12
Óïîòðåáèòå ãëàãîë â Conditionnel.
1. Nous (vouloir) passer notre congé au bord de la mer Noire.
2. Pourquoi fermez-vous la fenêtre? (Avoir)-vous peur de prendre froid?
3. (Pouvoir)-vous m’accompagner? J’ai peur de me perdre dans la forêt.
4. (Être)-vous si aimable de me prêter votre livre d’études.
5. Combien coûte cette robe? Je l’(acheter) volontiers.
6. Pour bien preparer votre examen, vous (devoir) travailler beaucoup plus.
7. Un silence se fit; on (entendre) le vol d’une mouche.
8. Il ne pleut plus, mais toute la forêt s’égoutte et, lorsque le vent se lève, on (dire) une nouvelle averse.
9. Aucun bruit ne montait de la rue, on (se croire) dans la campagne.
10. Souvent Annette paraissait froide, on (dire) presque hostile.
11. Si elle (rentrer) tard, elle refusait de manger et se couchait immédiatement.
12. (Acheter)-tu ce livre si tu avais assez d’argent?
13. Et s’il pleuvait maintenant, ne (aller)-vous pas la voir, elle, qui vous attend?
14. Si vous aviez lu les journaux, vous (savoir) déjà cette nouvelle.
15. Si j’avais faim, je (manger) avec appétit.
Âàðèàíò 13
Óïîòðåáèòå ãëàãîë â Subjonctif.
1. Que personne ne (sortir) d’ici! 2. Qu’il (faire) tout son possible pour ne pas être en retard!
3. Que cela (être) dit une fois pour toutes!
4. (Vivre) la paix et l’amitié des peuples! 5. Qu’elle (punir) son fils pour sa mauvaise conduite!
6. Ma mère a la migraine. Qu’elle (dormir) tranquillement!
7. Pourvu qu’il (faire) beau demain, pourvu qu’il ne (pleuvoir) pas!
8. Je veux que vous (être) plus aimable envers vos amis.
9. Je défends que tu me (répondre) sur ce ton.
10. On a envie que le printemps (revenir).
11. Mon désir est que vous me (écrire) tous les quinze jours.
12. Je doute fort que cet étudiant (pouvoir) traduire ce texte difficile.
13. On ignore que tu (prendre) part à cette expédition.
14. Je crains qu’il ne (faire) froid.
15. Il est triste que vous vous (sentir) mal.
Âàðèàíò 14
Óïîòðåáèòå ïðè÷àñòèå ïðîøåäøåãî âðåìåíè.
1. Je marche dans la direction (indiquer).
2. Le garçon enlève ses souliers tout (couvrir) de poussière.
3. Derrière la maison il y a une vaste cour (planter) de pommiers.
4. La petite fille (entrer) dans la chambre nous examinait avec curiosité.
5. L’auto (s’arrêter) devant notre porte appartien à notre ami.
6. Les fleurs (s’épanouir) ce matin remplissent notre jardin de leur parfum délicieux.
7. J’habite une petite maison (bâtir) au milieu d’un verger.
8. Les hommes (aider) de femmes et d’enfants ont étteint l’incendie.
9. Je vois son visage (maigrir).
10. Les voyageurs (descendre) des wagons se dirigèrent vers le bâtiment de la gare.
11. Rammasez les feuilles de papier (tomber) sous la table.
12. Son regard tombe sur une femme (s’asseoir) en face de lui.
13. C’était la plus petite des chambres, mal (éclairer) par une lucarne.
14. Puis il se coucha, (bercer) par le sifflet des trains.
15. La comète (observer) par l’astronome disparut soudain du champ visuel.
Âàðèàíò 15
Óïîòðåáèòå äååïðè÷àñòèå.
1. (Se sentir) toute fatiguée, elle renferma les yeux.
2. (Aller) se promener, il fermait sa chambre à clef.
3. Je restai au même endroit, (réfléchir) à ce que je venais d’entendre.
4. En ce moment sa sœur entra, (s’excuser) de son retard.
5. Elle sortit sans lumière, (chercher) sa chambre à tâtons.
6. Elle nageait à perte de vue (être) forte et hardie.
7. Ma mère me réveilla, (voir) qu’il était temps de partir.
8. Une fillette passait tous les matins devant leur maison (conduire) deux vaches noires.
9. Je suis venu au théâtre (espérer) de vous y rencontrer.
10. (Avoir) peur d’entendre de mauvaises nouvelles, elle cacha sa figure dans ses mains.
11. (Dire) cela le directeur se découvrit.
12. Tout (rire) il me tendit la main.
13. Je l’ai vu (partir) pour Paris.
14. J’ai vu a la bibliothèque mon ami (lire) un journal.
15. (Partir) je rencontrai à la gare mon ami qui rentrait de la France.
LA PHRASE COMPLEXE. ÑËÎÆÍÎÅ ÏÐÅÄËÎÆÅÍÈÅ
Âàðèàíò 1
Îïðåäåëèòå òèï ïðåäëîæåíèÿ.
1. Je n’ai jamais parlé à mon voisin, je ne sais pas ni ce qu’il fait, ni ce qu’il pense.
a) ñëîæíîñî÷èíåííîå (ÑÑ)
b) ñëîæíîïîä÷èíåííîå (ÑÏ)
c) áåññîþçíîå (ÁÑ)
2. Il fit plusieures inspirations profondes car il avait observé que cette pratique amenait le repos des muscles.
a) ÑÑ
b) ÑÏ
c) ÁÑ
3. Elle voulait partir, elle pensait à son petit appartement.
a) ÑÑ
b) ÑÏ
c) ÁÑ
4. Le succès des Jeux Olympiques de Moscou est un succès du sport et des sportifs, il est aussi un succès pour la paix.
a) ÑÑ
b) ÑÏ
c) ÁÑ
5. Il me tournait le dos de sorte que ses paroles me venaient du feu.
a) ÑÑ
b) ÑÏ
c) ÁÑ
6. Il n’est pas habile au point qu’il soit sans rival.
a) ÑÑ
b) ÑÏ
c) ÁÑ
7. Serait-elle ma fille, je ne la verrais pas moin telle qu’elle est.
a) ÑÑ
b) ÑÏ
c) ÁÑ
8. Restrais-je dix ans sans te voir, que je ne pourrais pas t’oublier.
a) ÑÑ
b) ÑÏ
c) ÁÑ
9. Paul travaille comme son père travaillait, comme son père travaillerait, s’il était encore de ce monde.
a) ÑÑ
b) ÑÏ
c) ÁÑ
10. Faites en sorte que leurs chambers soient en ordre, le déjeuner soit bon.
a) ÑÑ
b) ÑÏ
c) ÁÑ
11. Elle attendait, mais elle ne savait quoi.
a) ÑÑ
b) ÑÏ
c) ÁÑ
12. La veille de notre départ, je rencontrai ma mère le matin dans le potager et elle me demanda si je voulais faire une promenade avec elle.
a) ÑÑ
b) ÑÏ
c) ÁÑ
13. J’étais si découragé que je faillis renoncer à tout.
a) ÑÑ
b) ÑÏ
c) ÁÑ
14. Il monta quelques marches et lui prit le bras sans qu’elle se défendît.
a) ÑÑ
b) ÑÏ
c) ÁÑ
15. Nous étions d’autant plus inquiets que le bois devenait maintenant plus épais.
a) ÑÑ
b) ÑÏ
c) ÁÑ
Âàðèàíò 2
Îïðåäåëèòå òèï ñëîæíîïîä÷èíåííîãî ïðåäëîæåíèÿ.
1. Votre vie est organisée de telle façon que je ne saurais y avoir de place.
a) óñòóïêè
b) ñëåäñòâèÿ
c) ñðàâíåíèÿ
2. Ils travaillaient comme d’autres font leurs études.
a) ñðàâíåíèÿ
b) nîñëåäñòâèÿ
c) ïðè÷èíû
3. Si cette nouvelle m’avait été annoncée la veille, j’aurais sans doute fondu des larmes.
a) óñëîâèÿ
b) ñðàâíåíèÿ
c) óñòóïêè
4. Il suffit d’un peu de bonne volonté pour que tout s’arrange.
a) óñëîâèÿ
b) ïðè÷èíû
c) öåëè
5. Puisque tout le monde est là, on commence la séance.
a) öåëè
b) ïðè÷èíû
c) óñëîâèÿ
6. L’entreprise ne se soucie pas assez de la condition de ses travailleurs, encore qu’un tel souci trouverait à se justifier.
a) óñëîâèÿ
b) óñòóïêè
c) öåëè
7. Quand le patron eut fermé la porte, Janine sentit le froid qui venait des murs nus et blanchis à la chaux.
a) âðåìåíè
b) óñëîâèÿ
c) ñëåäñòâèÿ
8. Devant la statue de Minerve l’escalier se divise, en sorte que les gens doivent opter pour la droite ou pour la gauche.
a) âðåìåíè
b) ñëåäñòâèÿ
c) ñðàâíåíèÿ
9. La fille n’etait pas aussi grande qu’elle le paraissait au premier abord.
a) óñëîâèÿ
b) ñëåäñòâèÿ
c) ñðàâíåíèÿ
10. Dans le cas où quelqu’un se présenterait, telephonez-moi.
a) óñòóïêè
b) óñëîâèÿ
c) ñðàâíåíèÿ
11. Ma mère m’a fait venire à la gare bien à l’avance, de peur qu’on ne manque le train.
a) öåëè
b) ïðè÷èíû
c) óñëîâèÿ
12. Il nous quitta sous prétexte qu’il allait se coucher.
a) ïðè÷èíû
b) öåëè
c) óñòóïêè
13. Depuis qu’il travaillait ici, c’était la première fois qu’il trouvait les portes fermées en arrivant.
a) öåëè
b) âðåìåíè
c) óñòóïêè
14) Quoi que vous décidez vous aurez tout le loisir de l’y préparer.
a) ñðàâíåíèÿ
b) âðåìåíè
c) óñòóïêè
15) Nous écoutions les disques en attendant qu’il soit prêt.
a) ñëåäñòâèÿ
b) ñðàâíåíèÿ
c) âðåìåíè
LES CLEFS. ÊËÞ×È
L’ARTICLE. ÀÐÒÈÊËÜ
LE NOM. ÈÌß ÑÓÙÅÑÒÂÈÒÅËÜÍÎÅ

L’ADJECTIF. ÈÌß ÏÐÈËÀÃÀÒÅËÜÍÎÅ
L’ADJECTIF NUMÉRAL. ×ÈÑËÈÒÅËÜÍÎÅ

LE PRONOM. ÌÅÑÒÎÈÌÅÍÈÅ


L’ADVERBE. ÍÀÐÅ×ÈÅ
LA PRÉPOSITION. ÏÐÅÄËÎÃ

LE VERBE. ÃËÀÃÎË.






LA PROPOSITION. ÏÐÅÄËÎÆÅÍÈÅ.

